Seconde Bataille de la Campagne de la Néra, impliquant les forces du Roi de l'Orage et celles du Roi du Sel et du Roc Alors que le Roi Harren le Noir a confié le soin à ses bannerets encore loyaux de la Néra d'assembler leurs troupes, les Lord Brune et Sombrelyn ont accumulé, malgré la perte de Sombreval, une petite armée aux alentours de Rosby. Un peu plus loin à Fengué, les Lord Hollard et Potaunoir ont fait de même. Cette force était destinée à contrôler les passages sur la Néra, en attendant l'arrivée du gros de l'armée du Conflans dans quelques semaines. Cette armée, isolée, a un moral défaillant. La prise de Sombreval a été un rude coup porté au moral des loyalistes mais ceux-ci ont néanmoins réussi à assembler un total de 3 800 hommes de qualité disparate. Par effet d'entraînement, aucun des seigneurs du coin à la loyauté chancelante ne déserte avec ses troupes, et l'on dit même que Lord Hollard a amené dans ses bagages des prisonniers Targaryen ! Ces troupes repèrent assez rapidement une longue colonne Durrandon qui franchit la Néra de nuit, le 23ème jour du mois. Le 24, les forces de Fengué et de Rosby font leur jonction au niveau de trois collines dominant le fleuve. En contrebas, le campement Durrandon s'étale sous leurs yeux, et les hommes d'Harren le Noir n'en croient pas leurs yeux. Ce n'est pas une avant-garde, mais le corps de bataille principal d'Argilac Durrandon, sa bannière personnelle flottant au milieu des troupes.
En effet, Argilac Durrandon a pris les devants. Il n'a pourtant pas toutes ses troupes sous la main, mais il dispose tout de même de 16 000 hommes, regroupant aussi bien des orageois que des rebelles de la Néra lui ayant juré allégeance, notamment les maisons Castelfoyer et Thorne. Les orageois, contrairement aux autres royaumes, disposent d'une armée professionnelle, rapidement mobilisable et aguerrie. Son moral est bon mais les troupes sont fatiguées, car elles sont arrivées jusque là à marche forcée pour prendre de vitesse les troupes d'Harren. Le pari est réussi. D'autant plus que l'essentiel de l'armée de l'Orage est formée de troupes de métier, bien entraînées et bien équipées en armures...Clique sur l'image pour l'agrandir Légende :
- Les cercles sont les collines avec la ligne de crête symbolisée par une droite.
- Il y a deux forêts.
- Les unités du Conflans sont en gris, celles des Durrandon en jaune.
- Chaque image représente entre 100 et 150 hommes.
- Les pastilles bleues indiquent les unités endommagées, les rouges indiquent les unités détruites.
Déploiement des troupes du Conflans et plan de batailleLe plan de Lord Sombrelyn, qui commande les troupes au vu de son expérience et de sa résolution suite à la perte de Sombreval, est fort simple. Il va s'arc-bouter sur un réseau de collines face à la plaine de la Néra. Chaque colline disposera de troupes en nombre ; des unités de fantassins moyens pour absorber les chocs et les pertes, soutenues par des lanciers pour apporter de la cohésion et résister à d'éventuelles charges de cavalerie. Pendant ce temps, les archers et arbalétriers arroseront les bataillons-masse de l'ennemi durant leur progression, jouissant d'une portée supérieure depuis les collines. Au centre, le dispositif changera légérement puisqu'il sera en retrait pour permettre la retraite des troupes plus avancées si elles sont débordées. Le centre est de plus tenu par des soldats d'élite, fantassins lourds et hallebardiers. Sur le flanc gauche, une réserve de cavalerie a pour ordre de charger entre les deux collines si des unités Durrandon se présentent de flanc pour attaquer le centre. Autrement, ces unités de cavalerie doivent soutenir la colline la plus proche. Quoiqu'il en soit, Lord Sombrelyn compte faire un maximum de pertes à ses ennemis, mais ne veut pas risquer l'intégralité de son armée alors qu'il combat à moins d'un contre trois.
Déploiement des troupes de l'Orage et plan de batailleArgilac Durrandon est un tacticien de renom. Il le démontre une fois de plus. Cette bataille n'a de fait qu'assez peu d'enjeux ; il est plus de trois fois plus nombreux que son adversaire, ce qui signifie la victoire. Mais au delà de simplement repousser l'ennemi, le Roi de l'Orage souhaite encercler l'ennemi et le détruire pour envoyer un message fort à Harrenhal et prouver au monde entier qu'il ne faut pas mésestimer ses troupes. Il a ainsi adopté un plan fort simple ; son infanterie d'élite, les fameux piquiers de l'Orage, seront formés en trois carrés pour avancer droit devant et contacter chaque colline. Deux batteries d'archers longs intercalés doivent soutenir de leur feu de barrage ces bataillons. Sur les ailes, des unités de seigneurs rebelles de la Néra sont disposées pour protéger les flancs de chaque poussée. Sur la droite, Durrandon a massé sa cavalerie, qui doit soutenir les assauts sur la colline de droite, puis pousser en direction de Rosby pour prendre la petite armée Hoare à revers et la massacrer. Enfin, une réserve de hallebardiers de la Néra et de cavaliers de l'Orage se tient prête à intervenir si une menace surgit.
Premier Tour ; le MidiClique sur l'image pour l'agrandir Forces de DurrandonLes tambours et les flûtes encadrent l'avancée de l'armée Durrandon. Si les levées féodales sur les ailes sont moins disciplinées, le pas cadencé des piquiers orageois fait trembler le sol, le frappant à l'unisson. Les piques s'abaissent sur les premiers rangs et les carrés de piquiers entament la progression alors que derrière, des milliers de cavaliers piaffent d'impatience. La musique martiale des carrés Durrandon est ponctuée d'un champ guerrier très ancien, que l'on dit chanté par les ancêtres des orageois depuis les Premiers Hommes. Quoiqu'il en soit, le moral Durrandon est excellent car les troupes ont confiance en leur chef et en la victoire. Très vite pourtant, des carreaux d'arbalète et des flèches pleuvent sur les rangs. Même s'ils sont lourdement protégés par des demi-armures ou des plates, les piquiers Durrandon encaissent des pertes et le tir de couverture de leurs propres archers longs et arbalétriers ne leur assure qu'une protection toute relative.
Sur le flanc gauche, la colline la plus proche des lignes est bientôt contactée par le carré de piquier attaché à sa prise. Les échanges de tirs fusent dans les airs tandis que les piquiers professionnels contactent les levées féodales de la Néra, les impactant lourdement malgré l'avantage de la hauteur de leurs adversaires. Le même schéma se reproduit sur le flanc droit et dans les deux cas, les défenseurs semblent déjà mal en point face à la masse importante d'adversaire qui les submerge. Pendant ce temps, la cavalerie et les réserves font mouvement.
Forces d'HarrenLes défenseurs tiennent bon, car ils savent que la guerre dans laquelle ils sont engagés sera brutale. Leurs foyers sont menacés par les Durrandon et les Targaryen, et les rumeurs sur la chute et l'incendie de Sombreval font peur aux hommes. Elles les soudent entre eux. Ils accueillent donc les Durrandon sans fanfare, sans fioriture. Ils s'accrochent aux terrains. Tirant les premiers, les quelques centaines d'arbalétriers et d'archers font pleuvoir la mort sur des ennemis qui, s'ils ont une armure, n'ont pas de bouclier. Des dizaines tombent. Puis vient le choc. Si les levées sont peu au fait du combat contre des piquiers, certains soldats tentent de se faufiler dans la forêt de piques pour y casser les hampes, afin de désarmer leurs adversaires dont les rangs plus lointains sont toujours le feu de l'ennemi. Les soldats d'Harren le Noir tiennent bon et partout, carreaux et flèches fusent sur les formations denses de leurs ennemis. L'armée ploie sous le choc, mais sans rompre. IL faut également noter le harcèlement du flanc gauche Durrandon par les cavaliers légers, qui lâchent quelques javelots sur leurs ennemis en progression.
- Flanc Gauche
- Les Orageois perdent 300 hommes, dont 200 piquiers, 10 fantassins moyens et 100 archers longs.
- Les Riverains perdent 430 hommes, dont 200 lanciers, 200 fantassins moyens et 30 archers.
Ils perdent une classe de moral et deviennent « ébranlés »
- Centre
Il n'y a pas de pertes.
- Flanc Droit
- Les Orageois perdent 300 hommes, dont 200 piquiers et 100 archers longs.
- Les Riverains perdent 430 hommes, dont 200 lanciers, 200 fantassins moyens et 30 arbalétriers.
Ils perdent une classe de moral et deviennent « ébranlés »
Second Tour ; le milieu d'après-midiClique sur l'image pour l'agrandir Forces de DurrandonLes troupes de l'Orage attaquent sans relâche. Tout commence sur le flanc gauche où l'ennemi, repoussé, flanche. Les piquiers les poursuivent, fer de lance dans les reins et le combat dégénère. La cohésion des troupes Durrandon est importante mais la fatigue de la marche forcée puis des combats se fait sentir, le front central de ce flanc peine à avancer et les piquiers subissent des pertes alors que leur formation, moins rigide, laisse passer plusieurs soldats de la Néra qui poignardent et malmènent les piquiers. Pourtant, la poussée est telle que l'ennemi est repoussé. Sur l'extrêmité du flanc gauche, la cavalerie Hoare fait face sur la ligne de crête à une poussée des rebelles pro-Durrandon, notamment des levées féodales. Le combat est âpre, et si l'infanterie d'accompagnement Hoare est décimée, la cavalerie lourde inflige d'assez lourdes pertes à l'infanterie Castelfoyer, dont le Lord meurt d'ailleurs en cours de bataille à la tête de sa roture.
Au centre, le combat prend une tournure plus encore dramatique. Alors que le centre Durrandon avance, sous le regard du Roi en personne, la chevalerie de la Néra charge lances baissées les piquiers de flanc, alors que ceux-ci venaient de percuter le centre Hoare. Pris de flanc, les hallebardiers subissent de lourdes pertes et leurs rangs sont fauchés comme les blés. Heureusement, une pluie de flèches des mortels archers longs percent armures et caparaçons, jetant à bas de leurs montures quantité de chevaliers qui, s'ils reviennent à la charge, sont repoussés à leur tour avec de lourdes pertes. La ligne Durrandon ne faiblit pas et avec le soutien de l'archerie, progresse et malmène l'ennemi sur la colline.
La décision se joue sur le flanc droit. La cavalerie Durrandon passe au travers des levées féodales et prend de flanc les opposants des piquiers. Le carnage est total. Les piquiers, bien que fatigués, parviennent à infliger de lourdes pertes à l'ennemi et une fois celui-ci fixé au bout des piques, la chevalerie se lance au galop, franchit la colline et perce le flanc Hoare en un fracas tonitruant de fin du monde. Sitôt les chevaliers en pleine percée, les sergents d'armes à cheval s'enfoncent dans la brèche et pourchassent et trucident impitoyablement les fuyards. Ils les passent tous au fil de la lance ou de l'épée et des centaines de corps jonchent le vallon, alors que les pertes Durrandon sont légères. C'est la victoire.
Forces d'HarrenCourageux, les seigneurs de la Néra savent qu'ils n'ont plus le choix. Ils tiennent résolument position. Sur le flanc gauche, cela passe par une résistance particulièrement opiniâtre et d'importantes pertes sont infligées aux piquiers orageois ou aux levées des rebelles, sur le flanc gauche. Plusieurs fois, de petits détachements de cavalerie légère et lourde perforent les rangs des attaquants, avant de se replier et de recommencer. Le cavalier Bolger prendra d'ailleurs l'étendard Castelfoyer, alors que le Lord de cette maison sera tué quelques instants plus tard d'une javeline en pleine poitrine.
Au centre, les choses deviennent sérieuses. Les carreaux d'arbalète vrombissent et clairsèment les rangs des piquiers, alors que les fantassins lourds manient marteaux de guerre et épées à deux mains. Sur le flanc, une grande clameur et ce sont trois cent cinquante chevaliers qui chargent lance baissée. En quelques minutes, des centaines de piquiers d'élite orageois sont massacrés, mais leurs maudits archers longs disposent d'un champ de tir parfait sur les courageux cavaliers. Des milliers de flèches fusent et percent cuirasses et gorgerins. Nombre de cavaliers voient leur monture tomber sous eux et sont achevés par des piquiers revanchards. Le centre ploie à son tour.
Le véritable carnage vient du côté droit, où l'irruption de plus d'un millier de cavaliers de l'Orage et des rebelles rattrapent l'infanterie Hoare en pleine hésitation. Accrochés par les piquiers, les courageux fantassins se font piétiner et massacrés. La majorité étant de basse extraction, les orageois ne prendront pas tant de peine à faire de prisonniers et le creux de terrain se remplit de corps et baigne dans le sang. C'est la déroute et l'aile est totalement enfoncée. A ce point de la bataille, les troupes d'Harren le Noir sont écrasées sous le nombre et perdent pied.
- Flanc Gauche
- Les orageois perdent 220 hommes, dont 110 fantassins moyens et 110 piquiers.
- Les hommes d'Harren perdent 260 hommes, 180 fantassins moyens, 80 cavaliers légers.
Les hommes d'Harren estent en moral « ébranlé ».
- Centre
- Les orageois perdent 380 hommes, uniquement des piquiers.
- Les hommes d'Harren perdent 450 hommes, dont 250 chevaliers et 200 fantassins lourds.
Les hommes d'Harren passent « ébranlés » pour l'infanterie mais restent stoïques pour les chevaliers.
- Flanc Droit
- Les orageois perdent 100 hommes, 50 cavaliers lourds et 50 piquiers.
- Les hommes de la Néra perdent 770 hommes, dont 370 arbalétriers, 200 fantassins moyens et 200 lanciers.
Vu le ratio, les hommes d'Harren sont anéantis, se rendent ou désertent s'ils ne sont massacrés sur place.
Troisième Tour ; Fin d'après-midiClique sur l'image pour l'agrandir Forces de DurrandonL'heure est à la curée. L'ennemi est brisé et la cavalerie charge de concert avec les piquiers qui poursuivent leur avance. Les troupes Hoare ont perdu toute cohésion et elles sont en pleine déroute. Trop exténués, les fantassins Durrandon subissent quelques pertes et font quelques prisonniers, principalement des hommes d'armes et des arbalétriers de Rosby. La cavalerie quant à elle, piétine quantité de soldats ennemis dans leur fuite mais ne parvient pas à rattraper les montés ennemis, bien trop rapides et terriblement moins fatigués qu'eux mêmes. La bataille s'achève côté Durrandon par une victoire assez nette, mais coûteuse. La plupart des Lord adverses ont pu s'enfuir à la tête de ce qu'il reste de leur cavalerie.
Forces d'HarrenLes hommes sont trop éreintés pour réussir à faire quoi que ce soit pour se défendre. Ceux qui s'effondrent ou qui tombent sont impitoyablement massacrés par les piquiers orageois ou piétinés par la cavalerie lourde qui chasse et traque les fuyards. La cavalerie abandonne à son sort l'infanterie, qui se fait largement capturer ou étriller. Les quelques piétons à s'en sortir sont en fait des archers, car pauvrement équipés et protégés ils sont plus rapides et moins fatigués que leurs camarades. Plusieurs hallebardiers, gardes de Fengué, donneront leur vie pour jeter à bas leurs montures les cavaliers légers Durrandon, pas assez bien protégés pour massacrer cette infanterie lourde. Juste avant de mourir, un arbalétrier décochera un carreau dans la direction d'Argilac Durrandon, mais le projectile rebondira sans effet sur sa cuirasse. Le destin vient de sauver le vainqueur de cet affrontement...
- Pertes pendant la poursuite :
- Les orageois perdent 200 hommes, 100 cavaliers légers et 100 lanciers moyens.
- Les hommes d'Harren perdent plus de 700 hommes dont 300 arbalétriers, 200 lanciers, 120 fantassins moyens, 70 archers, 50 hallebardiers.
EpilogueLa bataille s'achève peu avant le coucher de soleil par un indéniable succès de l'Orage. A plus de quatre contre un au final, les troupes loyalistes à Harren le Noir n'étaient pas de taille à affronter un ost si vaste et si entraîné. Ces troupes se sont loyalement battues et ont donné quelques sueurs froides à leurs adversaires, mais les piques et les arcs longs sont une parade immanquable à la chevalerie, tandis qu'une infanterie lourde compétente repousse n'importe quelle levée. Le nombre n'aidait certes pas, et les derniers seigneurs et soldats loyalistes encore en vie ne pouvaient rien faire d'autre que s'enfuir. Durrandon de son côté, tient sa victoire, qui lui ouvre la voie de Rosby et de Fengué, prises dès le lendemain sans avoir à livrer de nouveau bataille. Dans la région de la Baie, il n'y a plus d'étendard au Sautoir, la côte est entièrement aux mains des Durrandon au sud et des Targaryen au nord. Pourtant, la victoire n'est pas complète et a un goût amer, car Durrandon a perdu près d'un millier de soldats son infanterie d'élite, la meilleure de tout Westeros. Ses forces sont épuisées par la marche forcée et la résistance opiniâtre de l'ennemi, et doivent désormais prendre cantonnement pour se reposer. La victoire est belle, mais elle ne pouvait être perdue.
En prenant le campement ennemi, Argilac Durrandon découvrira dans une tente des otages Targaryen, abandonnés là par Lord Hollard dans sa fuite. Il les libérera, les sustentera et rencontrera quelques jours plus tard la Reine Rhaenys Targaryen. Il n'y a toujours pas alliance entre Peyredragon et Accalmie, mais les deux royaumes continuent de faire cause commune, car le pire reste à venir ; l'armée du Conflans est en train de se former. Pour le moment, avec près de 20 000 hommes conjugués, Targaryen et Durrandon n'ont détruit qu'environ 4 500 hommes de troupes ennemies pour plus de 2 000 pertes reçues. Le plus rude reste à venir avec cette grande armée que l'on dit s'assembler sur la route d'Harrenhal...
Au niveau des pertes, Lord Sombrelyn a perdu 3 250 hommes de la Néra, dont 300 archers, 700 arbalétriers, 900 fantassins moyens, 800 lanciers, 250 chevaliers, 200 fantassins lourds, 50 cavaliers légers, 50 hallebardiers. Certains de ces hommes pourrissent désormais dans les geôles orageoises.
Sire Durrandon quant à lui déplore 1 400 pertes, dont 100 cavaliers légers, 100 lanciers moyens, 50 cavaliers lourds, 850 piquiers, 100 fantassins moyens, 200 archers longs. Ils ont pu récupérer quelques blessés sur le terrain.
Les restes de l'armée Hoare, soit 300 cavaliers environ et 250 fantassins, retraitent à marche forcée vers le nouveau corps de bataille en formation à The Antlers.
Points de l'Orage :10 points pour bataille moyenne remportée.
5 points pour objectif atteint (destruction de l'armée ennemie)
Points du Conflans :Perte de 5 points pour bataille perdue en nette infériorité numérique (inférieur à 1 contre 2).
Objectif non atteint (retraite de la majeure partie de l'armée)
Gain de 2 points pour absence de sédition des seigneurs vaincus par leurs pairs.