Ça ne me regarde pas, étant étrangère à Westeros, la politique ne m'intéresse pas du tout, seul l'or m’intéresse, je ne comprends pas tout les tenants et aboutissants de la situation géopolitique des royaumes. Mais si ça vient à nuire à mes affaires, je n’hésiterais pas à m'en mêler

Ma loyauté va à Lys en premier, puis à l'argent en second et enfin en troisième à la guilde des herboristes et en quatrième et dernier à mon royaume d'adoption l'orage. Elle n'a que très peu de nouvelles de son île natale et ça la travaille quelque peu, d'autant que le peu de nouvelles qu'elle a pu en avoir n'était pas très bonne.


La guerre est déjà là, que ce soit sur l'île de Lys ou dans son royaume d'adoption, qui l'a reçu à bras ouvert, il faut dire quelle n'est pas arrivée les mains vides, mais avec des coffres remplis d'or et de joyaux qui habilement distribués lui avait permis d'ouvrir son commerce.
Mais n'étant pas une soldate, les informations qu'elle a eues sur la guerre ne sont que très sommaire. Même durant le siège d'y il y a quelques mois, elle n'a pas souffert de la situation.

Elle en as vaguement entendu parler, par les gens qui venaient dans son échoppe ou en taverne, mais cela ne la touche pas plus que ça. Elle pense seulement que du poison aurait été plus efficace et moins barbare.

     

▪▪ Pseudo ▪booker▪ Âge ▪41 ans▪ Présence sur une échelle de 1 à 20 ▪12/20▪ Comment avez-vous connu le forum? ▪par son fondateur▪ Qu'est-ce qui vous a poussé à vous inscrire? ▪il a l'air cool▪ Qu'est-ce qui vous a rebuté? ▪rien▪ Quelque chose à ajouter? ▪nada▪

 

       Je suis née, il y a vingt ans, vingt-cinq minutes avant ma petite sœur jumelle, Nilane, par une nuit sans lune, peu de temps après le coucher du soleil. Mes parents étaient si heureux d'avoir deux si belles filles, qu'ils firent la fête pendants un mois.
J'ai grandi dans l’opulence, d'une des familles les plus riches de l'île de Lys. Mes parents étaient de très riche commerçant, marchant d'esclaves et de poisons, mais aussi orfèvrerie et d'épices. Mon père faisait partie du conclave qui dirigeait la cité, il a gravi les échelons au fur et à mesure que sa fortune grandissait.

Je vécus un conte de fées avec Nilane, nous étions fusionnelles, l'une finissant les phrases de l'autre. Nous faisions les quatre cent coups ensemble faisant tourner en bourrique, les esclaves qui étaient chargées de nous surveiller. Nilane voulait devenir prêtresse de la déesse de l'amour alors que moi, je rêvais de devenir une herboriste comme mon tonton Jezibelk, qui créait les poisons les plus raffinés de l'île.

Mais une nuit alors que nous avions dix ans, Nilane goutta ce qu'elle avait pris pour des sucreries, mais qui en fait était la dernière création de Jezibelk. Peu de temps après avoir ingéré le poison, Nilane convulsa et sa langue gonfla dans sa bouche puis se fut au tour de sa gorge qui enfla l’étouffant lentement, mais surement. Je me réveillais en sueur et en hurlant, appelant ma sœur. Je sortis de ma chambre en courant pour trouver ma sœur morte dans les bras de mon père, j'explosais en sanglot

Les mois qui suivirent, je restais inconsolable, puis mon oncle qui se sentait coupable vient me voir et me proposa de m’apprendre tous ses secrets pour se faire pardonner, acceptait reprenant lentement goût à la vie au fur et à mesure ou apprenait l'herboristerie et la science des poisons. Les semaines passèrent, et l'hiver arriva. Avec une nouvelle résolution trouvée, j'étais soudainement devenue très active chez moi : le matin, je m'entraînais sans relâche, au bâton ou à l'escrime afin de garder une forme physique convenable, l'après-midi, j'étudiai auprès de mon oncle et le soir, j'aidais ma famille dans les tâches de la maison, en faisant en sorte de toujours apprendre ce qui pouvait m'aider à devenir plus autonome.
À quinze ans, j'étais aussi douée que mon oncle sinon plus, si bien qu'il m'avouât qu'il n'avait plus rien à m’apprendre. J'étais en même temps fière de moi et déçu de ne plus passer de temps avec mon oncle.

L'année d'après je fis la connaissance de Sybille Antaryon qui avait un peu plus de dix ans de plus que moi, elle m'avoua être fiancée à un noble de westeros, qui était charmant en tout point, ce que j'allait découvrir par moi-même quelque années plus tard. Les deux années qui suivirent, je les passais à m'amuser à séduire les hommes, en taverne, bien consciente que mon corps de post adolescente leur faisait envie au plus au point et j'en jouais. J'adorais porter des tenues provocantes. La première relation que j'ai eue était avec une jeune fille de mon âge dans le temple de la déesse de l'amour, elle était prêtresse. Elle m'a dit de me préserver pour le grand amour. Depuis ce jour, j'ai accumulé les amantes, mais aucun homme n'a su acquérir mes faveurs.

Mon univers bascula peu de temps après mes dix-huit ans, lorsque le tigre arriva à Lys pour la conquérir, les espions de mon père l'ayant prévenu quelques jours auparavant, il me fit embarquer sur un de ses navires marchants avec les cales pleines de bijoux, de pierreries et de pièces d'or, quant à moi, j'avais pris deux grosses malles une de vêtements et l'autre avec mon nécessaire d'herboristerie et les matières premières pour réaliser mes poisons et j'embarquais direction Westeros et Accalmie en particulier. Mon père m'avait laissé une lettre pour un de ses amis à Accalmie, du nom de Warne Clarick, il était le chef de la guilde des herboristes.

Le voyage se fit dans le plus grand silence, mon cœur était lourd et l'attrait que j’avais mis, dans les perspectives de ce voyage, c’étaient très vite envolé, comme si elles n’avaient jamais existé. Garde tes larmes, gardes tes larmes ; tu en auras peut-être encore besoin, me disais-je heure après heure.

Lorsque j'arrivais au port d'Accalmie, j'étais perdue, mais accompagnée de ma fidèle Naomi, une esclave, qui m'avait pratiquement élevée et que je ferais passer pour ma servante. Je me rendis au siège de la guilde des herboristes et demandais a rencontrer Warne Clarick, qui me reçut immédiatement. Il me promit de faire ce qu'il pourrait pour m'aider. Je lui fis par de mon projet d'ouvrir une herboristerie, il me répondit qu'il ferait son possible.
Je retournais le voir tous les mois le harcelant pour qu'il m'accorde le droit de travailler en ville et lui donnait des sommes conséquentes à chaque fois, au bout d'un an, il accepta enfin.

J'avais appris la langue de l'Orage, auprès des prostitués que fréquentait parfois, qui me semblait bien rustre comparer à ma langue natale dont je conservais les accents musicaux, fluides et coulant. Il y avait une prostituée avec qui jamais beaucoup passer du temps, elle s'appelait, Silena Warchik et m'avoua avoir été esclave à Lys avant d'avoir été rachetée par le patron du bordel où elle travaillait. Au bout de plusieurs semaines, je lui proposais de racheter sa liberté à son patron et de la prendre comme apprentie. Elle accepta et après d’âpres négociations et contre une forte somme d'argent le tenancier du bordel accepta. C'est ainsi que Silena devint mon apprentie et mon amante. Je ne l’empêchais pas d'aller avec les hommes, mais je voulais être la seule femme dans son lit. Je lui achetais même une petite masure, non loin de mon échoppe et de ma maison pour qu'elle ait son indépendance.

J'ouvrais enfin mon échoppe dans le quartier marchand," la dame de Lys", la nouvelle se rependit vite qu'une belle jeune fille de Lys avait ouvert une herboristerie et les clients affluaient avec des demandes diverses et variées. Pour fêter ça, j'organisais un grand bal dans la salle des festivités. Le banquet, le bal et tout ce qui s’ensuivit fut particulièrement beau et raffiné. On ne me força pas à danser, à tournoyer dans la joie. Alors j’ai dansé, tournoyé et oublié ma famille au loin et je bus un peu plus que de raison.

Ce soir-là alors que je rentrais seule du bal que j'avais organisé, quatre gros porcs avinés et raciste m'avaient suivi depuis la grande salle des festivités. Il en voulait à ma vertu, heureusement Loras Connington passait par là et sauva ma peau et mon cul, rossant les malappris et me raccompagnant jusqu’à chez-moi. Le lendemain matin, il revient me voir pour voir si je m'étais remise de mes émotions, je lui répondis que grâce à lui, j'allais très bien, malgré un mal de tête carabiné. Il m'invita à déjeuner chez lui et c'est là que je retrouvais Sybille.


       

   Savais-tu qu'un jour, il a perdu son alliance et que depuis, c'est le bordel dans la terre du milieu?   Arhem excuses-moi, mais c'est que... C'est mon idole !
BREF !
 


  Car oui, te voilà validé ! La classe hein ! Mais ne te repose pas sur tes lauriers trop vite, aussi confortables soient-ils, car il y reste encore quelques lieux à visiter, et dans lesquels tu dois poster. Nous t'avons fait une petite liste ci-dessous qui n'est pas exhaustive, mais qui t'indique les sujets les plus importants que tu dois aller voir absolument.  

  Les démarches post-Validation  ▪▪
 


  Favoriser son intégration  ▪▪
 


  Connaître en profondeur Torrhen, Sharra et Deria le background du forum  ▪▪