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Hunter Schafer est <a href="/t10246-cl" target=_blank"><span class="Gp_Peyredragon">Clarys Celtigar</span></a>

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Clarys Celtigar - Héritière de Claquepince - <a href="/t10246-cl" target=_blank" >Personnage inventé</a>

Un crie déchire le ciel de Claquepince. Un prémisse de la rage enfouie dans l'âme du nouveau né qui s'agite dans ses linges blanc. . Au matin de sa naissance, le soleil viens apaiser la nuit agité, une accalmie qui lui vaux son prénom, Clarys. Dernière née de la Maison Celtigar, elle s'impose déjà comme une singularité dans sa propre famille. Seule fille entourer dans une famille de garçons, dernière enfant que pourra engendrer sa mère. Plus tard, elle sera une mère, une épouse, la maîtresse d'un foyer, une bijoux, une oeuvre d'art. Un destin qui semble si prévisible déjà dans sa petite enfance. S'ils savaient pourtant, s'ils pouvaient seulement deviner.. tous ce brio dissimulé.. Enfant vive, elle aime regarder ses frères s'épanouir en guerrier tandis qu'elle se contente des robes et des broderies. Il faut dire que ses attraits semble avoir été conçu pour qu'elle tienne ce rôle. Si frêle, si parfaite, paraissant faite d'argile alors qu'elle serait aussi dur qu'un rocher. Ses mots tranchent comme une épée, dur, rigide, un tyran avec de jolies yeux lorsqu'elle brise le silence. La beauté singulière des Valyrien lui donne des airs de demi dieu qui intrigue.. Si douce et pourtant, si féroce.

Ses frères sont les complices de sa tragédie intérieure. Née fille quand on détient la nervosité d'un colosse.. Un gaspillage dont ses aînés s'inspire tandis qu'elle joue le rôle de la parfaite Lady. Mais eux sur le devant de la scène, Clarys observe, s'instruit et écoute. Elle fera partie d'un décors plus grand qu'elle, mais jamais au centre de celui ci. On ne cherche pas à deviner ce qu'il y a derrière sa beauté. Oublié du reste du monde pour devenir une jouvencelle de papier attendant d'être délivrée d'elle même. Sa force à pourtant des travers, des dérives qu'il lui faut contrôler. L'exemple parfait viens de son enfance. Un combat de gamin qui se termine mal, un geste aux conséquences lourdes pour son frère. Car un matin comme les autres, Clarys se jette sur le fils de Lord Brune qui s'amuse à provoquer Arstan. Une fois de plus, une fois de trop, la dernière. Lui le bras cassé, elle la robe déchirée. Mais le garçon est enragé d'avoir été mis à terre par cette "petite fille". Une humiliation bien trop grande, même pour un enfant.

La punition est sévère, Clarys est confinée dans sa chambre. Jour après jour, la septa lui récite les passages de l'étoile à sept branches. Insistant sur la vertu de la Jouvencelle, le rôle qu'elle doit tenir. Dans l'espoir de réparer ce parjure insoutenable, Arstan est envoyé comme écuyer au fief de Lord Brune. Un départ qui la déchire, la fracasse, un pas de plus vers son destin tragique. La petite fille à voulu jouer à un jeux plus grand qu'elle, un jeux qu'elle ne comprend pas encore. Elle voudrais bouffer le monde pour cette injustice, mais son crie se transforme en miaulement hystérique à défaut du rugissement de fauve qui sommeil en elle. Sa culpabilité atteint le firmament lorsque son frère Arstan trouve la mort en protégeant son Seigneur d'une embuscade de briguants. La plongeant dans un tourment presque constant pendant plusieurs lunes.

Dressée pour devenir une damoiselle, elle s'exécutera désormais sans faillir.
L'étranger murmurant à son oreille : " Toi qui voulais la justice petite fille, voilà ce qu'il t'en coûte " .

La leçon est comprise. La vie reprend pour se draper du communs de la monotonie.. Une vie qui aurait pu s'écouler ainsi pour toujours au château de Pince-Isle. Une épouse, une mère.. Clarys formerait ainsi ses propres enfants à devenir héritiers de cet idéale chevaleresque. La répétition d'un rituel sans saveur. Une ritournelle sans fin. Mais de sa beauté remarquable, Clarys deviens un sujet d'attraction pour les seigneurs de Claquepince. Ce visage si doux inspire quelques poètes, l'idéal de l'image de la jouvencelle. Une notoriété qui l'embellie et fait oublier ses anciens travers de "petite fille".. De ce joli portrait dessiné dans les livres, qui pourrait croire qu'elle conserve encore sa rage cachée derrière yeux mauves ? Clarys la domine, la tiens en respect en attendant le moment de l'implosion. Sa culpabilité museler derrière un masque de porcelaine..

Mais les dieux sont joueurs.. Alors plus tard, ce sont ses deux autres frères qui trouvent la mort sur leur navires coulé par des pirates.

L'étranger revenant la hanté pour lui murmurer : " Dissipe ta furie petite fille ou la mort s'abattra encore.. " .

Un autre couperet. Une autre tragédie. Mais Clarys est désormais seule.
Les murs de Pince-Isle deviennent inonder de silence et de souvenirs. Pendant que son père nourrit son chagrin en poursuivant les responsables de la mort de ses fils, Lady Marei succombe à la folie. Ainsi le jour de l'enterrement de Gorgyle et Tristan, Clarys est encore seule, la pluie pour seule compagne de sa tristesse qu'elle cache à merveille. Un jour, puis deux, puis ..

Le retour de la mort à sa porte.

Dans son dernier soupire, Lady Marei murmure une phrase à l'oreille de sa fille..

Les jours se confondent depuis cela, Peyredragon devenant encore plus instable par les guerres et les tensions politiques qui s'amassent. La dynastie d'Harren Hoare, la mort d'Aegon et Visenya Targaryen comme un couperet de plus.. Une drôle de farce pour celui qui s'autoproclame "Roi des Roi". Lord Crispian devient fou de colère à cette annonce. Il faut dire que son amitié avec les Targaryen n'est pas soudaine. Des liens venant d'une similarité de culture et d'une traversée commune remontant avant le fléau.
L'admiration de Clarys pour Rhaenys Targaryen survint au même moment. Ce "miroir" à sa propre existence qui devint une inspiration dans sa façon de gérer ses propres pertes.
Subir tant de ravage pour une si grande renaissance.. Voilà de quoi laisser songeur la jouvencelle. Dans l'esprit de la jeune femme, Rhaenys combine peut être les meilleurs atouts de sa fratrie sans le savoir.

Après les têtes tranchées d'Aegon et de Visenya, Lord Crispian s'absente souvent de Claquepince. Convolant de batailles en batailles, il répond à l'appel. Père et fille renouvelle leur voeux de loyauté auprès du Prince Orys nommé à Peyredragon. Croyant le pire derrière eux, les taxes s'abattent sur les commerçants de Peyredragon faisant affaire dans le Bief. Lord Crispian renonce ainsi à poursuivre ses partenariats avec ses anciens associés pour localisé ses affaires à Lys. Sur toute la presqu'île, il est désormais exclut de faire affaire avec le "traitre". Un ennemi qui se précise tandis que Lord Crispian voit sa prochaine bataille face au Bief.
Quelques temps plus tard, c'est une colère farouche qui ronge Clarys. Le Val ayant la prétention d'abaisser sa souveraine à renoncer à ses titres.. Une insulte inqualifiable, un parjure au contrat déjà en cours.. Torrhen Stark le comprend et il répond par les armes.. Une joie pour Clarys..

C'est ainsi le mariage du feu et de l'hiver, un nouvel espoir.
Avec lui toutefois, le quotidien joncher de batailles. Orys Baratheon devenant le régent de Peyredragon en attendant la majorité de la jeune née, Athynéa.

C'est à Pince-Isle, entourer des bras de sa solitude que Clarys affronte une nouvelle fois la visite de l'étranger sur ses terres. L'amirale Borrell attaquant par la mer et obligeant les Claquepinces à se mobilisés autour de leur Suzerain.
La victoire n'est pas belle, elle est arrachée au prix de trois nuits difficiles..
Des nuits ou Clarys se voit offrir un poignard pour rejoindre les sept en cas de défaite. De cette énième tempête, l'aurore revint enfin sur les rives de Claquepince..

La jouvencelle assiste désormais son père dans les décisions importantes. Lui servant de confidente et d'un regard méthodique. Arrivera peut être un jour le moment de rupture empêchant à la jouvencelle de retenir "la bête". Un moment ou, à force de ne jamais crier sa peine, elle éclatera d'une façon plus tragique, moins lisse. L'Etranger sortant seul vainqueur de toutes ces batailles.

Sa mère lui ayant rappeler la devise de sa maison dans son dernier soupire : " Ne redoute pas les épreuves." .

Tout un symbole..