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Zack McGowan est <a href="http://bloody-crown.forumactif.org/t5975-rodrik-harloi#161237"><span class="Gp_Conflans">Rodrik Harloi</span></a>

RECENCEMENT

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<span class="Gp_Conflans">Rodrik Harloi</span> - Je suis fidèle à mon souverain - Lord - <a href="http://bloody-crown.forumactif.org/t5975-rodrik-harloi#161237">Personne inventé</a>

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<a href="http://bloody-crown.forumactif.org/u602"><span class="Gp_Conflans">Rodrik Harloi</span></a> se trouve à <span class="Gp_Ouest">En mer, près des côtes de l'Ouest</span>

C’est par une lugubre nuit en l’An -31, dans une chambre des Dix-Tours, qu’Annalys Harloi met au monde son premier enfant. Son époux, le Lord Theon Harloi, n’est pas à ses côtés durant cette épreuve, vu qu’il est reparti rejoindre son Roi dans sa guerre contre le Val. Toutefois, la jeune mère ne s’en formalisa pas, comprenant le besoin de batailles de son mari. Même si elle reçut des missives par corbeaux régulièrement, ce n’est qu’un peu plus d’un an après la naissance de Rodrik, que le jeune père revint auprès des siens. Immédiatement, en voyant le robuste fer-né que sa femme avait mis au monde, l’homme décida de remettre ça pour accentuer le prestige de sa Maison avec des fils capables de commander les troupes. Il ne fallut d’ailleurs pas très longtemps pour qu’Annalys retombe enceinte, la compatibilité entre les deux époux étant visiblement parfaite. C’est donc deux ans après la naissance de son premier fils que le second fit son apparition.

Les années passèrent et la famille s’agrandit encore avec deux autres naissances, un troisième fils et également une fille. Bien sûr, Theon ne comptait pas les laisser à leur sort ou entre les mains d’un quelconque Maître d’armes. Il prit soin lui-même d’éduquer ses fils à l’art de la guerre et au combat. Chaque jour, le rituel était le même pour Rodrik, Gerolt et Maron, l’entraînement, l’apprentissage de la navigation, de nouveau l’entraînement, la stratégie militaire et encore de l’entraînement. Assez rapidement, Rodrik montra de très bonnes capacités de commandement et de combat, alors que Maron lui était un navigateur de talent. Il n’y avait que Gerolt qui ne semblait pas vraiment s’intéresser à autre chose que le combat et l’oisiveté. Régulièrement, les enfants combattaient contre leur père ou même contre certains de ses hommes. On pouvait dire que Theon était un père très fier de sa progéniture et qu’un lien particulier les unissait. S’il se désintéressait totalement de sa fille, ses fils étaient ce qui comptait le plus pour lui. Bien sûr, cela reléguait leur mère au second plan et à chaque conflit dans la famille, les fils prenaient automatiquement le parti de leur père, forçant Annalys à s’effacer toujours plus.


L’adolescence et les hormones ne manquèrent pas de faire leurs œuvres dans la famille Harloi, comme dans bien d’autres. Toutefois, les choses étaient un peu différentes car pour récompenser Rodrik de son assiduité et comme cadeau d’anniversaire, son père l’emmena avec lui pour piller quelques villages côtiers du Nord. Pour le jeune garçon de 14 ans, c’était la première fois qu’il allait participer à un raid et l’excitation était palpable. Les hommes de son père ne manquèrent d’ailleurs pas de le charrier dans une ambiance bon-enfant, jusqu’à ce que leur cible se profile à l’horizon. Le boutre coula plusieurs petits bateaux de pêche, avant de décharger les guerriers sanguinaires sur la plage. Suivant son père et hurlant comme lui pour se donner du courage, le jeune garçon fit face aux paysans comme s’ils étaient de farouches guerriers, les tranchant avec son épée et fracassant leur crâne avec sa hache. L’odeur du sang, ce goût métallique dans sa bouche avec les éclaboussures qui recouvraient son visage et sa tunique, tout était là pour lui donner l’envie de continuer. Bien loin de se contenter d’une victime, Rodrik massacra plusieurs villageois sous le regard fier de son paternel.

Rapidement, les Fer-nés eurent mis à genoux l’ensemble des opposants et commencèrent leur besogne. Entre le pillage des maisons et l’exécution de ceux qui s’étaient montrés trop imprudent, les femmes furent rassemblées afin qu’un peu de plaisir soit offert aux guerriers. L’honneur de choisir en premier revint à l’adolescent dont s’était l’anniversaire et évidemment, il prit soin de choisir la plus belle fille de ce petit village. Premier meurtre et premier viol, comment espérer meilleur cadeau ! Il s’en donna à cœur-joie, ravageant la pauvre fille qui ne pouvait que subir en pleurant et hurlant pour son salut. Une fois terminé, il remonta son pantalon, un sourire satisfait aux lèvres alors qu’il laissait sa pauvre victime prostrée au sol. Fier de son rejeton, Theon organisa une fête avec les victuailles dérobées et chacun honora le nouveau membre de l’équipage par des hurlements sanguinaires.

A son retour, il fut accueilli en homme par ses frères, tout deux un peu jaloux de ne pas avoir pu participer également à l’attaque. Bien sûr, leur père ne manqua pas de les convier au suivant, pour leur plus grande joie. Au fil du temps, Rodrik était devenu un guerrier talentueux qui possédait sa propre escouade lors des pillages. Il faisait la fierté de son père et régulièrement, ils buvaient ensemble pendant que Theon lui racontait ses batailles et ses raids, enjolivant grandement les choses pour laisser croire à son fils qu’il avait participé à bon nombre de combats épiques.


Trois ans plus tard, les choses changèrent radicalement. La guerre entre Harren le Noir et le Nord fit s’échauffer les esprits et les lames. La Maison Harloi était prête au combat et comptait bien faire honneur à son nom et à son Roi. Rodrik partit avec son père et son frère, Maron. Gerolt resta avec leur mère et leur sœur afin d’assurer la protection de l’île d’Harloi. La flotte des Harloi rejoint assez rapidement la Flotte de Fer et des raids sont organisés le long des côtes des Roches. Loin d’être assez prudent, le Fer-né s’enfonce trop profondément dans les terres en pourchassant avec ses hommes des villageois trouillards. Malheureusement lorsqu’il les rattrapa, il tomba dans une embuscade de l’armée du Nord. Comprenant bien qu’il n’y avait aucune façon de s’en sortir, Rodrik décida de mener la lutte avec rage et fierté. Il combattit de toutes ses forces, ses hommes le suivant, galvanisés par sa fougue et son courage. Les uns après les autres, ils succombèrent sous les lames trop nombreuses de leurs ennemis. Au bout d’une heure de combat acharné, il ne restait que trois fer-nés encore debout dont Rodrik. Il se tenait devant ses deux guerriers survivants, entièrement recouvert de son sang et de celui de ses ennemis.

Bien que la finalité était connue des trois guerriers, Rodrik ne manqua pas de crier afin de donner du courage à ses hommes, juste avant de charger l’ennemi et de continuer le combat. Malgré ses talents de combattant, il se retrouva à terre et blessé, le coup de grâce allant lui être porté d’une seconde à l’autre. Regardant son ennemi dans les yeux, démontrant une volonté et une rage qui n’était pas celles d’un homme vaincu, il fut sauvé de justesse par l’apparition de Theon et ses troupes. Maron élimina rapidement l’homme qui allait tuer son frère et dès qu’il fut récupéré, les Fer-nés repartirent en vitesse pour ne pas affronter l’ennemi dans une zone qu’il maîtrisait. Cette aventure permit à Rodrik de mûrir un peu et de percevoir la prudence à amener lors de ce genre d’attaque. Les stratégies fer-nés de pillage étaient connues et il fallait donc se méfier pour ne pas tomber dans ce genre de piège. Son père lui apporta son expérience lors des batailles suivantes, lui permettant d’avoir une vision plus vaste du champ de bataille. Malgré les stratégies du Lord Harloi, les troupes du Nord semblaient particulièrement bien organisées et très peu d’attaques permirent de porter un gros coup au Nord. Les incursions dans les terres étaient vite repoussées.

Ces échecs répétés commencèrent doucement à peser sur la fierté de Theo Harloi et ne voulant pas que son Roi pense que ce soit dû à son incompétence, il mit en place uns stratégie osée visant à s’introduire dans les lignes ennemis. Il pensait pouvoir briser la ligne défensive en se concentrant sur un point, pour ensuite détruire le reste de l’armée du Nord par l’arrière. Malheureusement, il n’avait pas prévu que la stratégie de Torrhen consistait en deux lignes successives. La première partie du plan fut donc un succès mais malheureusement, ils se retrouvèrent entre les deux lignes et rapidement pris en tenaille. Le combat fut particulièrement sanglant et meurtrier. Dans l’enfer des lames qui s’entrechoquaient, Rodrik vit son père mourir des mains d’un vassal du Roi du Nord. Fou de rage, il continua la lutte, comprenant bien que les chances de s’en sortir étaient très minces. Ce n’est que lorsqu’il vit Maron enragé également par la mort de leur père qu’il comprit que s’il ne réagissait pas immédiatement, il n’y aurait plus personne pour venger leur géniteur. Il reprit le commandement et donna ses ordres dans un hurlement qui remonta immédiatement le moral de ses hommes.

La centaine de fer-nés restants se déchaîna jusqu’à leur dernier souffle pour faire sortir le corps de leur Lord et ses deux fils. Au final, ils furent nombreux à sacrifier leur vie pour réussir ce tour de force. Par respect envers Theon Harloi et ses fils, beaucoup surpassèrent leur limite, cherchant à retenir l’ennemi ne serait-ce qu’une ou deux secondes de plus, repoussant leur dernier soupir dans une dernière tentative. Ils rejoignirent finalement la côte et le reste de leurs hommes, comprenant que des cinq cents guerriers, seuls Rodrik, Maron et cinq soldats avaient survécu. Le corps de Theon avait été ramené difficilement mais bon, il pouvait honorer son père maintenant et éviter que son corps soit profané en guise de trophée.

Un corbeau fut envoyé aux Dix-Tours afin de prévenir Annalys et le reste de la Maison Harloi. Dans une cérémonie assez simple vu les circonstances, Rodrik fut proclamé Lord de la Maison Harloi et Suzerain de l’Ile d’Harloi. Il alla à la rencontre d’Harren le Noir et lui jura à nouveau allégeance, lui raffirmant la loyauté de la Maison Harloi. Malgré tout ça, la rage et la colère bouillonnaient dans son corps et les combats qui suivirent démontrèrent grandement que le jeune Lord n’était habité que par la vengeance. Durant les deux années de guerre qui suivirent, Rodrik et Maron ne risquèrent plus inconsciemment leurs vies et celles de leurs hommes. Toutefois, ils ne montraient aucune pitié pour les Nordiens et chaque raid se termina en massacre ne laissant presque aucun survivant. Les femmes étaient emmenées pour satisfaire les autres équipages de la Flotte de Fer et une fois usées, elles étaient simplement jetées à la mer en offrande au Dieu Noyé.


Au bout de ces deux années, la paix fut signée entre Harren et Torrhen, laissant la Maison Harloi avec un goût amer dans la bouche. Une sensation de perte et de défaite qui n’était pas du goût du jeune Lord. Malgré tout, il retourna aux Dix-Tours afin d’y prendre officiellement ses fonctions. Leur retour fut fêté dignement et petit à petit, Rodrik commença à assumer ses nouvelles responsabilités avec l’aide de sa mère. Tout comme Maron, il continua à s’entraîner durant cette période de paix. S’arrangeant pour nouer des liens avec les différentes familles des Iles de Fer, il refusa plusieurs propositions de mariage, prétextant vouloir se concentrer sur la reconstruction de l’armée de sa Maison. En réalité, il ne se voyait pas avec la corde au cou et les femmes qu’on lui avait proposé ne lui semblaient pas particulièrement intéressantes. Malgré l’insistance de sa mère, il préféra baiser sans prendre femme, se laissant l’opportunité d’une alliance bien plus juteuse pour sa famille que simplement des amitiés limitées.

Durant cette période, il partit également plusieurs fois en razzia, parfois plus loin comme les Iles d’Eté ou encore Dorne. Cela lui permit de ramener quelques femmes et diverses richesses afin de financer les constructions de boutres et d’armes. Rodrik peaufina également son sens de la stratégie en étudiant de nombreuses batailles et en mettant en place des stratégies lors de situations données. Il envisagea l’attaque des Iles de Fer par le Nord, L’Ouest et même les deux ensembles. Afin de satisfaire la rancœur de Maron et même la sienne, ils organisèrent plusieurs raids sur les côtes du Nord, s’arrangeant pour ne laisser aucun survivant qui pourrait mettre à mal la paix négociée par Harren le Noir. Evidemment, chacun savait parfaitement qu’il s’agissait de l’œuvre de fer-nés mais bon, il n’y avait pas de réelles preuves de leur implication, ce qui détériora petit à petit la mince confiance entre le Royaume du Sel et du Roc et le Royaume du Nord.


L’apparition d’Aegon Targaryen et ses dragons fut une chose compliquée pour les Iles de Fer. Devant cette force incroyable que représentait ces animaux crachant du feu, les tactiques habituelles ne semblaient pas faire le poids. Alors que la plupart commençait à plier le genou devant une telle supériorité, Rodrik fut convié à une réunion secrète stratégique de son Roi. Le plan était de tendre un piège à ce faux Roi et à ses dragons, sous prétexte de négociations. L’idée était d’une fourberie sans égale mais bon, face à l’impossible, il faut parfois trouver des chemins détournés. Les préparatifs se mirent en place dans le plus grand secret et lorsque le grand jour arriva enfin, Rodrik insista pour être au première loge afin d’assister à la fin de ces bêtes mythiques.

Comme prévu, l’homme aux cheveux argentés était bien trop arrogant et confiant. Il se laissa surprendre et sa mort n’en fut que plus savoureuse. Tuer les dragons n’était pas une mince à faire et dans l’opération, Rodrik fut blessé au visage. Malgré tout ça, Harren le Noir était parvenu à réaliser un exploit qui allait inscrire son nom dans l’histoire. Deux Targaryen et deux dragons tombés, ce n’était pas une chose dont beaucoup de personne pouvait se vanter. C’est donc dans l’euphorie générale que son Roi se proclame Roi des 8 Couronnes. Dans l’esprit de Rodrik et de ses hommes, la dernière Targaryen et son dragon ne sont clairement pas des obstacles vu qu’ils viennent d’en tuer deux. Malheureusement, c’était sans compter les autres Royaumes qui profitèrent de la situation et notamment le Nord.

Toutefois, c’est à Dorne que le Roi des 8 Couronnes envoie la Flotte de Fer afin d’affaiblir ses ennemis par un blocus des Mers du Sud. En tant que Commandant de la flotte Harloi et Capitaine de son boutre, le « Faux Sanglante », il obéit aux ordres de son Roi. Et c’est avec une certaine réussite que le blocus se met en place. La plupart des navires croisant leur route sont immédiatement abordés, pillés et coulés sans délai.

Un mois plus tard, les hommes de la Maison Harloi participent à l’attaque de Lancehélion. Une fois le port pris, toutes les embarcations des hommes du sud furent détruites. Se rappelant de son expérience dans le Nord et de la mort de son père, Rodrik ordonna à ses hommes de ne pas trop s’aventurer dans la cité. Leur objectif était très clair et c’était de détruire la flotte dornienne. Ils tuèrent tout ce qui passa à leur portée et en dehors d’une petite escouade qui s’était aventuré trop loin et qui ne revint jamais, il limita grandement les pertes de la Maison Harloi. On pouvait dire que cette fois, il avait appris de ses erreurs et que l’expérience acquise à la dure n’était pas vaine. La Flotte de Fer quitta Lancehélion en ayant accompli son objectif et malgré les lourdes pertes, un sentiment de satisfaction régnait au sein des troupes. Afin de fêter ça, Rodrik offrit à ses hommes quelques dorniennes capturées et comme ultime bras d’honneur aux dorniens, il les offrit au Dieu Noyé une fois chacun satisfait.


Quelques mois plus tard, La Flotte de Fer apprit la mort du Roi Harren le Noir. Cette nouvelle fut un véritable choc. Bien que certains sur les îles de Fer estimaient que le Roi se concentrait trop sur le continent, Rodrik pensait au contraire qu’avoir un pied leur permettant d’organiser les conquêtes était une nécessité. Après tout, il y avait une grosse différence entre porter le combat chez son ennemi et combattre pour la survie de sa demeure. Quoiqu’il en soit, le Lord Harloi fit parvenir un corbeau à Yoren Hoare afin de lui assurer son soutien entier. Les actions de ce dernier et sa réputation en pouvait que rassurer bons nombres de Fer-nés. Il restait à voir si les victoires allaient s’enchaîner ou si au contraire, la situation allait se compliquer sous de nouvelles directives.

Quoi qu’il en soit, les choses changèrent rapidement et le Royaume du Sel et du Roc changea de nom. Cette coupure avec le passé ne fut pas forcément très appréciée par les Suzerains des Iles de Fer et pour cause, le nouveau nom du Royaume laissait présager d’un plus grand intérêt pour le continent que pour les Iles de Fer. Même Rodrik commença à penser que le nouveau Roi allait adoucir les choses et peut-être la jouer plus pacifique mais heureusement, il n’en fut rien. Les traditions guerrières des Fer-nés furent encouragées et les préparations aux batailles futures rassurèrent bien des hommes. Toujours posté dans le sud avec la Flotte de Fer, Rodrik fut récompensé de sa loyauté quand le commandement de la Flotte de Fer lui fut confié pour la bataille de la Pyrrhus. Bien qu’il n’ait fait que profiter de l’absence d’Eren Hoare, cette victoire de l’armée coalisée ne manqua pas de faire jaillir une grande gloire sur la Maison Harloi. En plus, cela prouvait bien que les femmes n’avaient pas leur place sur un champ de bataille.

Durant les dernières discussions qui ont vu la coalition signer un cessez-le-feu avec Dorne, en plus de reluquer quelques dorniennes présentes, Rodrik reçut une missive de son frère Gerolt. Il était question de Myria Hoare et de sa progéniture présente à Villevieille. Bien qu’il n’ait jamais particulièrement apprécié cette femme, vu son dédain pour les Iles de Fer lorsqu’elle y était, son frère semblait l’apprécier un peu plus. Il lui conta ses agissements lors du mariage de Yoren Hoare et sa demande de retrouver son fils. En même temps, il y avait beaucoup de flou autour des agissements de cette femme mais bon, à plusieurs moments cruciaux, elle avait été présente, notamment lors de la révolte de Joren. C’est donc un peu à contre-cœur qu’il accepta de récupérer ce gamin, prétendant au trône, à Villevieille et de le ramener à sa mère, espérant bien que son frère ne faisait pas tout ça pour simplement coucher avec cette femme.