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 Par un jour d'Orage (An 2, Mois 2, Semaine 4) [Tour IX - Terminé]

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MessageSujet: Par un jour d'Orage (An 2, Mois 2, Semaine 4) [Tour IX - Terminé]   Par un jour d'Orage (An 2, Mois 2, Semaine 4) [Tour IX - Terminé] EmptyJeu 23 Déc - 1:47





Par un jour d'Orage

Dovan Caron

C’est sous une pluie battante que le jour se levait et à peine en entrevoyait-on la lumière. On ne distinguait plus les nuits zebrées d’éclairs et les jours passés sous des trombes d’eau et dans la boue jusqu’aux genoux sous un ciel assombri par de gros nuages menaçants. Le ciel restait aussi noir que les pensées de la Reine en cet instant, devant un messager trempé jusqu’aux os qui venait de lui tendre les missives de Lord Tarly et de Lord Felwood. Une énième journée d’orage, de quoi décourager même les soldats les plus rôdés aux intempéries, soit tous les vétérans de l’Orage, et pour couronner le tout, une énième intrusion de l 'ennemi. Le tonnerre gronda en réponse aux grognements de la Durrandon lisant les quelques mots de l’homme qu’elle avait poursuivis jusqu’à Grassy Vale et qui désormais prenait sa revanche en brûlant tout sur sa route. De bien mauvaises nouvelles, une fois de plus, comme si cela ne suffisait pas, comme si cela ne pouvait pas, pour une fois, bien tourner pour l’Orage.Les Dieux s’acharnent donc contre mon peuple et contre moi ? Ainsi les dernières nouvelles venaient d’arriver, les menaces du général bieffois confirmées par celle du seigneur de Felwood, mais pas pour autant sa position et ses mouvements. Cependant, une chose était certaine, le Bief avançait en territoire Orageois, encore, et évidemment à un des, hélas trop nombreux endroits où il n’y avait aucune défense. Fallait-il donc que cela n’ai pas de fin ? Depuis des mois Manfred faisait courir l’armée Impériale à présent réduite du fait de l’entrée en guerre de l’Ouest et du Val. Et avec ça Argella n’était pas parvenue à rattraper Lord Stackhouse avant qu’il ne puisse présenter une nouvelle menace pouvant débarquer de nulle part. La peste soit de cesmaudits Bieffois.

Oui, cela était bien inutile de jurer ainsi au petit matin dans sa tente de guerre, mais c’est pourtant ce qu’elle fit après avoir terminé les missives qui l‘informaient de la troisième invasion de l’Orage menée par Lord Tarly. Il était donc de retour après avoir fui vers le Nord pour l’éloigner du front sud et permettre à Lord Stakhouse de passer. A moins que ce soit l'inverse… Peu importait à présent, et elle le savait depuis longtemps, mais comment prendre le contre pied sans risque de voir son Royaume réduit en cendres, comment ne pas poursuivre l’ennemi, ne pas donner sa chance à chacun des plans, chacune des stratégies mises en place, même en réponses aux mouvements ennemis ? Il fallait croire qu’elle tombait dans chaque piège tendu par Manfred l’usurpateur et que ce dernier refusait catégoriquement de tomber dans les siens, suscitant en elle la peur et l’impatience, la lassitude dans le coeur des hommes et probablement, bientôt, la révolte dans les fermes qui se voyaient une fois de plus incendiées et pillées, détruites par le passage d’un nouvelle armée. Que diraient-ils, ces pauvres hères, si elle rentrait tranquillement à Accalmie pour se contenter de protéger le cœur de son pouvoir duquel les généraux ennemis semblaient toujours vouloir l’éloigner le plus possible. Ne méritaient-ils pas son attention ? Alors, à présent, que devait-elle faire ?
Prendre une décision et vite, mener une contre attaque intelligente qui la sortirait de l‘ornière dans laquelle la stratégie du Hightower ne cessait de la faire sombrer.

Rester en mouvement, ne pas se laisser prendre de vitesse. Au début de cette campagne, une guerre de position était inenvisageable, il fallait en finir vite et reconstruire. A présent, ce temps semblait si lointain qu’elle en aurait presque rit si elle n’était pas occupée à terminer de boucler son armure avec le concours précieux de son aide de camp. Mais il fallait marcher, aujourd’hui encore, sous la pluie et dans la boue, sous le ciel qui menaçait d’engloutir l’armée entière et le royaume, et la lignée Durrandon. Épée à la ceinture, couteaux sur la poitrine, elle sortit de sa tente et se mit en selle, son arc et ses flèches à portée de main. Son écuyer chargé de garder la lance royale se mit en selle aussi, et avec lui la garde régine. L'avant-garde était déjà partie, l’arrière gardé était occupée à démonter le camp. Et voici qu’elle se mit en route avec le reste de la cavalerie du corps principal.

Tout en chevauchant, elle approcha un à un ses commandants, pour avoir leur avis sur la situation, pour sonder leur volonté, leur loyauté, les interroger sur l'état d’esprit de leurs hommes, et en profiter pour les convoquer au conseil de guerre qui aurait lieu dès leur arrivée à Wensington. Ainsi, bien qu’elle ait pris le départ avec les chevaliers, les soldats de tous les corps d’armée de chaque unité, la virent au cours de cette interminable journée de marche. Ils purent l'apercevoir, prenant l’eau tout comme eux, même si elle ne pataugeait pas dans la boue, le regard fier et l’assiette altière quand bien même fût-elle trempée comme chaque homme de cette armée. Il y avait de quoi être fière et garder toute son altesse devant cette longue colonne d’homme courageux qui bravait le temps exécrable à la poursuite d’un ennemi inlassablement hors de portée de leurs lames. Si peu de combat, encore moins de véritables victoires, et pourtant ils avançaient quoi qu’il en coûte. Les archers commandés par Dovan Caron ne firent bien sûr pas exception et elle se porta à hauteur du jeune homme en fin de matinée.

__ Lord Dovan, comment va-t-on aujourd’hui ?

Un éclair illumina subitement le ciel.

__ Notre cher pays n’a-t-il jamais mieux porté son nom que depuis que nous avons quitté le Bief ?

La biche couronnée se mit à rire, suivie de près par le tonnerre. Elle aurait donné cher pour pouvoir apercevoir un peu le soleil et encore plus pour permettre à ses soldats d’avancer au sec quelques jours. Mais elle ne pouvait pas flancher, elle devait montrer que son moral était à la hauteur de ce qu’il restait à accomplir, surtout avec les dernières nouvelles dont, certes, les hommes n'avaient pas encore eu vent mais qui ne tarderaient pas à arriver à leurs oreilles. D’ailleurs, elle devrait faire un discours très bientôt pour maintenir le cap, redonner l’espoir malgré tout, et garder leur loyauté et le courage intact malgré l’inutilité apparente de cette épuisante campagne qui ressemblait plus à une course ridicule derrière un ennemi imaginaire qui jamais ne montrait le bout de son nez.

__ J’ai reçu ce matin de bien mauvaises nouvelles qui requièrent votre avis. Felwood est assiégée et Lord Tarly, après avoir fait plier Mossegonde et Horpe et passé toute la région à la torche. me donne rendez-vous dans la plaine des Bronzes.


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MessageSujet: Re: Par un jour d'Orage (An 2, Mois 2, Semaine 4) [Tour IX - Terminé]   Par un jour d'Orage (An 2, Mois 2, Semaine 4) [Tour IX - Terminé] EmptyDim 13 Fév - 13:20

Mes hommes et moi fument parmi les premiers à lever le camp pour partir en avant-garde. Nous en avions pris l’habitude, et chacun d’entre nous avait intégré que tel était notre rôle. L’endosser n’était cependant pas chose aisée ces derniers temps. La lassitude, la pluie, la boue, sans compter ce fantôme derrière lequel nous courrions étaient autant de facteurs irritant mon moral. Pour couronner le tout, mon statut m’empêchait catégoriquement de le faire ressentir. Mes hommes n’avaient pas besoin d’un chef de fil usé.
Alors c’est en n’ayant à peine dormi une fois encore que je sortais de ma tente pour venir à leur rencontre. L’aube laissait échapper une petite éclaircie à peine perceptible se profilant au loin, à l’horizon, alors que la pluie avait déjà imbibé mes vêtements.
L’eau écrasait mes cheveux et finissait sa course sur mes lèvres et sur mes yeux que la fatigue rendait sensibles. Chaque goutte me donnait l’impression de me les faire lacérer par un rasoir. La journée commençait mal, je me demandais déjà si j’allais pouvoir tenir jusqu’au soir sans m’écrouler d’épuisement.

La plupart de mes hommes étaient déjà debout, les autres ont eu l’honneur de se faire réveiller en sursaut par leur capitaine excédé. Le moment n’était pas venu de se relâcher, ni pour moi, ni pour eux. Les voir sommeiller encore à cette heure m’avait rendu profondément nerveux et irritable, bien plus que si j’avais été moi-même reposé.
Nous levions alors le camp en grande pompe pour partir vers l’est. Je rêvais déjà d’arriver à Wensington pour envisager les temps à venir à tête reposée. Fort heureusement, je constatais que le moral n’était très mauvais que pour moi. Mes hommes ne pliaient pas malgré les circonstances. Peut-être se satisfaisaient-ils, au fond, de n’affronter aucun ennemi. Peut-être étaient-ils rassurés de constater que l’échéance se retardait encore et encore ?
A cette idée je me pinçais les lèvres, honteux d’avoir pu envisager une telle circonstance. Mes hommes et ceux de l’Orage, tous ceux de l’avant-garde, ne pliaient pas justement parce qu’ils étaient des hommes de l’orage ! Ce n’était pas quelques grondements accompagnée de pluie qui allait les effrayer !

Pourquoi étais-je si fatigué alors ? Pourquoi n’arrivais-je pas à trouver le sommeil ? La campagne était rude, mais elle n’était pas encore catastrophique. J’allais un jour reconquérir Séréna, j’en avais l’intime conviction. Dans ce cas, pourquoi ?
Perché sur mon immense cheval, je sentais parfois mes paupières se refermer seules pour rejoindre mes cernes. Ma tête se mit à flancher et à cet instant, je descendis pour rejoindre mes hommes.
Je ne pouvais pas me permettre de piquer une sieste bien à l’abris de la boue alors qu’eux, s’épuisaient un peu plus bas.

Cette initiative ne fit que rendre le périple encore plus irritant. Quand cette journée allait-elle finir ? Quand pourrais-je enfin fermer les yeux sans en avoir honte ? Un mélange d’agacement, de colère, de frustration et de tristesse indéfinissable me rongeait. Ce jour-ci, je dirigeais mes hommes avec infiniment moins de finesse. Je me surpris à remarquer que je ressemblais aux autres capitaines, aigris et impatients, prenant leur position comme acquis, et je pressentis que je n’avais pas le temps pour la subtilité. Le moindre égard ou faux pas me mettait hors de moi, et ce fut un travail titanesque de ne pas laisser exploser cette colère. Que m’arrivait-il ?
Je pus en revanche me soulager l’espace d’un très court instant, lorsque j’entendis près de moi la voix de la Reine. Je n’avais même pas remarqué son arrivée. Face à elle je me sentais moins seul, à tel point que j’eus envie laisser extérioriser mon épuisement.
Je ne le fis cependant pas. A l’instant où mon regard croisait le sien, je compris.

« Vous êtes fatiguée vous aussi, n’est-ce pas ? Peut-être pas autant que moi mais… Vous n’allez pas si bien. » , concluais-je pour moi-même.

Pourtant, la Reine se montrait souriante, et se permettait même de rire. Je répondis par un léger sourire forcé, car j’étais peiné de la voir si faussement enthousiaste. J’avais en cet instant la conviction profonde que quelque chose allait mal. Je lui répondis tout de même.

- Les hommes vont bien Majesté, même si l’envie d’en découdre peut se faire ressentir.   Peut-être ne parlais-je que pour moi en cet instant. Je compris que j’étais profondément lassé de marcher sans jamais ne croiser d’ennemis. Je mourrais d’envie de les rattraper pour tous les occire jusqu’au dernier.  

Argella pris un petit temps de pause avant de m’avouer qu’elle ne venait pas uniquement pour profiter de ma compagnie.

« - J’ai reçu ce matin de bien mauvaises nouvelles qui requièrent votre avis. Felwood est assiégée et Lord Tarly, après avoir fait plier Mossegonde et Horpe et passé toute la région à la torche. Il me donne rendez-vous dans la plaine des Bronzes. »

Mon visage se déconfit encore d’avantage. Cela était pire que ce que j’avais imaginé. L’ennemi était aux portes d’Accalmie. Mes lèvres se pincèrent de colère et la présence-même de la Reine ne put retenir quelques injures.

- Ces putain de chiens !

Mon cœur s’était mis à battre, mon âme me criait de me rendre moi-même à Felwood pour en finir, planter Tarly dans le dos avant de me faire éliminer par ses hommes. La fatigue me faisait littéralement fantasmer, heureusement, je n’étais pas encore assez épuisé pour envisager cette éventualité.

- Pourquoi s’emmerdent-ils à assiéger Felwood si la capitale n’est à quelques lieux ? Ce n’est pas normal.

Je me passais les mains contre mon visage dans l’espoir assez futile de replacer mes idées, de pouvoir me concentrer et pour chasser tout parasitisme dû à mon état.

- Cela m’étonnerait beaucoup que l’essentiel de son armée ait assiégé Felwood. Avec leur nombre ils auraient pu aisément la mettre à sac et partir pour Accalmie. Il ne faut pas se rendre à la plaine des bronzes. Cela est la seule chose qui me vient en l’instant.

Aucune idée meilleure ne me parvint. Je rageais contre moi-même de ne pas comprendre la stratégie du Bief. Pourquoi attendre que nous ayons de nous mettre bien au chaud à Accalmie pour l’assiéger ?  
Cette situation m’inquiétait.
« Peut-être essaieront-ils de nous surprendre également par la mer ? Auquel cas nous serions pris entre les fantassins au nord et à l’ouest et l’arrivée de nouveaux hommes arrivant depuis le pas de Torth à l’est ? Dans cette éventualité, nous aurions à peine le temps de nous replier à la capitale… ».
Il était difficile d’avoir les idées claires. J’ignorais même si le Bief avait un quelconque contrôle sur les mers tumultueuses de la baie des naufrageurs.

- Qui avez-vous sondé Majesté ? Quel est donc leur avis ? Quel est le vôtre ?

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Par un jour d'Orage

Dovan Caron

Oui, même Argella, impétueuse infatigable que la guerre tenait en haleine quoi qu’il en coûte, même elle était lasse. Pas lassée cependant d’être sur les routes avec les seuls Orageois qui se soient montrés dignes de ce Royaume, son armée, qui jamais ne faiblissait, même sous l’orage, même après des semaines de marche sans croiser le moindre ennemi. Lasse seulement de n’en point trouver sur son chemin. Et pourtant, les nouvelles du Nord ne lui disaient rien qui vaille. L’ennemi était plus nombreux et plus reposé, et surtout doté d’un vrai plan tandis que celui concocté par la jeune biche avec le couple Impérial avait depuis longtemps volé en éclat. Pour autant, tout n’était pas perdu, loin de là, un défi était lancé à l’Orageoise désormais seule avec ces troupes et des renforts impériaux moindres que ceux prévus au début de la campagne pour affronter les armées Bieffoises. Mais en un sens, bien que les missives reçues ne lui donnaient pas réellement de baume au cœur car la situation était plus que complexe et la victoire plus qu’incertaine, voir impossible sur le papier, cela la remotivait. D’un échec contre Stackouse, elle passait ainsi à autre chose, sans avoir le temps de s'appesantir

__ Et comme je les comprends, courir après l’ennemi est plus frustrant encore que cette foutue pluie qui n’en finit pas.

A l’annonce de la nouvelle du jour, Dovan ne put s'empêcher de laisser échapper quelques jurons, ce qui fit sourire la Durrandon. Au moins, malgré la fatigue et les revers de fortune, ne perdait-il pas sa haine des Bieffois et cela avait parfois pu mettre la brune aux yeux azur sur la réserve pour des raisons politiques, cette fois, elle ne pouvait qu'acquiescer. Il allait en avoir besoin contre Tarly, elle aussi et tous ceux qui marchaient, de la boue jusqu’au genoux devant et derrière eux. Tous les hommes devaient être dans le même état de rage ou le seraient bientôt une fois qu'ils sauraient. Ainsi donc allait-il falloir qu’elle fasse attention à garder la discipline dans ses rangs, car il était facile dans ses conditions de chercher la bagarre et de briser les rangs, de ne pas respecter un plan qui demanderait certainement de la patience. Mais pas aujourd’hui. Là, elle se contenta de sourire tandis que Dovan faisait une remarque intéressante sur Fellwood.


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