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Toby Regbo est <a href="/t8529-in" target=_blank"><span class="Code couleur correspondant à votre royaume">Lyman Lannister</span></a> - Pv pris  /a>

Code Recensement : Royaume de l'Ouest

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Lyman Lannister - Roi du Roc - <a href="/t8529-in" target=_blank" >Pv Pris</a>

Lyman Lannister, fils de Loren et Jordane Lannister naquit à Port-Lannis dix huit ans avant la Conquête. Premier né du couple royal de Castral Roc, il reçut toute l’attention de ses parents et plus encore de sa mère, Jordane dont il est très proche encore aujourd’hui. Après lui vinrent Megara et Nymeria ses deux sœurs cadettes auprès desquelles Lyman prit naturellement le rôle d’aîné protecteur et proche. Son enfance se fit sous la tutelle de mestres, mais plus encore par sa propre mère qui tenait à cœur d’assurer – quand ses responsabilités ne venaient pas contredire ce souhait- l’éducation de son fils aîné. De cette relation Lyman en tira de nombreux enseignements ainsi qu’un attachement fort envers sa mère en dépit de sa rigueur qu’elle lui imposa tout au long de sa jeunesse même si elle se montrait toujours douce avec lui. Son père lui apparut un peu plus rieur et joyeux et en un sens, c’est un trait dont héritera Lyman qui appréciait ces moments ou les rires venaient détendre l’atmosphère et libérer un peu le jeune lionceau de ses responsabilités ou son éducation. C’est ainsi qu’il passa la majeure partie de son enfance loin de tout conflit et idéalisant ses parents.

En grandissant il comprit cependant lentement mais sûrement que la situation de ses parents n’était pas aussi idyllique que ce que Loren et Jordane affichaient. Ce ne sera que plus tard qu'il partira du principe que des conflits internes devaient avoir lieu sur des sujets qu'il ne pouvait pas comprendre lorsqu'il était un enfant. Dans tous les cas cela ne changeait rien à ses rapports avec son père et sa mère: il les aimait et voulait leur ressembler, ou plutôt être une synthèse des deux.
Au cours de son apprentissage au cours de son enfance il révéla d’excellentes qualités en matière de droit et d’arithmétique, ce qui était guère étonnant compte tenu de la qualité d’enseignement que Lyman a pu recevoir d’une part, et plus encore de son statut d’héritier. C’était des enseignements qu’il appréciait énormément et faisait preuve d’un grand sérieux tant cela lui paraissait vital pour succéder à son père. Il y avait là une forme de créativité intellectuelle qui le stimulait. Le poussant à dévorer textes de loi de l’Ouest ainsi que des copies de royaumes voisins tout en apprenant leurs coutumes. Il y voyait là un moyen détourné de parfaire ses connaissances à la fois historiques, géographiques et diplomatique. Lyman considérait qu’en s’intéressant au droit étranger, on en apprenait beaucoup sur eux et leur façon de fonctionner.
Du moins sur le plan purement théorique. Un avantage certes tactique, mais peut-être tenait-il là la clef pour unifier les différents royaumes et faire cesser les tensions politiques entre eux. Sa mère et même son père le trouvèrent bien trop utopiste pour cela. Cependant cet intérêt marqué le fit quelques peu délaisser les arts de la guerre et du combat comme en attestait son manque de coordination et sa maladresse une fois une épée entre les mains. En effet, alors qu’il était âgé de 13 ans le lionceau manqua de planter la pointe de sa lame dans son pied si son maître d’armes n’était pas intervenu pour attraper la lame de son épée avec sa main. Après cet incident, il fut décidé par sa mère qu’il s’entrainerait avec une épée de bois, jugée moins risquée et plus efficace pour se faire la main.

Lyman avait considéré ceci comme une sanction de prime à bord, mais ce fut salutaire pour lui compte tenu du fait que même après de nombreuses séances, il y avait encore beaucoup à redire sur son maniement de la lame et son étourderie le poussant à orienter celle-ci un peu n’importe où y compris sur la poitrine de l’assistant du maître d’arme sans le vouloir, ou sur le flanc du chien qu’on lui avait offert à son dernier anniversaire. Après un bon mois, les efforts du lionceau commencèrent enfin à porter ses fruits avec un succès en somme toute relatif. Pour Jordane, il était évident que son aîné ne serait pas un grand guerrier mais saurait un minimum se défendre avec une lame. Aussi elle continua d’insister pour que le jeune homme poursuive avec davantage d’assiduité et de concentration au grand dam de Lyman qui préférait ses livres et calculs et par-dessus tout, avait commencé à développer un goût prononcé pour la musique avec la lyre et l’usage de l’arbalète quand son père l’emmenait parfois chasser le gibier. Son rapport avec son père se tassa avec l’âge considérant finalement comme normal ce qu’il faisait –sans doute avec l’accord tacite de sa mère- en dehors du lit conjugal ne le regardait aucunement ; il serait libre de choisir autrement lorsque l’heure de succéder à son père viendrait. Le lionceau poursuivit son éducation et au cours d’une mission royale se trouva être la cible d’une embuscade lors d’un trajet en bateau lors de ses seize ans.
Celui-ci étant abordé, Lyman fut contraint de tirer son épée pour défendre sa peau avec ses gardes du corps, c’est à cette occasion qu’il tua pour la première fois un de ces pirates après un duel bref mais violent et vicieux à la fin duquel il fut blessé à la jambe et frappé au visage. Mais les forces Lannister à bord furent plus audacieuses et braves et rejetèrent l’ennemi à la mer. Emporté dans ce conflit, Lyman mena ses troupes dans une tentative de contre-abordage tout en restant sur le pont du navire pirate. Ses troupes débusquèrent le capitaine dans sa retranché dans sa cabine et le trainèrent jusqu’au jeune lion ou il fut interrogé –sans résultat- puis tué par l’un de ses gardes du corps sur son ordre. Ce n’est que lorsque le capitaine rendit son dernier souffle qu’il remarqua que ce dernier portait sur lui un message dissimulé à l’intérieur de sa chemise. Lyman le fit apporter et le déroula pour y voir un papier de très bonne qualité, trop bonne pour des pirates justement. Le message était signé de la part de quelqu’un qu’il connaissait : l’amiral Rowlson qui était présent sur son navire mais ne s’était pas encore fait remarquer. On alla le chercher puis il fut pendu directement à bord du vaisseau Lannister pour trahison. Son maître d’armes avait eu raison ; le plus difficile était de faire le premier sang en abattant un homme pour la première fois.
La seconde fois était plus facile, « indéniablement » comme l’avait pensé Lyman. En effet le courrier détaillait l’itinéraire que suivrait le navire royal de l’Ouest ainsi que ses effectifs et passagers. Il y était fait mention de capturer Lyman pour extorquer une rançon aux Lannister, une rançon qui serait partagée avec l’amiral pour ce renseignement précieux. Il était regrettable que désormais il ne toucherai jamais sa récompense, et pour cause, sa dépouille flottant à l’arrière du navire au cours du voyage retour vers Port-Lannis n’avait pas été détachée.

Grâce aux manœuvres politico-diplomatiques de sa mère, Jordane Lannister, cette dernière arrangea les fiançailles de son fils avec Jeyne Stark, fille du Roi du Nord lors du Conclave de Goeville. La première rencontre anonyme entre Jeyne et Lyman sous les étoiles et l’aurore boréale avait été prometteuse jusqu’au moment ou le jeune lion compris qui était cette jeune femme. Lors de la joute organisée, Lyman préfère se montrer plus grandiloquent que combattant, assurant un spectacle certes, cependant celui-ci ne coïncidait pas vraiment avec ses prouesses martiales qui, si elles étaient encourageantes compte tenu de leur laborieux apprentissage au début, se révélèrent vite limitées face à des combattants ayant déjà survécu à une bataille. Lyman avait évité le ridicule et le déshonneur sur sa famille, cependant il n’y avait pas de quoi être fier de sa prestation une fois face à un autre combattant. Moyen, il avait été un jouteur moyen qui n’était pas passé inaperçu pour deux raisons : sa grande propension au sensationnel d’une part, mais aussi voire surtout le nom qu’il portait. Le patronyme Lannister revêtait toujours un sens, y compris dans ces terres glacées du Nord et inspirait toujours un certain respect, surtout quand Jordane Lannister tenait le trône. Quoiqu’il en soit son père Loren resta fier de lui pour avoir osé dans un monde qui ne tolérait guère l’originalité.


Survint quelques temps plus tard, la bataille de la Mort aux Loups où, Torrhen Stark son futur beau-père fait appel à Lyman Lannister et Gareth Kenning ami du roi de l’Ouest à participer à la bataille contre les Sauvageons qui ravageaient et pillent ses terres sans rencontrer de résistance suffisamment organisée pour les stopper net. Certes le Roi du Nord avait déjà lancé une opération destinée à les freiner voire les repousser mais sans un réel succès. Lyman à la base envisagea de refuser l’offre, n’appréciant pas les choses de la guerre mais répondit finalement par l’affirmative après un temps de réflexion, sans cet appui il ne pourrait épouser Jeyne Stark. Il était nécessaire de prendre des risques, son futur rôle de Roi ne lui laisserait pas le loisir d’éviter la bataille à chaque fois.
Aussi on lui confia l’aile gauche du Roi à la tête de cavaliers nordiens avec Gareth Kenning ainsi que Jon et Walter Stark et avec le reste de l’armée nordique (qu’il observa avec attention pour peaufiner son apprentissage théorique des arts de la guerre), ils allèrent ensemble défier le Roi du Peuple Libre Hrotgar. Au cours de la bataille, il parvient à mener sa cavalerie à l’assaut et va jusqu’à remotiver les troupes nordiennes pour relancer une charge supplémentaire et les invita à ne pas céder. Lyman tout comme Gareth seront blessés dans l’affrontement mais qui fut un mouvement payant car déclenchant la mise en déroute de l’armée ennemie même si cette manœuvre risquée coûtera la vie de Brandon Snow, frère du Roi Stark. Les sauvageons en déroute, Lyman et Gareth seront acclamés par les nordiens, une chose dont le jeune lion est très fier même aujourd’hui.



Jeyne Stark et Lyman Lannister finissent par se marier tous les deux à Winterfell sous le regard attentif de leurs parents respectifs. Touché par la franchise, la lucidité et l’innocence de Jeyne, Lyman s’attacha rapidement à elle au point d’être séduit par celle qui devenait de facto sa reine. Bien qu’elle soit de deux ans sa cadette, Jeyne a de quoi plaire le jeune lion qui se rapproche d’elle au fur et à mesure que le temps passe. Lui qui craignait de devoir épouser une fille avec laquelle il n’aurait aucun atome crochu, avait commencé à se dire qu’il pourrait au pire des cas, imiter son père et chercher l’amour loin du lit conjugal. Fort heureusement les Sept avaient fait de ce mariage d’intérêt un mariage d’amour, chose plutôt rare à Westeros par les temps qui couraient.

9 mois après la conquête, Lyman Lannister demande à Gareth Kenning son ami de longue date d’épouser sa sœur Megara Lannister. En effet le mal qui touche sa cadette devient quelque chose de difficile à dissimuler et susceptible de ternir des relations futures avec un époux éventuel. Il était à la base prévu de la faire épouser le jeune Arryn afin de solidifier une alliance, mais devant la maladie de sa sœur - dont Lyman ignore la nature réelle -, sa mère Jordane suggère qu’il serait plus adéquat de marier Nymeria avec le Roi du Val, Ronnel Arryn. Lyman ne peut qu’approuver et s’exécuta d’autant plus que Kenning est au fait des troubles de Megara. Cependant à ce moment ce n’était pas tant le mariage de sa sœur le plus gros problème qu’avait à gérer le jeune lion. En effet le royaume de l’Ouest était parcouru par des tensions internes qui contraignirent Lyman à intervenir à Falwell pour désamorcer un début de rébellion suite aux actes de cruauté perpétrés par l’Ogre Falwell, mais en agissant sans les conseils de sa mère et cherchant à ménager la chèvre et le chou en permanence pour ne froisser personne, il est difficile pour lui d’être efficace en pareilles circonstances, ce qui le plongera dans une légère dépression d’autant plus que Jordane se montre critique à son égard sur cette question. Il avait pourtant pu s’estimer ferme et juste en humiliant les Falwel et en pendant haut et court l’Ogre tout en concédant des terres… Seul Loren, son père tente de le réconforter et de l’inciter tirer les leçons de cet échec pour ne pas reproduire cette erreur, au final ce fut lui qui le tira de cet état dépressif en lui remontant le moral, admettant lui-même avoir déjà connu des revers lors de son règne. Il ne devait pas s’attarder dessus, il devait se relever et aller de l’avant : toujours aller de l’avant, toujours se relever. S’il ne le faisait pas, alors Lyman passerait sa vie à genoux.

Il organisera un banquet ainsi qu’un tournoi pour le retour de son père au cours du troisième mois de la première année suivant la Conquête, Lyman apprit la mort de sa sœur Nymeria dans le Val. Au cours du banquet le jeune lion resta livide et n’eut aucun appétit. Le cœur en morceaux, il eut beaucoup de mal à montrer de l’enthousiasme au cours de la suite des festivités, si bien que Lyman pris trois jours pour s’en remettre, se rappelant des paroles de son père : il était le prince et devait être capable de garder la tête froide pour un jour lui succéder. Il assista aux obsèques de sa sœur en silence et avec dignité à son égard, ayant l’impression d’enterrer une part de lui-même lors des adieux à Nymeria. Dans son chagrin, il prit le temps de composer une complainte que Lyman cherchera par la suite à sans cesse améliorer pour retranscrire sa tristesse…

Un mois plus tard, un certain William Potter vint à la cour de Castral Roc pour une affaire d’hérésie. Le jeune lion se décida à présider le procès l’opposant avec un certain Lord Malefoy afin de regagner un peu de crédibilité après sa gestion de l’affaire Falwell. Le procès suivant son cours, l’accusé fut alors poussé à effectuer un duel judiciaire qu’il perdit sous l’œil attentif de Lyman qui, le fit envoyer au Mur plutôt que de prendre sa vie. Lyman parvint à améliorer quelques peu son image auprès du peuple de l’Ouest. Autre chose qui alla en ce sens, ce fut la naissance d’un petit Martyn Lannister. Devenu père, la succession de Lyman était désormais assurée de manière pérenne ce qui ne manqua pas de rassurer Jordane et Loren Lannister. Suite à la naissance du petit lionceau, Lyman convainquit son épouse de se convertir aux Sept pour des raisons d’ordre pratico-politiques, il serait mal vu et cela fragiliserait son influence dans l’Ouest si elle vénérait d’autres dieux. Ce fut lors de la sortie du septuaire que son père fut ciblé par un attentat à l’arbalète qui aurait pu coûter la vie de sa mère. Horrifié, Lyman tira son épée à la recherche du meurtrier pour l’éventrer immédiatement, le jeune lion montrait enfin ses crocs et avait sorti ses griffes, mais il fut rapidement mis en sécurité avec sa femme et son fils. Il se rua pour voir Loren en piteux état même si sa mère essayait de garder la face, il était évident même pour Lyman qu’elle était dévastée, et enragée d’apprendre que l’attaque avait été commanditée par un royaume étranger. Le jeune lion eut la même réaction mais n’avait malheureusement aucun suspect à sa connaissance pouvant ourdir cette tentative d’assassinat.

Lyman pria donc au Septuaire à de multiples reprises, dormant peu, mangeant moins afin de concilier son rôle de père auprès de son fils, et son rôle de fils auprès de son propre père. Le veillant quand ses responsabilité ne l’en empêchaient pas. Soutien de sa mère lors des exécutions des présumés complices de cette odieuse conjuration, Lyman assista à chacune des mises à mort le visage fermé, meurtri, sachant qu’aucun de ses décès ne viendrait arranger l’état de son père. Quand vint enfin son trépas, Lyman n’éprouva aucune émotion et resta stoïque, sous le choc y compris lorsqu’on lui mit la couronne sur la tête, trois mois après l’attaque. Sans aucune joie, il s’assit sur le trône aux côtés de Jeyne, l’air absent il lui fallut plusieurs minutes pour se reprendre et assumer ce pourquoi il avait été préparé depuis le jour de sa naissance. Désormais, il était le Lion de Castral Roc. Suivant les conseils avisés de sa mère en matière de gouvernance, il se promit une chose : continuer de faire vivre le souvenir de son père en restant juste ainsi qu’en protégeant le royaume contre toutes ses menaces, qu’elles soient intérieures ou extérieures à ses frontières. Son royaume, le leg de son père était sujet à de multiples tensions et transformations qu’il était nécessaire d’opérer pour survivre…
Il décida, comme après la mort de Nymeria, de composer une musique racontant leurs existences respectives et vantant leurs qualités ainsi que leurs parcours. C’était aux yeux de Lyman, une manière de les immortaliser à jamais tant qu’un troubadour ou musicien jouerait cette chanson.

Un mois plus tard, sa femme annonça être à nouveau enceinte. Une nouvelle qui vint apporter un peu de réconfort et de lumière dans le cœur de Lyman qui n’avait pas encore surmonté le deuil de son père. Avec un deuxième enfant qui viendrait renforcer la famille Lannister, Lyman parvenait enfin à voir la vie avec un peu plus d’optimisme et, comme son père lui avait conseillé, d’aller de l’avant.

Un an et douze mois après la Conquête, Lyman décida de prendre l’initiative quant à la situation de Westeros. Il invita Manfred Hightower roi du Bief et Myria Harloi des Îles de Fer pour se rencontrer et échanger quant à la possibilité de créer une coalition d’intérêts rassemblant les trois royaumes contre le joug impérial. Les échanges vont bon train et chaque membre invité parvint à s’entendre sur les intérêts de cette triple entente. L’Empire qui avait tenté de les soumettre révélait ses faiblesses et pour Lyman il semblait être venu le temps de frapper. Au fil de la discussion il devint évident que la guerre était la seule option restante, aussi à l’issue de cette réunion secrète, les trois royaumes s’accordent de se rassembler pour mener leur offensive contre les impériaux. Jordane Lannister sa mère soutiendra son fils dans cette décision, du moins en public car en privé la Reine Mère jugera cette décision trop hâtive et pas assez réfléchie. Défiant ainsi son beau-père, Empereur de Westeros, le jeune lion sait que cela risque de rabattre les cartes, et que les Lannister se devaient de triompher.

L’Ouest entra en guerre contre le Conflans en déployant leurs troupes dans ces terres. L’objectif : mettre en déroute l’armée ennemie et conquérir Vivesaigues rapidement pour sécuriser le plus gros de la campagne contre le Conflans. Les troupes Lannister parvinrent à prendre le fort de la Dent d’Or après une bataille délicate en raison du relief et de l’opiniâtreté des défenseurs. Une fois une brèche créée dans la muraille, les troupes de l’Ouest parvinrent à faire un carnage dans les rangs des conflanais. S’ouvrant la route du Conflans et de Vivesaigues, les forces de l’ouest s’étaient élancées dans ces terres fluviales dans la plainte de la capitale de ce royaume. Commandée par Gareth Kenning, l’armée ouestrienne commença à encercler Vivesaigues et à faire le siège de la forteresse du Conflans. Le Roi avait fait rentrer une bonne partie de ses hommes à l’intérieur tandis que le reste de ses troupes plus lointaines étaient allées affronter les Hoare. Cependant, l’Ouest ne pouvait plus bouger, risquer de soulager la pression exercée par les troupes de siège les exposait à une sortie brutale et en nombre de la part des forces du Conflans. Lyman qui recevait chaque jour ses rapports, réfléchissait à un moyen d’accélérer la reddition du Conflans ou la prise de Vivesaigues afin de ne pas rester sur place trop longtemps pour permettre à des renforts de les attaquer.