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Margot Robbie est <a href="https://bloody-crown.forumactif.org/t8059-tricia-gardener-croitre-avec-vigueur#239872"><span class="Gp_Bief">Tricia Gardener</span></a>

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<span class="Gp_Bief">Tricia Gardener</span> - Je suis fidèle à mon souverain - Dame - <a href="https://bloody-crown.forumactif.org/t8059-tricia-gardener-croitre-avec-vigueur#239872">Pv libre</a>

LIEU

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<a href="https://bloody-crown.forumactif.org/u775"><span class="Gp_Bief">Tricia Gardener</span></a> se trouve à <span class="Gp_Bief">Hightower</span>

Le jour où Tricia Hightower est née, les femmes présentes autour de sa mère, Lady Ornella, virent un signe dans ce magnifique rayon de soleil qui transperça les carreaux des fenêtres et vint baigner la mère et sa fille de sa chaude lumière dorée. L’enfant était magnifique. Gentille et souriante dès ses tous premiers mois, Tricia faisait l’unanimité auprès de ses parents et des gens de leur maisonnée. On raconte que même les gens de passage au Phare des Hightower de Villevieille, désiraient voir de leurs yeux cette petite fille aux cheveux dorés si belle qu’on aurait dit qu’elle avait été dessinée par les Sept en personne. Et plus le temps passait, plus la renommée de la petite fille gagnait en puissance.

Très impliquée dans ses études, ses précepteurs louaient sa concentration et sa curiosité, Tricia n’étant pas avare de questions au sujet de l’histoire de Westeros et des origines de sa famille. Sa mère étant une femme d’une grande piété, c’est tout naturellement vers la Foi des Sept qu’elle entraîna sa fille dès que son âge le lui permit. Ainsi, à côté de ses leçons d’histoire, de géographie, de lecture et d’écriture, Tricia recevait un enseignement religieux strict. Qu’elle soit entourée de sa mère ou d’une Septa qui lui fut assignée dès l’âge de cinq ans, les journées de l’enfant étaient toutes rythmées de la même manière : leçons, prières et enseignement des arts que doit savoir maîtriser une dame de son rang. C’était sa mère qui se chargeait de cette tâche-là. A ses côtés, elle apprit la broderie, la maîtrise de la lyre et le chant, mais aussi le dessin, la danse et l’art de faire la conversation en société. De son père, elle apprit l’art de monter à cheval. Plutôt douée dans ce domaine, la musique restait cependant son art, son domaine de prédilection. Enjouée et toujours le sourire aux lèvres, il n’était pas rare de la voir entourée de ses amies, dont surtout la jeune Alysanne Goldwyne. Très proches l’une de l’autre, elles évoluaient main dans la main comme des sœurs à travers les couloirs du château des Hightower. Pourtant, Tricia n’était pas la seule enfant de Lord et Lady Hightower. Son frère aîné, Manfred, a toujours eu une grande place dans son cœur. Elle l’admirait beaucoup et était fière d’être sa sœur. Et bien que son éducation soit à mille lieues de celle que reçu Manfred, la jeune fille aimait tendrement son frère et s’était jurée de toujours être là pour lui, peu importe ce que l’avenir leur réserverait à tous les deux.

Pourtant, à 16 ans, l’avenir de Tricia fut bouleversé du tout au tout en apprenant que ses parents l’avaient fiancé à nul autre qu’au Roi du Bief, Mern Gardener. De part sa noble naissance, Tricia l’avait déjà brièvement croisé lors de banquets ou de réceptions donnés à Hautjardin auxquels ses parents et son frère étaient invités. Mais jamais n’aurait-elle pensé qu’elle serait choisi pour être la future Reine du Bief. Très inquiète à l’idée de ne pas être à la hauteur des attentes de sa famille, du Roi et du peuple du Bief, Tricia décida qu’elle pourrait arriver à surmonter cette pression si elle était entourée de personnes de sa connaissance et qui lui sont chères. Elle fit donc tout naturellement appel à son amie de toujours, Alysanne Goldwyne, pour être sa dame de compagnie. D’autres jeunes femmes vinrent rejoindre les deux amies une fois le mariage de Tricia et de Mern célébrer à Hautjardin et, grâce à elles, Tricia se sentit plus en sécurité et plus en confiance pour affronter ses nouvelles responsabilités de Reine du haut de ses 17 ans.

Ce qu’elle redoutait cependant le plus, c’était de décevoir son époux plus que de décevoir sa famille ou ses nouveaux sujets. Pour eux, elle avait confiance en ses compétences, en sa chaleur et en sa gentillesse pour faire d’elle une Reine abordable, chaleureuse et attentive pour n’importe lequel de ses sujets et pour faire honneur à sa maison de naissance. En revanche, son cœur battait toujours avec plus de férocité dès lors qu’il s’agissait du Roi. Mern Gardener l’impressionnait. Elle n’osait le regarder dans les yeux et ne lui parlait que lorsque lui-même lui adressait la parole. C’était cependant sans compter sur sa grande beauté, une beauté lumineuse qui charma le Roi et qui le poussa, inconsciemment, à faire la cour à sa femme, à déployer tout son charme, ses sourires et sa bonne compagnie pour la mettre à l’aise, pour qu’elle se sente bien à son bras et à ses côtés. Mern avait deviné que, sous ce regard bleu clair timide qu’elle posait sur lui en rougissant, Tricia avait toutes les qualités d’une Reine, et qu’il était temps qu’elle sache les exploiter à bon escient. Et elle se prit au jeu, se détendit à ses côtés et lui ouvrit son cœur, sans concession. Amoureux l’un de l’autre, il ne manquait plus qu’un enfant pour combler le couple royal de bonheur et pour assurer la lignée des Gardener. Hélas, le ventre de Tricia s’obstinait à refuser de porter la vie, malgré deux fausse-couches. Accablée par le chagrin de ne pouvoir satisfaire son désir de maternité et par l’anxiété d’avoir déçu tant de monde – son Roi, sa famille, ses sujets – Tricia se replie sur elle-même et choisit de se consacrer à la diplomatie entre les royaumes, un domaine dans lequel elle pensait exceller suffisamment pour éviter que le sang ne vienne souiller les vertes terres du Bief. Hélas, elle se trompait.

Malgré ses présences aux tournois et au Grand Banquet de Hautjardin dont elle fut l’une des principales organisatrices, les tensions entre le Bief, Dorne et l’Orage ne cessaient de croître sous ses yeux impuissants. Pires encore furent pour elle les rumeurs au sujet d’un homme dont la droiture ne pouvait – lui semblait-il – être remise en question. Kevan Gardener, le frère du Roi, n’avait, de prime abord, rien du traître. Son comportement était toujours exemplaire et même elle, devait reconnaître que si tous les hommes étaient comme lui, le monde s’en trouverait bien plus sûr qu’il ne l’était présentement. Pourtant, quelque chose en lui éveillait ses soupçons. Quelque part, la Reine du Bief se disait qu’une telle droiture digne des Seigneurs et Chevaliers des légendes de son enfance ne pouvait que servir de rempart pour cacher un secret plus sombre. Si elle n’en souffla mot à quiconque, pas même à Alysanne, entretemps devenue Alysanne Cuy, une union qu’elle avait elle-même appuyé auprès de Lord Cuy, elle ne fut pas pour autant surprise en apprenant qu’il était accusé de trahison envers son frère le Roi, dès l’instant où il abandonna sa garnison de Corcollines pour fuir vers les Terres de l’Orage et rejoindre la Reine Argella Durrandon. Comment avait-il pu ?! Alors que Bief et Orage sont loin d’avoir des relations pacifiques ?! Pire encore avec la coalition que formait l’ennemi avec un autre ennemi du Bief, Dorne ?! Mern était entré dans une colère noire et avait monté une grande armée avant de marcher vers la guerre, laissant Tricia à Hautjardin en tant que régente en son absence.

Elle sut tout des batailles, de l’avancée des armées sur l’une ou sur l’autre, y compris de la capture de son mari, blessé par des hommes de l’Orage, après la seconde bataille de Tinivel. En entendant sa capture, elle sut que la guerre était en train de prendre un tournant décisif mais elle ne s’attendait certainement pas à recevoir des nouvelles de son décès. Ses blessures étaient-elles si graves ? Il était un prisonnier de guerre et de très haut rang ; pourquoi ses geôliers l’avaient-ils laissé dans cet état plutôt que de chercher à le soigner ? « Ils voulaient sa mort » se dit-elle finalement et dès lors, Dorne et Orage, ne furent plus uniquement les ennemis du Bief à ses yeux, mais également les assassins de l’homme qu’elle aimait, de son Roi. Consciente que son trépas signifiait que sa place à elle, déjà fragilisée par l’absence d’héritier, était plus que bancale, Tricia préférait toutefois tempérer les choses, s’en remettant aux bons conseils de ses parents. C’est sa mère qui, un mois plus tard, inquiète pour la sécurité de sa fille, lui conseilla d’envisager d’abdiquer en faveur de son frère, Manfred. Tricia devait bien avouer que l’idée lui avait déjà traversé l’esprit. Il fallait dire que Manfred avait toujours sû montrer son soutien au Roi Mern. D'abord en tant que Ministre de la Guerre, un poste qu'elle-même appuya auprès de son époux, puis en tant que principal soutien de la Foi avant de remplacer son traître de frère, Kevan, en devenant son plus proche conseiller. Et puis, il y avait eu son mariage à Harrenhal avec Eren Hoare, conférant au Bief un allié puissant et une avancée déterminante dans la guerre opposant le Bief à Dorne et à l'Orage. Et même après le décès de Mern, Manfred avait poursuivit son combat avec plus d'acharnement qu'aucun autre homme n'aurait pu en être capable. ll fallait de toute manière quelqu’un ayant la poigne et l’autorité suffisante pour rassembler le Bief. Tricia n’était pas cette personne. Elle était aimée du peuple, mais ce n'était pas une reine-guerrière. Mais Manfred, lui, avait toutes les qualités qui lui faisait défaut, et il le lui fit clairement comprendre, autant par ses actes et ses victoires successives que par ses lettres, et elles furent nombreuses, dans lesquelles Manfred lui offrait son aide pour gérer la révolte ayant lieu dans le nord du pays. Confuse et incertaine à l'idée de céder sa place légitime à son frère malgré toutes ses bonnes actions et bonnes intentions de vouloir aider sa sœur dans ces temps difficiles, Tricia restait inquiète. Que penserait-on d'elle? Elle qu'on voyait pourtant si présente aux côtés de Mern? Le voilà partit et, plutôt que de poursuivre son œuvre au péril de sa vie, la voilà qui choisit la solution de facilité en cédant sa place à un homme dont la seule légitimité résiderait dans sa filiation avec l'actuelle Reine du Bief ainsi que dans ses victoires militaires? Tricia aurait hésité encore longtemps si sa mère, qu'elle tenait au courant de la situation, ne l'avait pas presque exhorté à accepter cette main tendue de son aîné. Il en allait de sa sécurité, de sa survie, lui écrivait-elle dans une de ses dernières lettres. Alors Tricia médita, relu les dernières lettres de sa mère et de son frère et finit par écrire à ce dernier, l’informant qu'elle acceptait finalement sa proposition, préférant le voir lui à la tête d'un futur royaume en paix plutôt que de se maintenir dans une position qu'elle ne pouvait gérer seule et, disons-le, qu'elle ne comprenait guère étant donné son peu de connaissance en matière militaire. Elle signa officiellement le décret durant le premier mois de l’An 1. Les rênes du Bief appartenaient désormais au Roi Manfred Hightower et à la Reine Eren. Tricia, elle, resterait dans les annales des Mestres de Villevieille comme une ancienne Reine du Bief infertile et incapable de gérer un royaume en proie à la guerre sans la présence d’un homme à ses côtés. Veuve éplorée, Reine redevenue Dame, elle s’en retourna à Villevieille, entourée de ses dames de compagnie dont elle refusait de se séparer.

Désirant se changer les idées, Tricia accepta l’invitation des Lannister et se rendit à Castral-Roc en tant qu’ambassadrice du Bief afin d’assister au Tournoi de Port-Lannis et de séjourner dans la demeure des Lions du Roc, qu’on disait grandiose et impressionnante, ne serait-ce que par sa position en flanc de falaise. Effectivement, Tricia garda un excellent souvenir du tournoi et de son séjour auprès des Lannister, qui furent des hôtes attentionnés et prévenants envers sa condition passée de Reine et présente de Dame de Villevieille. Elle était d’ailleurs toujours à leurs côtés en apprenant les victoires successives de son frère ainsi que son couronnement où son absence fit jaser les Bieffois présents. Avant de quitter Castral-Roc, Tricia adressa néanmoins une lettre d’excuse et de félicitations au Roi son frère tout en lui promettant de venir le voir très vite. Mais plus le fief des Lannister s’éloignait et plus celui de Hautjardin se rapprochait, plus Tricia se sentait prise dans un étau. Incapable de respirer et au comble de l’angoisse quant à l’idée d’arpenter à nouveau les couloirs de Hautjardin où tout lui rappellerait son ancien statut de Reine sans parler de la présence – ou plutôt de l’absence – de Mern, Tricia préféra s’arrêter à Villevieille, auprès de ses parents qu’elle serra dans ses bras.

Ses journées ne furent alors que prières et solitudes, Tricia prenant son veuvage très à cœur. Elle refusait toutes les invitations et ne quittait le Phare que pour se rendre aux Sept Sanctuaires, l’un des nombreux Septuaires de la cité situés dans les jardins sur la rive ouest de l'Hydromel, afin de prier chaque divinité pour l’âme du Roi Mern Gardener. Même l’annonce du décès du traître, Kevan Gardener, n’entacha en rien sa dévotion envers les Sept et son veuvage, quoi qu’intérieurement, elle se réjouissait que la roue du destin ait fini par le frapper, lui aussi. Ce n’est qu’en apprenant la naissance de sa nièce, Ceryse Hightower, que Tricia comprit qu’il était temps pour elle de se rendre à Hautjardin. Une nouvelle absence d’elle pour l’arrivée au monde de l’héritière du couple royal serait, cette fois, impardonnable. Alors elle prit sur elle et, épaulée par ses fidèles dames de compagnie, quitta Villevieille pour Hautjardin. Que ce fut difficile pour elle, de revenir entre ces murs…Elle tâcha de faire bonne figure devant son frère et devant son épouse, qu’elle rencontrait pour la première fois, mais, intérieurement, Tricia était déchirée par le chagrin. Bien sûr, trop digne et fière pour le montrer, encore moins à cette Hoare qu’elle n’appréciait pas, ne supportant pas que cette femme tienne la place qui fut jadis la sienne, Tricia faisait en sorte de rayonner à Hautjardin. Ses tenues étaient dignes de celles d’une Reine et ses bijoux renvoyaient des éclats dorés et colorés sur sa peau, accentuant la blondeur de ses cheveux ou le bleu de ses yeux. Plusieurs Seigneurs et Chevaliers, de passage à Hautjardin, lui firent la cour, désirant obtenir ne serait-ce qu’un sourire ou une main délicatement posée sur leur avant-bras le temps d’une promenade dans les jardins de la cité. Tricia leur donnait tout cela, sans aller au-delà d’une danse après un dîner. Leurs attentions lui faisaient oublier sa condition de simple Dame de Villevieille et ce que cet endroit représentait, représente encore et représentera toujours pour elle. Mais plus le temps passait, plus elle se sentait tout bonnement inutile à Hautjardin.

Manfred gérait ses terres d’une main de fer et elle le constata d’elle-même en étant témoin de pendaisons d’espions de l’Empire, un spectacle qui la choqua et qui la força à détourner le regard. De plus, leur relation n’était plus pareille depuis qu’elle avait abdiqué en sa faveur…Elle avait l’impression qu’il se méfiait d’elle, à en juger les regards soupçonneux qu’elle sentait parfois plonger sur elle, où la façon dont il lui répondait qui la faisait frémir sans savoir vraiment pourquoi. Une intuition ? Peut-être ? Et puis, Manfred avait Eren. Eren n’était pas comme elle. Là où Tricia avait la grâce et l’élégance d’une Reine, Eren, elle, avait la force et le caractère pour vraiment tenir ce rôle, qui plus est aux côtés de son frère. Ne voulant pas avoir à supporter le spectacle de leur couple plus que nécessaire, Tricia choisit de quitter Hautjardin au cours du deuxième mois de l’An 2, profitant de l’absence d’Eren pour ne pas avoir à lui faire ses adieux. Il était temps qu’elle prenne vraiment son rôle de Dame de Villevieille à cœur. C’est là-bas, aux côtés de sa mère et de son père, qu’était sa place et elle le restera jusqu’à ce que, peut-être les Sept ne lui désignent un nouvel époux ou que son frère n’ait besoin d’elle. En partant, elle se proposa de maintenir ce rôle d’ambassadrice du Bief qu’elle avait eu auprès des Lannister. Ainsi, elle faisait comprendre à son frère qu’elle restait disponible pour lui, malgré son départ, et qu’elle tenait à l’assister, à lui être utile d’une quelconque manière. Après avoir embrassé son frère et sa nièce, Tricia et ses dames repartirent pour Villevieille où l’ancienne Reine du Bief fit merveille en tant que bienfaitrice auprès des plus pauvres, des orphelins et des malades, mais aussi en tant que mécène auprès d’artistes de tout horizons. Sa vie à Villevieille lui plaisait et elle était ravie de pouvoir aider sa mère au bon maintien du Phare des Hightower, leur demeure ancestral. Mais un soir, au dîner, leur père fit mention d’une révolte aux Météores, que les habitants attaquaient et s’en prenaient impunément aux marchands du Bief et aux représentants du Grand Septon en personne ! Choquée, Tricia posa une main sur son cœur et songea que, peut-être, son rôle d’ambassadrice allait être utile bien plus tôt qu’elle ne le pensait. En apprenant que le Roi son frère allait s'arrêter à Villevieille sur son trajet vers Hautjardin depuis l'Ouest, Tricia se mit à guetter les bannières aux couleurs des Hightower depuis les remparts de la ville. Son coeur s'emballa lorsqu'elle finit par les voir, il y a quelques semaines de cela. Pendant quelques jours, le frère et la soeur furent réunis sous le toit qui les avait vu naître mais malheureusement, l'insouciance de l'enfance était loin derrière eux. Tricia était inquiète au sujet de cette guerre qui semble grossir de jour en jour, obligeant son frère à chercher des alliés loin en-dehors des frontières de son pays. Si elle lui fit part de ses inquiétudes, elle lui assura cependant qu'elle n'avait pas oublié qu'il l'avait été là lorsqu'elle en avait eu besoin et qu'elle était désormais prête à jouer son rôle, elle aussi, dans ce conflit de grande envergure.