Année de naissance ▪▪ -21 Nom de naissance ▪▪ Aucun. Pas née au bon endroit Ville de naissance ▪▪ Beaumarché Royaume de naissance ▪▪ Conflans
Situation matrimoniale ▪▪ Célibataire Royaume servi actuellement ▪▪ Conflans Titre / rôle au sein du royaume ▪▪ Harpiste ? Positionnement politique actuel ▪▪Moi ? Vous savez, Empire, pas Empire… Ca change pas grand chose pour moi
J’ai vu le jour pour la première fois à Beaumarché. Enfin, juste après les portes d’entrée. Enfin, dans le caniveau qui borde les portes d’entrée. Oncle m’avait dit, après avoir ramassé le cadavre de ma mère exsangue, que personne, dans l’aube grise, ne l’avait vue tituber et se ramasser sur le pavé. La pauvre femme était muette. Personne a pu l’entendre crier ; moi par contre, j’ai gueulé si haut et fort pour ma propre survie, qu’ça a marché.
- 8, après le traité de paix entre le Loup et le Noir
Ah, la fin d’une guerre qui semblait s’éternisait depuis quoi… Ma naissance ? Cette paix, elle était trop belle. Bien trop belle. Oncle et moi, on y croyait pas. Mais lui, il aurait peut-être due quand une mauvaise fièvre l’a emportée quelques semaines plus tard. A treize ans, il semble qu’on a le monde devant soit, la vie éternelle, et assez de courage et d’folie pour aller marauder là où une gamine de treize ans doit pas aller marauder. Quoique, j’en faisais plus, avec une belle voix de contralto, ma lyre qu’Oncle m’avait fabriqué, mes jambes et ma stature trop grande pour une p’tite gamine de treize. Ils ont tous cru que j’étais plus grande.
- 5, incursion des Fer-nés sur les côtes
J’ai compris ce jour là que je pouvais plus rien attendre des dieux. En trois ans, on peut en faire des choses dans une terre ravagée par la guerre. J’m’étais fait une petite réputation dans les auberges de passages, j’avais chanté pour les soldats, lesquels, j’en saurais jamais rien, et je longeais la côte vers Salvemer pour aller à la foire qui s’y préparait. Je tirais des accords sur ma lyre, n’écoutant que le clapotis des vagues sur les rochers, quand je l’ai entendu. Son rire. Et puis je l’ai vu. Cet homme. Oh, non, ne me plaignez pas. Seul le capitaine m’a touché, il m’a interdit à l’équipage. Celui là, il en plus fait pour moi que tout ceux que j’avais rencontré. Il m’a appris à haïr. Il m’a appris à jouir de ma liberté. Il m’a appris que les dieux, c’était des histoires pour endormir les gosses le soir. J’aurais aimé savoir son nom, pour le murmurer quand le jour de sa mort viendra.
An 0 mois 9, bataille de Paege
Ocres, rouges, pourpres, sanglantes, Sont les lueurs de mon automne, Et j’entends dire, monotone, Qu’une fleur se soir est mourante ; La mienne la leur, peut m’importe, La guerre revient, mais pas la peur, Deux mois plus tard, avec horreur, L’empire, le dragon, l’emporte.
An 1 mois 9, où les tourments d’un roi
Personne ne vous le dira, mais j’ai chanté pour les funérailles de la reine. Oh bien sur, pas dans les hautes cours, pas pour aucune oreille même, mais pour moi. Une année de guerre. Des familles qui fleurissent puis se fane. J’ai plus de vingt-deux ans maintenant, la gamine avec neuf de moins, elle est morte dans les cendres de la guerre. Mes pas m’ont mené partout où on réclamait mes services ; conforter un homme rentré d’une bataille voyant son village réduit en cendre, une mère qui étreint le cadavre encore chaud de ses enfants crevant de faim. Oh non, je me bats pour aucune cause, moi. Mes mots sont bien plus piquant que la pointe de vos poignards ; je chante la vérité, je chante mes pensées, ou du moins, ce que vous voudriez m’entendre dire. Survivre dans un pays en guerre, c’est pas une mince affaire, mais j’l’ai fait. Vous qui avez entendu la rumeur mélodique d’un camp, les remous chantant d’une rivière, le glissement du vent dans les barrals de Noblecoeur, vous auriez du revenir sur vos pas, c’est Alie qui tissait votre destin.
Aliénor
Salut BC ! J'espère que tu vas bien, car moi j'ai la pomme de terre ! Je t'ai connu via ROOT TOP. Ce qui m'a tout de suite charmé, c'est beeeh tout !. Par contre je dois te l'avouer, je ne suis pas fan du code (c'pas vous, c'est mon allergie). Si 7/7 signifie que je peux passer tous les jours, je pense que ma présence sera au minimum de 6/7. Si 4/4 signifie que je peux rp toutes les semaines, mon activité sera au minimum de 5/4 ! . Allez c'est pas tout ça, mais on a plein de choses à faire alors, en dernier mot, j'aimerais te dire que Beh, c'cool par ici quand même. PS : je confirme avoir bien lu le règlement, pour sûr.
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Clara Paget est <a href="/t6858-al"><span class="Gp_ConflansL">Aliénor</span></a>
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<span class="Gp_ConflansL">Aliénor</span> - Indifférente, le destin me le dira - Harpiste - <a href="/t6858-al">Personnage inventé</a>
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<a href="/u684"><span class="Gp_ConflansL">Aliénor</span></a> se trouve à <span class="Gp_ConflansL">Conflans - Noblecoeur</span>
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Sujet: Re: Aliénor Mer 20 Mai - 13:29
Prénom du personnage
Contes de l'errance, ou les bouffonneries d'une harpiste
Il est difficile de survivre à Westeros sans avoir un talent particulier. Une épée fougueuse, une cuillère en argent bien placé, ne pas se trouver au mauvais endroit au mauvais moment... Moi, j’ai rien de tout ça. Je vais rapporter ici ce que je vais appeler « Conte de harpiste », des histoires et anecdotes qui égayent un quotidien sombre, car aucune lumière ne pourra faire fleurir une nouvelle fois les bourgeons du printemps. J’avais très vite pris l’habitude, lorsque je croisais soldats, nobles, voyageurs et autres vagabonds, d’égrener quelques notes sur ma lyre, trouvant les mots pour qu’ils me laissent en paix – ou me prient de venir à eux.
¤¤¤
Des voix gaillardes, sur les berges du Trident. Je m’éveillais à l’aube de mon perchoir, ayant pris l’habitude de confortablement m’installer dans les branches basses des arbres pour la nuit. Enfin confortablement, c’était toujours mieux que de se réveiller au matin avec son sac et sa bourse disparut. Aussi rapidement que me le permettait mes muscles endoloris, je glissais de mon perchoir, réajustait mon sac sur mes épaules, et pris ma lyre dans le creux de l’arbre. Elles se rapprochaient. Des voix de ténor, rehaussées par un baryton plus léger. Nasillard. Ca parlait vite, plus sèchement que ne l’aurait fait de simples voyageurs. Soldats. Mercenaires ? Mieux vaut être prudent avec ces gens là. Je remis mon chapeau, arrangeais mes cheveux, m’assis au pied de l’arbre en une attitude nonchalante. Mon ventre criait famine, et ils pourraient m’être utiles. Une sourde complainte s’éleva de ma lyre, mes doigts experts tissant des mélodies plaintives, et m’éclaircissant la gorge, j’élevais ma voix par dessus le murmure de l’eau.
Ma mère est une putain c’est c’que dise les voisins, Elle fait le tapin du soir au matin, Y paraît qu’toute la rue lui ait passé d’ssus, C’est pour ça qu’j’en conclu que les voisines sont cocues.
Seul le baryton se faisait entendre, intiment aux autres le silence. Glissement froid de l’acier contre le cuir. Pas plus léger, prédateur. Je les vis sortir du coin de l’oeil du chemin, une demie-douzaine de silhouettes grises dans le brouillard de l’aube.
Ma mère est tellement belle que les voisins font la queue, Pour coucher avec elle plutôt que de rentrer chez eux, Ils claquent leur bonne paie dans les bras de ma mère, Pour la chaleur d’une caresse et la douceur de ses fesses.
Je levais les yeux vers le groupe, lame toujours à nue, qui s’approchaient plus tranquillement de moi, un sourire équivoque aux lèvres. Le baryton appartenait à un petit homme grisonnant, à sa démarche le chef de la petite troupe, et vint se planter devant moi, une main posée sur la hanche, menaçant, fronçant les sourcils, et tout particulièrement ridicule. Avant de vriller mes yeux dans les siens, petits, rapprochés, porcins, j’adressais un clin d’oeil au jeune homme à sa droite.
Et toutes ces vieilles rombières qui font que m’insulter Sont des langues de putes dit ma mère et elle maîtrise le sujet, Car même en étant payé y aurait pas un volontaire, Pour aller baiser le cul de vot’ mère.
L’éclat de rire du jeune homme fut interrompue par un regard glacial que lui lança son supérieur, aux couleurs des Tully. Je laissais mourir ma mélodie avec son éclat, et levai mon chapeau vers eux.
- Eh bien messieurs, que puis-je donc faire pour vous ?
- J’devrais te d’mander ça à toi, c’est pas moi la jeune demoiselle qui chante des trucs pareils sur le bord des routes en tant de guerre.
J’inclinais lentement la tête, avant de me remettre d’un bond sur pied, le dépassant de deux bons pouces, et fit un élégant sourire au jeune homme qui, satisfait, rangea sa lame à sa ceinture avant d’y glisser ses pouces.
- Ne vous en prenez pas à moi, messer, je ne suis qu’une simple harpiste bien loin de tout ces conflits armés. Ma vie n’est que chant des ruisseaux, et mes désirs…
Il interrompit ma tirade en me plaquant contre le tronc rugueux de l’arbre, et la pointe de sa dague vint chercher ma gorge. Je déglutis difficilement, parfaite imitation de la frayeur. Ca faisait des années que je ne l’avais pas ressenti, et ce nabot n’était pas près de la faire revenir. - J’aime pas les chansons de la harpiste, on aurait carrément cru que c’est ma mère à moi qu’tu traitais d’putain, la putain.
Prends un air ingénue. Allez, ton meilleur. Tes beaux bleus, t’arrive toujours à en tirer une larme.
- Moi ? Mais, messer, jamais, c’est une chanson que... commençais-je en bégayant tandis que la pression se fit plus mauvaise. Jamais je n’aurais songé, parfois, j’oublie que je ne suis pas seule quand je chante et…
- La ferme !
Il baissa son regard vers ma gorge nue, ma poitrine menue sous ma chemise peu féminine, perçant à travers mon lourd manteau de cuir.
- J’crois que tu nous serais bien plus utile la bouche fermée, ma jolie, susurra-t-il à mon oreille.
Le plus magnifiquement possible, je me mis à trembler violemment. Suffisamment fort pour qu’il ne se rende pas compte, de ma main libre, que j’attrapais la dague à ma ceinture pour venir piquer son entrejambe. Mais je n’eus pas le temps de finir mon geste ; le jeune homme posa une main lourde sur l’épaule de son aîné, ses yeux verts me lançant un regard compatissant.
- Arrête, Ed, tu sais bien comment ça a finit avec la dernière, et j’ai pas envie de devoir fournir une explication à…
- Ah la ferme, toi aussi !
D’un geste rageur, il rengaina son poignard, fit signe à ses compagnons de faire de même, tandis que je m’effondrais au sol, dissimulant un sourire que mon sauveur surpris. D’une main charitable, il vint à mon secours et me remis sur pied, tout en s’attardant sur mes traits pâles et amaigris par la faim. Il fouilla dans sa besace pour me glisser quelques morceaux de viande séchée dans la main alors que ses compères s’esclaffaient bruyamment qu’il était encore bien trop tôt pour ces choses là, mais que la prochaine fois, ça se passerait pas pareil. Sanglotant piteusement, j’enserrai ce corps chaud et familier, qui avait réchauffé ma couche il y a de ça quelque mois ; je n’avais pas oublié ses yeux d’un vert si singulier, comme il n’avait pas oublié ma voix, ma chaleur, ma crinière rousse. Il était toujours bon d’avoir vagabondé dans l’intégralité de son royaume, connu maint bons hommes auxquels j’ai permis, l’espace de quelques soirs, d’oublier leurs guerres, leurs femmes, leurs amis fauchés par la mort, dans mes bras. Surtout quand j’avais permis à sa sœur de ne pas voir sa dignité écorchée par l’apparition d’un mouflet alors qu’elle n’était pas marié. Vagabonde et harpiste ? Guérisseuse ? Ne donnez pas trop de cordes à mon arc. J’apprends seulement à survivre, et avant tout à profiter de mon existence. Insulter un homme devant les siens qu’il traitait trop mal, poussait à la perfidie, était une joie des plus vibrantes, et je me trouvais toujours quelques champions. Quoi ? Oseriez-vous dire que tout ceci n’est qu’un tissu de mensonge et que tout ces hommes me sont passés dessus ? Non. Vous n’oseriez pas. C’est ma parole de harpiste qui est en jeu, et je me trouverais bien trop de défenseurs pour vous la faire regretter. Quoi qu’il en soit, je commençai la journée avec un sourire, la chaleur d’une caresse, et de la viande dans l’estomac.
¤¤¤
Le soir était tombé, étirant ses ombres dans les ruelles désertes. Après la guerre et la maladie, les rares survivants du village n’étaient plus que des marionnettes guidées par les doigts de leur dieu. Ce qu’ils avaient besoin, c’était de voir leurs enfant diverti. Ce qu’ils avaient besoin, c’était que je le fasse pour eux. Ce dont ils avaient besoin, c’était de moi. Je les installai tous près de la chaleur du foyer éloignant leurs parents et leurs oreilles indiscrètes, et laissait courir mes doigts sur ma lyre, accompagnant mes mots de notes flamboyantes et langoureuses
- Mes enfants, êtes-vous allé dans le pays que vous appelez le Nord ? Le domaine des loups, et maintenant des dragons. Eh bien moi, je suis allée à la cour et j’ai vu réellement ce qu’il s’est passé. Oh non, ce n’est pas de Winterfell que je vous parle, mais bel et bien du Nord, où il fait si froid que l’eau se fige dans vos verres, que le sang de vos coupures se figent avant d’avoir pu couler. Là-bas, les loups n’ont pas la même taille que ceux qui déciment votre bétails. Ce sont des montres de six pieds de hauts, avec des dents longues d’un, si aiguisé qu’elle couperait votre bras si vous les approchez de trop près de leur petit. Car oui, mes enfants, le véritable trésor de ces loups géants, ces loups errants, sont leurs enfants. Si on les trouve petit, on peut les apprivoiser, et le Dernier Roi de l’Hiver, lui, l’a fait. Oh c’était bien avant votre naissance et la mienne, avant la naissance de vos parents et de leurs parents, en ce temps là, les loups auraient pu saigner les dragons comme les agneaux. Mais le printemps, oui, le printemps mes enfants, les a rendu faible et las, et, avant que les rats ait déserté ses ossements, le Dernier Roi n’était plus. Il ne restait qu’un seul de ses loups, faible, haletant qui ne voulait qu’embrasser le dragon au lieu de le dévorer. Eh oui, c’est drôle, n’est-ce pas ? De voir ces créatures légendaires réduites à l’état d’esclave de leur pulsion.
- Mais Alie, le Dernier Roi, il a rien pu faire pour sauver ses amis ? - Rien, seulement regarder sa chute et…
- Mais qu’est-ce que vous allez raconter à nos enfants ?
J’esquivais prestement la pierre qu’elle me lança, bondit par dessus les tables de la taverne, et m’enfuis dans la douceur du crépuscule, avant qu’un seul de ces bougres se souviennent de mon nom. Sauf les enfants. Eux, n’oublierait pas. Aucun de mes mots.
¤¤¤
Senteurs de pain sortie du four, fracas du chariot sur les rues, myriades de couleurs dans les rues. J’écoutais les conversations des passants tout en jouant avec les autres vagabonds, quémandant quelques pièces pour un peu de musique.
- Tu sais, la chanteuse qu’est venu chez toi.
- Cette traînée de blasphématrice ? Ouais, eh beh ?
- Apparemment elle aurait été vu un peu partout dans le Conflans, comme si ça lui faisait plaisir de faire naître dans l’esprit de nos gamins des idées comme ça, sur le roi et tout.
- M’étonne pas. Faudrait qu’ils fassent quelque chose pour elle.
- Qui ça, les rois et tout ça ? M’étonnerait. Tu sais, y en a qui dise que cette sorcière, elle fait partie d’un truc bien plus grand qu’elle en à l’air. Aliénor qu’elle s’appelle c’est ça ?
Mon rire se perdit dans le nouveau ton guilleret que je fis prendre à notre quatuor.
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Sujet: Re: Aliénor Mer 20 Mai - 13:43
Bienvenue Aliénor
Je lis ta fiche dans l'après midi !
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I never wanted this. I never wanted to unleash my legions. Westeros have only one chance to prosper and if you not seize it, then I will. So let it be war ! From the skies above the Wall to the dornish sands. Let the seas boil. Let the stars burn. Even if it takes the last drop of my blood, I will see the kingdoms freed once more. And if i cannot save it from the felony and the dishonor, then let Westeros burns.
Spoiler:
Torrhen Braenaryon
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Messages : 54726 Membre du mois : 190 Maison : Braenaryon Caractère : Loyal - Secret - Stratège Célébrité : Christian Bale
Alors sous l'avatar tout en haut manque toute la partie sur ta généalogie, qui est restée non remplie
Tu indiques servir l'Empire mais sans positionnement politique? Je n'ai pas très bien compris comment se plaçait le perso du coup.
Autrement tout est nickel, j'ai beaucoup ri avec la chanson, tout est très bien écrit
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Bienvenue dans le Conflans Libre par contre si tu sers vraiment l'Empire les codes ne sont pas tout à fait les bons ;)
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Sujet: Re: Aliénor Mer 20 Mai - 18:24
Me re-voilà !
J'ai rajouté son Oncle dans la généalogie, après, comme beaucoup de représentants du petit peuple, c'est difficile d'en dire plus (on a pas vos registres écrits à la plume nous !).
Pour le positionnement, eh bien à part sa liberté et sa propre tronche, elle n'en a pas vraiment. Certes, l'Empire a unifié des Royaumes, mais tout le monde se tape quand même dessus (sans vouloir offenser not'bon roi). Je dirais plus qu'Aliénor est une girouette pleine de vie, toujours présente où on a besoin d'elle, pour semer graines de la discorde et laisser courir des mélodies apaisantes aux villages ravagés par les guerres incessantes des nobles. Un vrai positionnement ? L'intérêt du peuple, et le sien. Un titre ? Che Guevara des Sept Couronnes. Une récompense ? Nan, j'en fais trop
J'espère que c'est tout bon, je galère un peu avec le code mais tente de m'en sortir. Si y a besoin d'informations ou autre, je reste à votre disposition, et merci pour l'accueil !
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Sujet: Re: Aliénor Mer 20 Mai - 18:39
D'accord dans ce cas tu peux simplement préciser que tu es du conflans dans le royaume servi en tant que patrie de naissance, sans toucher à ton alignement, et ce sera nickel
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C'est fait. J'ai tout bon ? *bouillonne intérieurement*
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Sujet: Re: Aliénor Mer 20 Mai - 19:34
Bienvenue Aliénor !
Et oui, te voilà validé(e) ! La classe hein ! Mais ne te repose pas sur tes lauriers trop vite, aussi confortables soient-ils, car il y reste encore quelques lieux à visiter, et dans lesquels tu dois poster. Nous t'avons fait une petite liste ci-dessous qui n'est pas exhaustive, mais qui t'indique les sujets les plus importants que tu dois aller voir absolument.