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 Tour 10 – Bataille Navale de Goeville - Année 2 - Mois 4 - Semaine 3

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MessageSujet: Tour 10 – Bataille Navale de Goeville - Année 2 - Mois 4 - Semaine 3   Tour 10 – Bataille Navale de Goeville - Année 2 - Mois 4 - Semaine 3 EmptyMer 31 Aoû - 0:52

Bataille Navale de Goeville
Val



Première bataille de la campagne du Val, entre l’Escadre Impériale de Lord Cargyll et la Flotte Valoise de Lord Borrell

La Flotte Valoise restait libre de ses mouvements. Depuis trop longtemps au goût de l’Amiral Nathael Velaryon, commandant en chef de la flotte Braenaryon. Depuis l’ouverture des hostilités, quatre mois plus tôt, les valois avaient tardé à sortir de leurs ports. Choqués par une attaque de dragon, puis intimidés par le déploiement de forces impériales en route pour la prise des Piz et des Trois Sœurs, la flotte valoise restait cantonnée près des côtes… Avant de s’en prendre au commerce impérial de la Baie des Crabes, artère vital de l’Empire car c’était là que transitaient toutes les marchandises à destination de la capitale impériale vers l’Orage, vers Peyredragon, vers le Nord et vers le Conflans… La Baie irriguait l’Empire de ses richesses, et favorisait sa prospérité. Couper cette route maritime revenait à trancher la gorge des Royaumes Fédérés.. Aussi, revenue de ses expéditions, la flotte impériale pourchassa sans relâche l’escadre valoise, jusqu’à lui faire quitter ses rivages, et jusqu’à l’enfermer à Goeville. La sagesse eut été sans doute de relâcher dans un port de moindre importance, mais plus à l’abri des reconnaissances impériales. Goeville reste l’équivalent Valois de Fort-Darion, car le commerce Valois passe essentiellement vers ce grand port et il est connu pour abriter chantiers navals et flotte de guerre des Arryn. Aussi, lorsque les navires légers de l’amiral Velaryon lui indiquèrent que Borrell avait prudemment fui la chasse qui lui était faite vers Goeville, le Loup de Mer fut contenté ; il pouvait tranquillement croiser au large, couper le commerce Valois, et attendre qu’ils ne sortent…

Ce qu’ils firent au bout de quelques jours à peine. Les valois savaient l’urgence dans laquelle Sortonne se trouvait, assiégée sur l’Île principale des Trois Sœurs par les armées impériales et à court de vivres et d’hommes. Une expédition fut montée. Mais avant, il y avait besoin d’une diversion. Borrell obéit à son Roi, de bien mauvais gré tant il avait conscience des risques. Forcer un blocus se fait presque toujours initialement à la faveur de la nuit, et en petit nombre. En escadre complète, la force et la surprise serait sienne. Mais les voiles impériales croisaient à l’horizon et ne manqueraient pas de réagir, de réagir en masse…

Lors que la flotte pu partir, chargée en abondance d’hommes, d’armes et de vivres, la chance sourit aux valois. Velaryon avait réparti sa flotte en escadres de forces à priori égales. Il longeait d’un côté les côtes valoises, de l’autre celles de l’Empire sur la presqu’île faisant face au royaume des montagnes. Entre les deux, une escadre assurait la liaison. Malgré cet épais maillage de voiles et de bois, une seule des deux escadres impériales répara les valois. La formation de Lord Cargyll était relâchée. Et malgré un vent sud-ouest favorable, la flotte mis du temps à accourir ; Cargyll privilégia la vitesse à la formation de ses navires, qui arrivèrent pêle-mêle. Par signaux, les navires de liaison de Lord Velaryon avaient été mis au courant de la situation ; Nombreuses voiles valoises au nord, tentative de forcer le blocus en masse. A babord avant, les véloces galères Chyttering progressaient sous les embruns tandis qu’à tribord, la masse impériale de Cargyll se ruait sur les valois avec la confiance de renforts en route.

Alors, les navires accouraient de partout. Alors que le soleil transperçait avec peine les nuages gris d’une météo compliquée et venteuse, les deux flottes se jetaient l’une contre l’autre. 39 navires impériaux, contre 36 valois. Les valois avaient l’avantage d’un plus grand nombre de galères. Les impériaux disposaient de vaisseaux lourds plus nombreux, dont les Dromons flambants neufs sortis des arsenaux de Peyredragon et de Lamark. La bataille s’annonçait ardue dans les deux camps.



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Plan de Bataille des Valois

Les Valois ont un plan privilégiant le forçage du blocus avant tout. Une première ligne des vaisseaux les plus lourds et solides doit absorber le choc avec la flotte impériale, tandis qu’une seconde ligne plus nombreuse, chargée de soldats de l’armée stationnée à Goeville, doivent retenir l’ennemi et lui infliger les pertes les plus terribles possibles. Enfin, les derniers navires, à forte capacité d’emport, sont chargés à ras la gueule de vivres pour Sortonne…

L’objectif de Borrell est de faire passer la troisième vague, le reste n’est que diversion.


Plan de Bataille des Impériaux

Lord Cargyll commande une escadre assez vaste pour la première fois de sa courte carrière ; il a déjà combattu dans l’Orage mais jamais aux commandes. Il sait que c’est aussi le cas de son ennemi, qui n’a sans doute connu que des escarmouches dans les conflits frontaliers du Val. Il n’en reste pas moins qu’il est déterminé ; il veut empêcher l’ennemi de gagner la haute mer avant qu’il ne reçoive les renforts, prévenus par signaux. Il espère que les forces de Lord Velaryon seront bientôt présentes, afin d’écraser l’ennemi… Mais ce n’est pas sa priorité.

L’objectif de Cargyll est d’empêcher les valois de faire gagner la mer à une portion significative des forces ennemies.


Premier Tour ; Choc de bois, de chair et de fer


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Les impériaux profitent à plein de leur ascendant sur le vent. Voiles gonflées à bloc, les colonnes impériales se rapprochent, mais la brise trop vive et changeante se montre traîtresse à l’approche de la baie où l’on aperçoit la ville, au loin. Les écarts entre vaisseaux ne sont pas respectés. Les navires de reconnaissance et de liaison se retrouvent bien trop isolés de l’escadre… Les valois sont de grands commerçants, en mer. C’est sur eux que repose la prospérité du pays depuis plusieurs décennies. S’ils ont peu eu à combattre en mer, ils savent manœuvrer. Les frêles cogues de liaison impériale sont impitoyablement encerclée dans des entonnoirs, formés de navires plus lents à cause de la direction du vent, mais plus massif. Cargyll observe ses vaisseaux au loin qui échangent flèches et carreaux avec leurs ennemis ; plusieurs corps tombent à la mer de part et d’autre des bastingages. Mais les vaisseaux légers de l’Empire percutent violemment les galères valoises… Qui les renversent ou les ouvrent à la mer en les traversant de leurs éperons de bronze. La flotte impériale assiste, impuissante, aux navires qui coulent déjà au loin dans les hurlements des équipages. A gauche, la situation bascule dans la plus terrible des violences. Formés en deux colonnes de vaisseaux lourds, les valois écrasent les ponts des galères de Peyredragon de pierres, de traits de balistes, d’arbalètes et d’arcs. Les équipages sont mutilés et clairsemés par la grêle de roche, de bois et de fer qui leur tombe dessus, et cela désorganise les assauts. Le navire de tête du flanc gauche, le « Reine Sharra », encaisse les coups qui lui sont portés. Ses archers, penchés sur le rebord du navire, alignent leur mire et tuent le capitaine du « Lamarck ». Mais ce sont de grands fracas de bois, quand les poutres et madriers de coques entières se distendent, se déforment et rompent dans un grand tonnerre, qui arrache finalement tous les regards. A l’extrêmité de la ligne, les autres vaisseaux de Peyredragon sont entrés dans la danse. Négociant leur progression sous le vent, ils élargissent leurs axes d’approche pour pivoter de flanc au dernier moment ; les rames d’un côté se suspendent dans les airs, de l’autre s’arrachent de leurs efforts… Et CRAC. Des vaisseaux entiers sont brisés, fracassés. Le « Balon » est coulé, percuté de flanc par une galère valoise venant au secours de la « Serpentine », déjà perforée. La mer se tapisse de corps qui surnagent autant que possible et d’autres qui flottent, ainsi que de débris…

Les valois ont pour eux leur cohésion, favorisée par leur discipline et leur faible vitesse, ainsi que leur habitude de progresser en convois. Les impériaux ont pour eux le vent et leur détermination. Ils encaissent de lourdes pertes… mais au cœur du dispositif Braenaryon, les terribles Dromons, sortis moins d’un an plus tôt des chantiers navals, s’apprêtent à entrer en action.


Pertes totales
- Les valois perdent 900 marins, 7 galères sont touchées (dont 3 perdues), 5 caraques sont touchées (dont 2 perdues).
Le moral valois tient bon.
- Les impériaux perdent 1160 marins, 11 galères sont touchées (dont 4 perdues), 3 cogues Braenaryon sont touchées (dont 3 perdues), 1 caraque est touchée.
Le moral impérial décline, notamment chez les marins de Peyredragon qui passent ébranlés.



Second Tour ; Percée et bain de sang


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Les impériaux ont toujours l’initiative, au moins sur le corps principal de l’escadre. Cargyll communique par signaux avec ses flancs, pour privilégier une progression rapide de sorte à priver l’ennemi de virages possibles à l’extrêmité de ses lignes. Sur la gauche impériale, à l’ouest, les galères peyredragoniennes sont en difficulté. Leur qualité n(‘est pas remise en cause, mais leur séparation durant la patrouille du reste de la flotte se paie cher. Les navires valois l’ont bien compris et deux rangées de navires renforcent la zone des combats. Les onagres et catapultes du « Prince Jonos » coule une galère, tandis que l’infanterie de bord monte à l’assaut de plusieurs galères insulaires. Les hommes gravissent passerelles et grappins à la force de leurs bras, glaive ou coutelas en main, lance courte. On se tue à bout portant, sans protections pour la plupart des marins. Les hommes crient et meurent, teintant de rouge les ponts des navires. Aux « Rhaenys ! » et « Pour le dragon ! » répondent « Le Val et le Faucon ! ». Aucun camp ne lâche rien, mais plusieurs navires sont perdus, certains sont même capturés et changent de main, hissant le pavillon valois. Les peyredragoniens tournent la barre vers le sud-est pour échapper à la pluie de tirs venus des vaisseaux lourds de la Montagne, ou aux crochets des galères ennemies.


Déjà, ils voient qu’une petite escadre de navires rapides, malgré leur chargement visible jusque sur leur pont, ne s’engouffre dans la brèche du centre impérial…

Cargyll assiste de loin à la décomposition de son flanc gauche. Il replie sa lunette. Et emplit ses poumons d’air iodé, ferme les yeux… Les enfers se déchaînent. Les tirs des vaisseaux lourds valois ricochent sur le blindage de cuivre des coques des dromons, qui répliquent en retour. Ces monstres d’une nouvelle classe pénètre les lignes des vaisseaux valois, projetant de l’écume sur leurs flancs à la force de bras de leurs rameurs. A mi-chemin de la caraque et de la galère, les dromons sont renforcés, extrêmement coûteux et complexes à produire. Leur équipage, une infanterie de marine dédié, les renforce encore au moment du choc, en cas d’abordage. Leurs armes lourdes sont plus légères, toutefois, que celles des mastodontes de la flotte de Goeville. Leurs propres tirs désorganisent leurs adversaires, écrasent ou mutilent quelques marins. Deux cogues désemparées sont prestement détruites ; l’une est éventrée et s’enfonce dans la mer par le rostre de proue du « Impératrice Rhaenys » tandis que les équipages du « Prince Aeden » se placent en batteries d’arbalétriers sur le pont, un rang genou à terre et l’autre par-dessus, pour cribler de traits le pont du « Roche-Aux-Runes ». Le frêle navire valois part à la dérive, la majeure partie de son équipage massacrée ou agonisant sur le pont… Les monstres impériaux progressent, rendant coup pour coup aux réussites initiales des valois.

Mais des voiles arrivent à l’horizon… L’escadre principale de l’Empire arrive, toutes voiles dehors. Quarante navires de plus. Une heure, deux avant d’atteindre la zone des combats ?

Pertes du tour
- Les valois perdent 820 marins, 3 galères touchées (dont 3 perdues), 5 cogue touchées (dont 3 perdues), 1 caraque touchée
Le moral valois passe « ébranlé » à droite.
- Les impériaux perdent 510 marins, 4 galères touchées, (dont 3 perdues), 1 cogue touchée, 1 caraque touchée, 2 dromons touchés.
Le moral impérial décline, notamment chez les marins de Peyredragon qui passent déroute.

Pertes totales
- Les valois perdent 1720 marins, 10 galères sont touchées (dont 6 perdues), 5 cogues touchées (dont 3 perdues) 6 caraques sont touchées (dont 2 perdues).
- Les impériaux perdent 1670 marins, 15 galères sont touchées (dont 7 perdues), 4 cogues sont touchées (dont 3 perdues), 2 caraque touchées, 2 dromons touchés.


Troisième Tour ; L’Accomplissement d’une mission


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Borrell n’a plus le choix. La pression impériale devient trop forte. Ses navires qui peuvent désengager virent de bord, et repartent pour le nord, car l’horizon se tapisse de voiles impériales. Il écrase un vaisseau de Peyredragon, qui lui barre la route, et permet à toute une partie de la flotte de prendre la haute mer. Neuf navires, plus que prévus au départ… Mais l’opportunité a fait nécessité. Après tout, que vaut la flotte valoise si elle reste enfermée dans un seul port ? Neuf navires légers, ça donne une chance aux Trois Sœurs. Ca fera détacher de plus importantes escadres impériales pour leur courir après sur le Détroit. Neuf navires, c’est l’espoir d’une ville assiégée, et la protection peut être, du commerce maritime dont dépend tant le royaume. Déjà, les vaisseaux commerciaux ont du mal à passer depuis la Baie des Crabes…

Les navires filent grand train, couvrant de quolibets les peyredragoniens en fuite eux aussi. Mais un drame final se joue à la confrontation sanglante sur ces hauts. Cargyll a profité de sa large supériorité numérique et qualitative, jouissant d’infiniment plus de navires lourds que son adversaire du jour, pour envelopper les lourdes caraques valoises, empêtrées dans une terrible mêlée contre les gros vaisseaux de la flotte impériale. Le « Roi Jehan », le « Rougefort » et le « Alysanne » s’opposent à trois contre plus de vingt navires qui croisent alentours. Une heure durant, les solides coques sont soumises au feu d’enfer des pierrières, des catapultes, des balistes et des archers. Les flèches et carreaux frappent le pont, fauchent les vies, les boulets fracassent le bois et transpercent la coque. Partout, l’eau s’infiltre. Pourtant, les pièces sont toujours servies. Les volées répondent au volet. Des heures durant, les arbalétriers de marine valois expédient leurs munitions par les meurtrières de la coque. Le « Roi Jehan » est pris au corps à corps, quand les lanciers de marine impériale prennent pied en masse sur son pont, lacérant de coups de pointes acérées leurs adversaires. Le « Rougefort » s’embrase au milieu des combats, condamnant ses marins blessés dans ses entrailles à une mort atroce, emportant la « Paege » dans l’incendie, galère impériale de son état. Le « Alysanne » se rend, après deux heures de combats dans ses coursives.

La victoire est impériale, sur l’étendue d’eau d’où l’on aperçoit les Montagnes et le Val. Une victoire, certes, qui a le goût d’une défaite.


Pertes du tour
- Les valois perdent 290 marins, 2 galères touchées, 3 caraques touchées (dont 3 perdues)
Le moral valois passe « ébranlé » à droite.
- Les impériaux perdent 190 marins, 2 galères touchées (dont 2 perdues).
Le moral impérial décline, notamment chez les marins de Peyredragon qui passent déroute.

Pertes totales
- Les valois perdent 2010 marins, 12 galères sont touchées (dont 6 perdues), 5 cogues touchées (dont 3 perdues) 8 caraques sont touchées (dont 5 perdues).
- Les impériaux perdent 1860 marins, 17 galères sont touchées (dont 9 perdues), 4 cogues sont touchées (dont 3 perdues), 2 caraque touchées, 2 dromons touchés.


EPILOGUE

La bataille navale s’achève après une mêlée désordonnée et furieuse. Lord Borell, amiral Valois, aura fait ce qu’il aura pu en infériorité numérique et qualitative, sa flotte disposant de nombreux navires mais surtout des cogues. Ses vaisseaux lourds étaient de facture ancienne, quand celle de l’Empire, battant pavillon Braenaryon, est bien plus récente, entretenue, et pourvue en équipages notamment peyredragoniens qui ont une longue expérience de la guerre. Malgré tout Borell, combattant en sus contre son avis avec un mauvais vent de travers, aura réussi à détruire une douzaine d’unités impériales. Il retire une précieuse expérience de son combat, notamment des Dromons impériaux, engagés pour la première fois en bataille navale. Il sait désormais quelles sont leurs protections, et comment les détruire. La flotte impériale, héritière de plusieurs traditions navales, n’avait pas usurpé son titre de plus grande flotte de Westeros… Les Valois perdaient quant à eux deux unités de plus que l’Empire. Rien d’étonnant, avec les conditions d’engagement défavorables du vent et de l’objectif assigné à la flotte par le Roi Ronnel ; se priver de précieux navires durant le combat pour fuir la zone sous blocus ne pouvait que porter préjudice à une force navale déjà largement inférieure… Mais le Val a finalement bien combattu.


La bataille n’eut aucun effet tactique notable ; aucune des deux flottes n’était détruite, aucune n’avait reçu de coups décisifs, permettant l’ascendant de son ennemi. Tout en somme, portait au pari fait au déclenchement de ce combat. Est-ce que le Val avait bien fait de sacrifier une partie de sa force navale pour la disperser de nouveau ? En se divisant, la flotte Arryn renonce à l’emporter à court ou moyen terme contre une flotte impériale bien plus forte. Mais en se dispersant, elle mobilise de larges forces contre elle pour étendre et densifier le blocus autour du pays…

L’avenir dira qui des deux bélligérants aura suivi la meilleure stratégie. En attendant une décision claire, vingt-six navires coulaient à pic, et près de quatre mille marins étaient tués dans les combats, noyés dans ses suites, ou blessés.

La guerre contre le Val commençait tout juste.


Points de l’Empire
+5 pts victoire mineure
-5pts objectif perdu

Points des Valois
-5 pts défaite mineure
+5pts objectif réussi



Le Cyvosse
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