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Henry Cavill est <a href="/t7481-ma"><span class="Gp_Etranger">Maegor Valtigar</span></a>

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<span class="Gp_Etranger">Maegor Valtigar</span> - Je suis pour la neutralité - Héritier du Diadoque et de la maison Valtigar - <a href="/t7481-ma">PV pris</a>

LIEU

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<a href="u724"><span class="Gp_Etranger">Maegor Valtigar</span></a> se trouve à <span class="Gp_Dorne">Dégres de Pierre - Dorne</span>

Tout d'abord je dois me présenter, je m'appelle Valirion Doraeris humble scripte et adorateur de l'époque de l'empire de Valyria. Je vais vous comté l'histoire d'un homme et de sa lignée que j'ai eu la chance de côtoyer pendant des décennies.

Vous attendiez certainement que je vous explique comment Maegor est venue au monde ? Après tout, les histoires ne commencent-il pas ainsi "il était une fois dans une contrée reculé" mais je vais devoir remonter à bien plus loin que sa naissance, le moment ou tout à basculer ! Une époque où les Valtigar étaient au sommet de leur gloire, tout commença en l'an -114 juste avant le grand évènement qu'on surnomme nous le fléau de Valyria que les Valitgar ont nommée "La grande punition" qui selon eux serait venue des dieux qui auraient détruit l'Empire valyrien pour les punir de leur vanité. Les Valtigar faisaient partie des grandes familles et avaient même selon la légende parmi leurs ancêtres l'un des fondateurs de la ville il y a des siècles de cela, contrairement à d'autres grandes familles qui ont connu dans leur histoire un mariage avec un non-membre de leur famille, les Valtigar eux ont réussi à garder leur "sang pur" comme ont disait à l'époque, même un mariage avec une autre grande famille était inenvisageable pour eux, seuls le sang et la gloire étaient au-dessus de tout à cette époque. Comme me l'a dit un jour le grand-père de Maegor "Tout était possible pour nous à cette époque, le monde et la gloire étaient à notre portée" m'avait-il dit quand j'étais qu'un jeune garçon avec des yeux admiratifs devant l'ancien valyrien au bord d'un feu. Mais cette bénédiction ne fut pas éternelle, si les dieux donnent ils peuvent aussi reprendre quand ils veulent leurs faveurs et c'est ce qui s'est produit cette année-là. Bien entendu, tout a été dit sur cet évènement, châtiment divin, magie noire, hasard... mais pour les Valtigar, ce sont les dieux qui ont puni les valyriens pour leurs arrogances et leurs vanités, se croyant même au-dessus des dieux à la fin. Ce que n'était pas la famille Valtigar avant le fléau qui était réputé pour être respectueux des anciennes divinités de la péninsule. Ont dirait bien que les dieux non pas oublier la loyauté de ces derniers, selon la légende de la famille les divinités de la péninsule ont envoyé une vision à Aurion durant une nuit le poussant à quitter la ville et la région, comme si les dieux voulaient les exclure de ce châtiment qui allait prochainement tomber sur les autres grandes familles, comme s'ils l'ont fait pour Aenar Targaryen quelques années auparavant et qui a sauvé sa famille avec sa vision -qui serait perçu pour les Valtigar comme une volonté des dieux- récompensant les familles qui méritent de vivre pour ce Nouveau Monde. Quoi qu'il en soit, le fléau de Valyria s'abattit sur la péninsule alors qu'Aurion et son très jeune fils étaient fraîchement arrivés à Qohor, ils apprirent la nouvelle quelques jours après, depuis ce jour, il fut convaincu que les dieux la épargné lui et son fils, à moins qu'ils aient d'autres dessins pour eux, voyant l'un de ses descendants être la personne d'une certaine prophétie ?

En apprenant la nouvelle, Aurion se proclama empereur du nouvel empire et réunit trente mille hommes pour reconquérir les terres de la péninsule, mais avant de partir, il ordonna à son fils de rester à Qohor pour s'assurer de la continuité de la lignée familiale. Depuis son départ de Qohor, on n'a plus revu le seigneur-dragon et avec lui le dernier dragon que possédait la famille. Les mois et les années passèrent et les dirigeants de la ville qui avaient volontiers accepté la présence des deux Valtigar -surtout par crainte de voir leur ville brûler- changèrent de comportement avec le temps et surtout avec le départ d'Aurion, passant d'invité de marque à un obstacle, après plus de cinq ans après le départ d'Aurion certaines grandes familles de la ville pensant que ce dernier était mort organisa purement et simplement l'assassinat de Dorreos le fils d'Aurion qui était alors qu'un jeune adulte à cette époque-là. Un soir, toutes les garnisons qui étaient restées à Qohor pour protéger Dorreos furent massacrées par les grandes familles et Dorreos fut considéré mort depuis ce jour-là, il a donné toute la fortune familiale à certaines personnes pour faire croire que le corps retrouvé sans tête sur-le-champ de batailler était le sien, il a même coupé ses cheveux blancs pour les mettre autour du cadavre pour que cela soit convaincant, il me la dit lui-même avant de mourir quand je rédigeais ses dernières volontés. Depuis ce jour, les Valtigar ont vécu caché aux yeux du monde qui les pensés définitivement mort et débarrasser d'eux.

Après le décès de Dorroes, son jeune fils Tyraemarr décide de quitter Qohor pour réaliser le rêve que tout Valtigar rêve de réaliser: Reformé l'ancien Empire valyrien ! En quelques années, il réussit à rassembler les anciennes légions qui étaient dispersées dans la région et qui acceptèrent de le suivre quand ils apprirent tous qu'il était le légitime petit-fils d'Aurion. Des décennies plus tard, j'assiste personnellement à la naissance de Maegor dans un camp de fortune au bord de la mer fumeuse où stationné les légions de son père pour préparer cet événement particulier et important pour la famille, oui chaque enfant était une bénédiction pour ce père qui avait peur chaque jour de voir sa lignée s'éteindre et être le dernier représentant à fouler cette terre. Surtout que sa sœur qui était aussi sa femme selon les anciennes coutumes valyriennne avait mis un fils au monde quelques années plutôt, mais qui mourra en bas âge renforça encore plus son inquiétude de voir sa lignée s'éteindre avec lui, son premier enfant qui n'avait même pas dépassé les deux ans décéda brutalement à cause des conditions extrêmes pour un bébé accompagne la campagne de reconquête de Valyria par Tyraemarr, est-ce le prix à payer pour reconquérir les anciennes terres de ses ancêtres ? Et comme si les malheurs n'avaient pas encore frappé assez fort cette famille, la sœur-épouse de Tyraemarr ne survécut pas à l'accouchement, mais dans un ultime effort et une preuve d'amour qu'une mère peut donner à son fils elle réussit à mettre au monde cette enfant tant attendue par ses parents. Te voilà enfin... Maegor... J'aurais tant aimé être à tes côtés pour les prochaines années... Mais j'accepte la décision des dieux et le prix à payer... La vie ne te fera pas de cadeaux comme elle ne l'a pas fait avec ton grand-père Dorroes et nos ancêtres... Tu es lié à la malédiction familiale... J'espère qu'elle ne sera pas trop lourde à porter et que tu n'auras pas à payer un prix trop grand... Je t'aime ! Quelle est cette malédiction ? Dorroes m'a expliqué un jour que depuis Aurion, les Valtigar pensent qu'ils ont une malédiction sur eux, celle de reformer l'ancien Empire valyrien, et même ceux qui s'en détournent finissent tôt ou tard par revenir sur le droit chemin, comme pour expier les péchés et la vanité de toute la civilisation valyrienne d'avant le fléau, les dieux les mettent à nouveau à l'épreuve pour savoir s'ils sont dignes ou non de reformer l'empire de Valyria. Dorroes m'a dit que la famille ne retrouverait pas de repos avant d'atteindre ce but, pousser par une volonté qui est incompréhensible en dehors du cercle familial, les Valtigar sont comme condamnées à expier les fautes commises par le passé !

Les six prochaines années se ressembler, alors que Tyraemarr était à l'avant-garde de l'expédition, je me retrouvais à l'arrière-garde auprès de Maegor et de sa nourrice qui le gardait, comme j'étais un ami assez proche de sa mère, je m'étais indirectement pris d'affection pour son fils en lui chantant des berceuses la nuit pour s'endormir par exemple. Tyraemarr et moi n'étions pas véritablement proches ont pourrez même dire qu'il n'appréciait pas vraiment que je sois ici, mais son père Dorroes lui avait dit avant de mourir qu'il ne devait rien m'arriver et que ma présence était là pour retranscrire sur les pages du livre que j'écrivais à chacune de mes aventures avec eux pour finir un jour le livre qui sera intitulé "L'histoire des Valtigar et de leur renaissance" pour que les prochaines générations sachent qu'elle a été les sacrifices qu'ont dû faire les anciennes générations pour que l'Empire puisse revoir le jour. Durant cette période, Tyraemarr était assez perturbée, tiraillée par plusieurs choses, la première est la perte de sa sœur-épouse qu'il l'a aimé plus que tout et a véritablement créé un vide, heureusement que le but ou plutôt la malédiction familiale l'empêcha de se perdre dans la solitude et que l'expédition occupée une grande partie de son temps et de son esprit. Au point que durant les premières années je m'occupais plus de Maegor que lui, mais cette période ne dura pas longtemps avant qu'il ne vienne pratiquement tous les soirs dans la tante pour voir si son fils allait bien et rassuré que sa lignée n'allez finalement pas s'éteindre après lui. On peut même dire que c'est l'une des rares fois où je l'ai vu montrer ses émotions, lui qui d'ordinaire est un homme assez froid avec les inconnus, son fils avait comblé le vide laissé par sa mère et qui est devenu maintenant sa raison de vivre, ce pour quoi il fait cette expédition pour lui léguer un héritage perdu !

Après six longues années, son père prit une lourde décision de se remarier à une femme qui n'est pas issue de la famille, une première depuis la fondation de la maison Valtigar. Bien que Maegor se porter très bien, il a toujours cette peur de le voir son fils être emporté par la maladie où se faire tuer dans un combat quand il aura l'âge de lever une épée, c'est pourquoi il prit la décision de ce marié avec Ilithia Peveren, la fille d'un riche marchand d'esclaves d'Elyria. Le jeune Valtigar et moi-même restons dans la cité pendant quelques années, le temps qu'il devienne un jeune adulte. En attendant, moi et sa belle-mère passons une grande partie de notre temps à éduquer le jeune héritier du diadoque, l'histoire de la famille, la langue, le savoir, les bases de la politique et tout ce qui était nécessaire pour un futur souverain. Ça peut surprendre et moi le premier au début à vrai dire, mais Ilithia sa belle-mère a été très compréhensif et s'est comporté comme une véritable mère pour Maegor, quand ses demi-frères et sœurs arriva au monde les années avenirs elle ne faisait aucune différence entre ses propres enfants et Maegor, pourtant elle aurait pu le négliger et le mettre à l'écart pour favoriser ses propres enfants, ce qui peut être compréhensible et naturel, mais ce ne fut pas le cas. C'est grâce à elle qu'aujourd'hui les relations entre ses enfants et Maegor sont très cordiales et se considèrent tous comme de véritables frères et sœur et qu'aucune méfiance ou jalousie ne s'est installée entre eux jusqu'à maintenant. Bien entendu, étant un Valtigar de sang pur Maegor est l'héritier légitime et dernier véritable représentant de sa lignée, et pourtant, il n'a jamais renié ou pris de haut ses frères et sœur, ils ont réussi tous ensemble à accepter leurs rôles et leurs places dans la famille, acceptant l'une des règles principales des grandes familles valyrienne: le sang régi tout au sein de la famille !

À l'âge de 14 ans Maegor et moi, quittons Elyria pour aller dans les camps où sont installées les légions de son père à Olos et Tyria à la demande de son père qui voulait l'entraîner personnellement au maniement de l'épée et commencer déjà à lui apprendre à diriger des hommes et éveiller en lui sont côtés meneur d'hommes. Il apprit beaucoup auprès de son père qu'il admire énormément et grâce à ses entraînements, on pouvait aisément dire qu'il était très doué au maniement de l'épée pour son âge malgré que son père fût exigeant et voulait faire de lui un homme et lui inculquer tout ce qu'il savait au cas où s'il devait quitter ce monde prématurément. L'année suivant un événement a pu virer au cauchemar, Tyraemarr et moi avions eu la peur de notre vie quand on a su que Maegor n'avait pas écouté. Son père avait lancé la première bataille d'envergure contre les hommes de pierres, son fils voulait y participer, mais son paternel lui refusa catégoriquement, mais accepta qu'il se rend sur les collines environnantes pour observer et apprendre. Mais le jeune Maegor ignora l'interdiction de son père quand il voyait une partie de l'armée commencer à battre en retraite, il prit donc la décision d'aller sur-le-champ de bataille pour motiver à nouveau les hommes de son père, le moral regagne très vites les hommes en voyant Maegor arriver, mais ont à failli frôler à la catastrophe quand des hurlements retentis en déclarant que l'héritier était blessé. Ce qui affola son père qui se précipita vers lui pour lui porter secours et son mécontentement que son fils ait ignoré son interdiction, mais la colère disparaît bien vite quand il voyait son fils blessé et surtout la peur de voir son aînée se transformer en homme de pierre et qu'il n'aurait certainement pas la force de le tuer. Fort heureusement quelques jours après la bataille les médecins étaient formels, Maegor n'a pas été contaminée et sa blessure ne m'était pas en danger sa vie. Pendant les années suivantes, il va éviter les actions précipitées et va suivre son père dans chaque combat et expédition, acquérir expérience et maturité après chaque année passée dans ses marécages et forêts primaires envahis par la brume épaisse de ce qui était autrefois un Empire resplendissant.

Un jour, alors qu'il vient de fêter ses 23 ans, il était en expédition d'exploration au bord de la mer fumeuse, il découvre par hasard un petit bosquet avec une clairière où plusieurs dizaines de cadavres étaient allongés au sol, il conclut rapidement qu'une bataille s'était déroulée ici; mais avec les années et après avoir découvert plusieurs centaines de cadavres il comprit bien vite qu'il n'était pas des valyriens sans savoir qu'en réalité il venait de découvrir des hommes portants casque et armures arborant le blason de la maison Lannister de Westero et était à seulement quelques mètres du cadavre du célèbre Tommen II de la maison Lannister près de la plage où l’on pouvait constater les rares restent de planche de bois pourrissant qui était autrefois son navire sur la plage après s'être échoué.

Alors qu'il prenait 25 ans, sa relation avec sa demi-sœur cadette changea progressivement quand elle approcha de sa majorité, ce qui est vu comme une hérésie par le reste du monde ait vu comme une chose totalement naturelle pour les Valyriens. Moi-même, j'avais eu du mal a mis faire au début quand je voyais Tyraemarr et Vhaenya, mais en me liant d'amitié avec cette dernière je me suis fait à l'idée et quand j'appris la relation entre Maegor et sa demi-sœur Jaenyra je n'étais plus du tout surpris. Il s'affichait rarement ensemble profitant du peu de temps où Maegor rester à Elyria pour être ensemble, oui parce que Maegor était très investi dans la mission familiale est passé le plus clair de son temps à explorer les anciennes ruines de Valyria qu'à Elyria. Mais malgré sa mission, il revenait toujours quelquefois dans l'année pour voir la femme qui occupe toutes ses pensées et son cœur, pour ce qui est de l'avis de leur père, il n'était pas contre bien au contraire, il était heureux de voir que la succession était assurée derrière lui, sans savoir que de l'autre côté du détroit il y avait aussi une valyrienne de sang pur en âge d'être marié. Deux ans plus tard, Tyraemarr, Maegor et ses fils ainsi que moi-même rencontrâmes Ugor un prêtre rouge à notre retour de l'une de nos expéditions, bien que j'aie entendu parler de la foi R'hllor très présente en Essos, je n'ai jamais vu un prêtre de R'hllor. Il nous raconta l'histoire d'Azhor Ahai, le légendaire sauveur de la Lumière contre les ténèbres ainsi que la prophétie d'un élu qui viendrait à nouveau sauver le monde. Tyraemarr fut certainement le plus convaincu de cette histoire ainsi qu'un ou deux de ses fils, mais moi et Maegor furent sans doute les plus septiques. Maegor étant fidèle aux anciens dieux de Valyria il resta méfiant sans être mal poli parce que comme ses ancêtres il autorisera toutes les religions dans le nouvel empire à naître et puis pour l'histoire de l'élu, il ne pense pas du tout que ça soit lui, son esprit est bien trop occupé à sa mission, à moins que le maître de la lumière à des projets en rapport avec son objectif ou bien quelque chose qui le dépasse ? Nulle ne le sait !

Un an avant la conquête d'Aegon Targaryen sur Westeros, le Valtigar à envahi et piller l'île aux cèdres où il prit vivre et hommes pour les enrôler dans l'armée de son père, non pas pour combattre, mais leur faire remonter de l'eau les précieux trésors de l'ancienne Valyria, très peu s'en sortiront vivants, manque de nourriture, attraper part les hommes de pierre... Une idée de Maegor pour économiser les hommes valyriens qui étaient précieux pour Tyraemarr. Quelque temps plus tard, une réunion eut lieu entre les membres de la famille et moi-même, Tyraemarr savait qu'il était proche d'arriver à ses fins, chaque jour il réussit à remonter de plus en plus de trésors, il a même réussi à trouver l'emplacement exact ou était l'ancien palais où résider sa famille avant le fléau et a remonté bon nombre de trésor, mais l'un des plus sacrés fut l'épée Ringil (la flamme de l'Est) en référence à sa lame d'une blancheur telle qu'on pouvait la voir à la fin de sa remontée dans l'eau, alors qu'il faisait nuit, mais c'est grâce au reflet de la lune à traverser l'eau. Tyraemarr est le processeur légitime de l'épée étant donné qu'elle était réservée uniquement au Lord de la maison Valtigar depuis sa fondation. Après cette trouvaille inespérée, il décide pour la première fois d'entrevoir un avenir, c'est pourquoi il charge son fils aîné Maegor d'aller vers les cités libres pour commencer à prendre la température et voir ce nouvel empire que venait de créer un dénommé Cleitos Caradreo ! Jaenyra ne voulant pas être loin de l'homme qu'elle aime réussit à avoir l'accord de son père pour accompagner son frère sous la condition qu'Ugor les accompagne après que ce dernier ait discuté avec leur père. Malheureusement pour moi, je n'ai pas eu cette chance, j'ai dû rester auprès de Tyraemarr malgré mes demandes et mon envie de partager ses nouvelles aventures de Maegor vers l'Ouest et aussi parce qu'avec les années je me suis attaché à cette enfant que j'ai tenue dans mes bras alors qu'il n'avait que quelques mois, veuillez donc m'excuser pour le manque d'information pour ce qui va suivre, n'étant pas allé là-bas avec eux, j'ai eu juste quelques nouvelles par corbeau. En trois mois ils ont réussi à visiter presque toutes les cités libres que contrôler ce Cleitos, je me rappelle encore dans ses lettres que Maegor devait à chaque fois se teindre ou plutôt se salir volontairement les cheveux pour éviter qu'on ne voit sa chevelure qui ne passe pas inaperçue. Bien entendu, il ne m'a rien dit de confidentiel en cas ou si la lettre aurait été interceptée, mais il m'a laissé quelques phrases clé pour me faire comprendre que sa mission se déroulait très bien, m'annonçant que les forces militaires de ce Cleitos étaient assez fragiles par endroits, mais qu'il était bien plus fort que nous de toute évidence, mais on pouvait compter sur ses ennemis mécontents de sa politique qu'on pouvait compter pour contrebalancer la donne s'il devait y avoir un conflit. Étrangement ce fut dans sa capitale, Volantis, ou la mission de corruption eu le plus de succès, qu'on le doit énormément à Ugor et ses nombreux contacts dans la ville et surtout quelle abrite le grand temple et le grand-prêtre de la religion R'hllor qui a une influence non négligeable.
Quand la situation se stabilise, Tyraemarr et moi-même arrivons à Volantis par navire pour réclamer le trône qui revenait légitimement au père de Maegor par son ascendance et par les exploits réaliser à Valyria et les trésors qui ont été remontés des anciennes ruines des cités valyriens. Étrangement, ce Cleitos ne protesta pas contre la revendication, ce qui a fait encore plus grandir ma méfiance et celle de Maegor envers cet homme, quel souverain laisserait volontairement et sans protester son trône a un autre prétendant ? Nous avons passé beaucoup de temps à discuter Maegor et moi-même à mon arrivée dans la cité, au point que nous n'avions guère participé aux discussions entre Ugor, Tyraemarr et Cleitos. Il préféra plutôt me raconter ses périples de ses trois derniers mois en Essos mais aussi me confier son inquiète sur Ugor et Cleitos, il est vrai que Maegor est un homme d'action préférant les champs de bataille que la politique ou les coups bas sont légion et l'honneur et la loyauté en soit absent, là-dessus il compte énormément sur sa sœur cadette et son amour de toujours Jaenyra pour l'épauler, tous deux formes un duo complémentaire et redoutable, si lui excelle dans la stratégie et la guerre, sa sœur à défaut d'avoir des qualités de combattante à une redoutable expérience dans les jeux d'alliances politiques et peut se montrer aussi féroce que son frère sur un champ de bataille. Mais détrompez-vous si vous pensez que Maegor est quelqu'un de naïf, moi et son père nous lui avions tout de même appris les rouages de la politique que tout héritier doit savoir, voilà pourquoi il se montre assez réticent à donner toute sa confiance a ces deux personnes, il sait que dans ce milieu beaucoup de monde joue un double jeu, encore une fois pourquoi Cleitos aurait gentiment laissé sa place sans protester ? Ugor aide-t-il vraiment les Valtigar où est-ce qu'il l'est utilisé pour ses propres dessins ? Tant de questions qui sont sans réponse pour Maegor qui attend de voir dans le temps et observer discrètement de loin ce qui se passe pour déceler les objectifs cachés de chacun, s'il s'avère que c'est soupçon sont fondée.

Quelques mois plus tard, je me retrouvai sur les quais de Volantis avec Tyraemarr pour dire au revoir à Maegor accompagner d'Ugor et de Jaenyra et de quelques hommes qui avait pour mission de faire voile vers Westeros, son père lui a confié une autre mission, celle d'entrée en contact avec les différents royaumes de ce continent et faire des alliances. Après nos adieux qui j'espère n'ai que temporaire comme tous ses voyages jusqu'à présent, pour voir son navire disparaître au large. J'appris dans l'une de ses lettres quelques jours plus tard qu'il se trouvait aux Dégrés de Pierre et avait pris le contrôle des îles après avoir tué une partie et soumis à son autorité les autres pirates qui contrôlaient ce détroit avant son arrivée. J'avais réussi à glisser une lettre dans ses bagages qu'il remarque est en prend connaissance un soir en la lisant au bord d'une falaise devant un coucher de soleil qui lui offrait une vue imprenable sur les côtes dornienne qu'on pouvait discerner au loin. Cher Maegor, j'espère que ton voyage s'est déroulé sans encombre, je me suis permis de déposer cette lettre pour te dire de ne pas oublier toutes nos discussions et leçons que ton père et moi t'avons apprises. Parce qu'où tu vas, tu vas avoir besoin de mettre en pratique tout ce que tu sais pour survivre sur ce continent, rappelle-toi de nos leçons sur les différentes maisons, leurs rivalités, leurs religions et leurs coutumes. Ne fait confiance à personne là-bas, tu es qu'un étranger pour eux même si certaines personnes sont dignes de confiance d'après des bruits de couloir, ne prends aucun risque insensé et n'hésite pas à consulter ta sœur quand le doute t'habite, vous êtes bien plus redoutable à deux que séparément ! Concernant Ugor, écoute ses conseils, mais ne prends pas tout pour argent comptant et pour sa prophétie laisse là de côté, dans ma vie, j'ai vu bien des hommes faire des choses insensées où se prendre pour un dieu avec des prêtres qui leurs murmures et flatté leurs égos et sont devenues des hommes aigris et rongés par un fanatisme extrême ! Je sais bien que tu n’es pas comme ça, mais rappelles toi aussi que tous hommes à un côté sombre qui abritent en lui et j'ai partagé assez de temps auprès de ta famille pour te dire que les Valtigar ont un côté sombre en eux, ça sera à toi de trouver le fragile équilibre intérieur entre le bien et le mal qui ne peuvent pas être dissocié l'un et l'autre, ils vont de pair. Rappelle-toi de la malédiction des Valtigar et des mots que je t'ai dits concernant les derniers mots de ta mère avant de rejoindre les dieux, quelle espérée pour toi que les sacrifices que tu feras ne seront pas trop lourdes pour lever cette malédiction qui pèse sur cette famille depuis des décennies. La guerre et le pouvoir changent les hommes, il attire le pire et corrompt le meilleur, j'espère que tu ne te perdras pas en chemin et que tu trouveras les réponses à tes questions ! J'espère que tu prouveras à tout le monde que tu peux faire le meilleur prétendant au trône pour le monde entier, moi j'en suis persuadé ! J'espère aussi être encore de ce monde pour être là le jour où tu monteras sur le trône de ton père pour diriger ce monde en plein tourment, mais je ne suis plus aussi jeune que par le passé où je suivais ton grand-père et ton père après lui dans leurs expéditions, j'étais là quand tu es venu au monde et poussé ton premier crie, aujourd'hui tu es comme un fils pour moi ! J'ai eu une vie bien remplie et j'ai accompli mon destin pour apporter une pierre à l'édifice que tu t'apprêtes à finaliser et clôturé au nom de tes ancêtres qui t’ont précédé. Envole-toi, Dragon de l'Est !

La vie et la malédiction d'une famille valyrienne, comment les Valtigar ont redoré le blason de leur ancien empire, par Valirion Doraeris.

Pour les futures générations, qui doivent savoir la véritable histoire de leurs aïeux et par où ils sont passés pour arriver là où ils sont aujourd'hui !