Sujet: Loras Connington, le Griffon écarlate Dim 26 Mar - 12:53
Loras Connington
-34 ▪▪ Naissance de Loras à la Griffonnière, héritier de la Maison Connington. -26 ▪▪ Est envoyé en Essos dans une compagnie de mercenaires afin de parfaire son éducation militaire. -20 ▪▪ Revient à Westeros après avoir fait ses preuves en Essos. -10 ▪▪ Fiançailles prévues avec Sybille Antaryon, fille issue de la noble maison Braavienne. -2 ▪▪ Mort de son père durant la bataille de la Porte Sanglante où il combat également en qualité de porte-étendard du Roi, il devient Lord de la Maison Connington. 0, mois 3 ▪▪ Première bataille de l'Orage face au Sautoir, Loras commence dès lors sa campagne de la Nera. 0, mois 6 ▪▪ Loras reste avec le gros de l'armée Orageoise alors que son Roi part aider le royaume. Il devient dès lors le Commandant de l'Ost de l'Orage avec charge de réorganiser l'armée afin de secourir le royaume. 0, mois 6 ▪▪ Loras revient en Orage avec l'Ost, il y découvre le charnier du Boucher. Il sera 2 mois plus tard à la bataille de Tinivel. 0, mois 10 ▪▪ Après la bataille de Tinivel, Loras retourne à la Griffonnière ou il va devoir accueillir sa fiancée après des années.
Lignée ▪▪ Ollister Connington, père, mort en -2 sur le champ d’honneur [-55/-2]|| Kera Connington (Née Cafferen), Morte en 0. [-40/0]
▪▪ 30 ans ▪▪ ▪▪ Le Griffon Rouge ▪▪ ▪▪ Griffonnière ▪▪ ▪▪ Griffonnière ▪▪ ▪▪ Lord de la Maison Connington, fief des Terres de l'Orage. ▪▪ ▪▪ Connington ▪▪ ▪▪ Nom de la famille maritale ▪▪ ▪▪ Lord de la Griffonnière, Vassal de la Couronne de l'Orage ▪▪ ▪▪ Fiancé▪▪ ▪▪ Je suis fidèle à mon souverain ▪▪ ▪▪ Je suis pour la guerre ▪▪ ▪▪
N°1 ▪▪ Que pensez-vous de la situation tendue entre les différents royaumes de Westeros? Vous sentez-vous concerné?
Comment ne pas être concerné ? Je suis Lord d’une Maison, acteur de ce spectacle macabre. La situation est critique et chaotique, la guerre est nourricière de ce genre de chose et hélas je ne pense pas que nous puissions balayer cette dernière car après tout l’Orage a subi l'infamie de ses voisins. Depuis le début, l’Orage est acteur de la guerre, mais aujourd’hui nous devons faire face à de plus en plus d'ennemi. Honnêtement, je ne pense pas que nous puissions nous retirer, il est désormais clair qu’il faut en finir et pas seulement avec le Sautoir mais aussi le Bief. Nos alliés ? J’ai du mal avec eux, comment être allié aux dorniens ? Oh ils ont été des sauveurs et le nier serait ridicule, mais tout de même… Que se passera-t-il une fois la guerre finie ? Serons-nous toujours de bons voisins ou alors les querelles reviendront-elles ? Pareil pour le Nord et la Dragonne… Se retrouver dans cet empire ne me plaît guère, devrons nous guerroyer contre les Valois ? Les Lions de l’Ouest ? J’ai l’impression que cette guerre ne va pas se terminer de sitôt et qu’un ennemi vaincu révélera un nouvel adversaire.
N°2 ▪▪ Êtes-vous loyal à votre Royaume, à la famille régnante, ou seriez-vous plus... Electron libre?
Ma loyauté va à la Couronne et à ma famille. Les Connington ont toujours été loyaux aux Durrandon et cela ne se terminera pas avec moi quand bien même je dois ployer genoux devant une femme, femme aussi forte qu’un homme et qui a réussi à sauver le royaume. Et pourtant, je n’arrive pas à être totalement dévoué à ma reine. Je n’approuve pas l’alliance avec Dorne même si je sais que c’était pour la sauvegarde de l’Orage, de même que ce…. Mariage. Je crois que ma fibre Orageoise est trop ancrée dans le passé douloureux qu’ont nos deux royaumes. Mais je reste tout de même fidèle, car la crise doit être surmontée et je ne peux laisser mon épée au rebut. Alors quoi qu’il arrive, je serais sous son étendard, mais je suis fort curieux de voir ce qui se passera une fois la guerre terminée.
N°3 ▪▪ Si jamais la guerre venait à toucher votre région, quelle serait votre réaction?
La guerre a touché mon royaume, d’une façon tellement bête… Tout cela à cause de notre roi belliqueux qui rêvait sûrement d’écraser notre ennemi, mais voilà, l’enlisement nous a été fatal. Oh je ne blâme pas Argilac, nous étions tous comme des chiens fous à vouloir guerroyer alors dans un sens, nous en sommes aussi responsables. Je me rappelle encore du feu qui m’habitait lorsque j’ai appris la terrible nouvelle, de ma frustration de ne pas partir avec Argilac… De l’horreur d’avoir découvert le charnier. Par les Sept que j’ai été impétueux par la suite, à toujours chercher à laver l’honneur de l’Orage par la suite. Aujourd’hui, notre royaume est à genoux, mais il ne rompt pas. J’ai à cœur d’être en première ligne afin de montrer à tous que non, l’Orage n’est pas encore une ombre blafarde, qu’il va redevenir une puissance sur laquelle il faut compter.
N°4 ▪▪ Vous avez sûrement entendu parler de l'embuscade tendue par Harren le Noir à Aegon Targaryen, que pensez-vous d'un tel acte?
Il n’y avait pas d’honneur à faire ce que Harren a fait. Mais il n’est pas un orageux et ainsi je ne suis guère surpris de sa duplicité. Après, le Targaryen fut idiot d’y aller, étranger qu’il était, il ne savait pas que le Sautoir était réputé fourbe. En fait, j’éprouve une irrésistible envie de laver l’honneur des Targaryens. C’est peut-être idiot mais c’est ainsi, jamais je n’oserais frapper un chevalier à terre ou le frapper dans le dos. Mais en faisant ainsi, Harren a montré qu’il était dangereux et qu’il devait être combattu… Mais d’un autre côté, pourquoi diable aidons-nous des étrangers ?
Entre vous et nous.
▪▪ Lunatique ▪▪29 ans ▪▪ 15 ▪▪ Déjà venu traîner mes sabots ▪▪ Ben je vous aime ! ▪▪ Le Loup Barbu mangeur d'enfants mais bon... ▪▪ Je suis de Retour ! ▪▪
Sujet: Re: Loras Connington, le Griffon écarlate Dim 26 Mar - 12:54
Savoir des mestres
Sous le soleil d’Essos C’était sa dernière campagne ici, à 17 ans, Loras avait déjà connu les combats sous l’égide du Cerf Tonnerre, une compagnie de mercenaire d’Essos basée à Braavos connue pour abriter des oragiens en quête d’aventures, restés sur ce continent pour la gloire et l’argent. Cela faisait maintenant 5 ans qu’il était là et même s’il était heureux de rentrer, quelque chose en lui regrettait de ne pas rester car il avait vécu des années de franche camaraderie. Le jeune homme regarda le bourdon strié partir lentement pour une destination qu’il ne connaissait pas mais après tout peu importait pour lui, il se déplaça alors lentement derrière la pierre imposante faisant crisser ses bottes sur des petits cailloux, il grimaça légèrement alors qu’autour de lui plusieurs mouvements indiquait que d’autres personnes se mouvaient entre les ruines de l’ancienne tour, un bruit de cliquetis laissait entendre que les hommes portaient des armures, Au milieu du petit groupe d’une dizaine d’homme en arme, l’un d’eux portait un casque avec une crête, signe distinctif des Cerfs Tonnerres. Ce dernier passait entre les hommes, la main portée sur le pommeau de son épée avançant à pas lent afin de ne pas faire trop de bruit à cause du balteus qui pendait par-dessus son ceinturon. Il devait avouer que ce retrouver parmis la piétaille le rendait… Et bien étrangement humble. Il était un chevalier, toutes les fibres de son corps lui disait qu’il serait plus à l’aise sur son destrier mais hélas, la campagne avait été horrible, son cheval avait été tué par une bande de prédateurs en maraude et qui avaient semés le chaos dans le parc des chevaux ce qui l’avait privé lui et ses compagnons de montures. Il se souvient d’ailleurs du rire du commandant lorsqu’il avait vu le visage ulcéré de Loras réclamant un cheval et qu’il lui avait rétorqué qu’il fallait attendre leur retour dans une cité… Et donc qu’il deviendrait simple piéton le reste du temps. Lorsqu’il arriva à côté de l’un de ses hommes il s’accroupit, la journée commençait à peine qu’ils allaient devoir passer à l’action. Il retira son casque avant de souffler doucement.“Alors tu en penses quoi ?”
“Difficile à dire de cette distance mais je dirais que ce sont bel et bien des foutus hommes de la Chèvre Rouge…Mais je ne pensais pas qu’ils s’enfonceraient si loin dans la vallée.” Il avait dit cela d’une façon clinique comme un Mestre énonçant un fait éprouvé par le temps. C’était bien là le problème, la petite patrouille était tombé sur une bande de mercenaire à la lisière de la forêt clairsemée.“Oui tu as remarqué aussi.” L’ironie se sentait dans ses paroles. “Pourquoi ils viendraient si loin ?” Loras secoua la tête, décidément c’était vraiment trop étrange et c’était pourquoi lui et son groupe observait depuis maintenant plusieurs minutes les hommes en contre bas. Il tourna de nouveau la tête vers son camarade et commença alors à réfléchir un plan dans sa tête, la colline où ils étaient n’était pas bien loin de l’orée de la forêt et une attaque surprendrait les chèvres mais il y avait un hic, c’était qu’ils ne savaient pas combien il y en avait, peut être que certains étaient postés plus profondément dans la forêt, auquel cas le petite patrouille pourrait très vite être débordés.
Il n’eut cependant pas le loisir de mettre en place une stratégie, le bruit d’une cavalcade furieuse se porta à ses oreilles, un juron de son frère d’armes lui fit comprendre qu’il n’allait pas aimer ce qu’il allait voir en se redressant. A la lisière de la forêt, sur sa droite, une ligne de cavaliers se ruait sur leurs ennemis sans une once de discrétion, ceux-ci hurlèrent des ordres qui se répercutèrent jusque dans la forêt, indiquant au jeune Connington ce qu’il craignait, il y en avait d’autres sous la frondaison des arbres. N’attendant pas une minute de plus, il sortit son épée de son fourreau, bientôt imité par ses camarades qui se levèrent comme un seul homme, déjà, les cavaliers chargèrent sans autre forme de procès, percutant les mercenaires ennemis qui avaient commencés à former une ligne de défense afin de les empêcher d’aller plus loin. Dévalant la colline la patrouille ne s’occupa pas une seule seconde de leurs camarades à cheval, ils semblaient maîtriser la situation, les cavaliers avaient l’avantage et avaient encerclés l’ennemis afin de leur couper toute retraite vers les bois. Lorsque Loras arriva à la lisière des bois, un cri sur sa droite le fit se tourner vers la menace, une chèvre rouge lui fonçait dessus, munis d’une hache de forestier, le jeune garçon se décala sur la droite au dernier moment, son adversaire emporté par son élan le dépassa avant de sentir la morsure de l’épée qui plongea la lame au niveau de l’aine de son ennemi. Très vite, les bruits de la forêt furent masqués par les combats, ses hommes rencontraient une résistance acharnée mais cependant vaine, un autre ennemi fit face à Connington, son regard déterminé ne laissait pas de doute quand à l’issue du combat, serrant les lamelles de cuir de la garde de son arme, Loras attendit, patient, l’homme en face de lui fit de même, cherchant une faille dans la garde de l’Oragie mais avant qu’il ne puisse en trouver une, un sifflement claqua près des oreilles de ce dernier et une fraction de seconde plus tard, un javelot transperça son adversaire qui à son regard, semblait surpris de la soudaineté de sa mort. Loras avança sur lui et le dépassa sans même lui accorder un regard alors que ce dernier tomba à genoux et resta ainsi, aidé par le javelot, mort. Au fur et à mesure de son avancé, les combats se terminaient, bientôt rejoint par ses hommes ils débouchèrent sur une petite clairière et ils découvrirent un spectacle étrange. A quelques mètres d’eux, un tumulus trônait, orné de lichen et de pierres érodées par le temps, en son centre on pouvait voir un vide d’un noir absolu, une entrée menant au plus profond des entrailles du tumulus, des chevaux énervés par les bruits des combats renâclaient le sol et lorsqu’ils virent les Cerfs Tonnerres émerger, ils poussèrent des hennissements. C’est alors qu’émergèrent du tumulus deux hommes en armures lourdes, le bronze étincelant sous la lumière du jour, ils portaient des boucliers ronds qui couvraient parfaitement leurs corps ainsi que des lances aux pointes effilés. “Déposez vos armes chiens ! »
Pour toute réponse, les deux ennemis se mirent en position de défense alors qu’émergeait derrière eux un homme à la tignasse d’un noir corbeau et habillé d’un plastron en cuir bouillit. Il portait de façon quasi charnelle une amphore qui, de ce que pouvait voir Loras, semblait très ancienne et richement décorée. Quelque chose fit tiquer le jeune homme en la voyant, elle semblait être très précieuse pour eux. Autour de lui, ses hommes se déployèrent, leurs boucliers en avant et adoptèrent une formation en éventail afin d’encercler l’ennemi mais à la seconde où ils commencèrent à bouger, l’homme aux cheveux noir comprit ce qu’ils allaient faire et il courut vers les chevaux et avec une rapidité sidérante, il enfourcha l’une des bêtes et la fit volter. Loras tendit une main et héla un de ses hommes qui lui tendit sans hésiter son javelot. L’arme était lourde, il la fit sauter légèrement dans sa main pour la rééquilibrer, le reste se passa au ralentit, il n’y avait plus que son souffle qui l’omnibulait, concentré, il visa le cavalier qui commençait déjà à étrier son destrier. Il se devait de réagir maintenant, son bras se tendit en arrière, son glaive tomba à terre et enfin il lança le javelot droit sur sa cible, elle siffla dans l’air et elle frappa avec violence l’écorce d’un arbre qui explosa au contact. Loras jura en voyant la chèvre rouge partir au triple galops, il l’avait manqué, de peu mais le mal était fait, il ne l’avait pas eu. Alors qu’il reprit contact avec ce qui l’entourait, il vit les deux hommes lourdements armés se faire étriper par la patrouille, tel des chiens autour d’un os, ils avaient submergés les deux hommes, l’un avait un javelot planté dans le dos, l’autre avait subit de multiple coups. Au moins, ce fut rapide et il n’avait pa besoin de s’occuper de ces hommes. Il soupira lourdement. Pourquoi le chèvres rouges avaient osées s’avancer autant ? En regardant le tumulus, le jeune garçon compris qu’il devait s’agir d’un tumulus de l’époque Valeryenne, peut être cherchaient t’ils un quelconque trésor ? Bha grand bien leur fasse. Ils avaient sûrement été sans solde et saccager était une autre façon se payer pour un mercenaire. Au moins, le Commandant serait satisfait d’eux, garder cette passe était un objectif du litige entre leur employeur et son rival. Autour de lui, les hommes se mirent à rire et à fouiller les cadavres alors que les cavaliers, sûrement ceux de Ser Terance, semblaient rejoindre maintenant sa patrouille. Il eut un sourire, Terance allait se mettre à lancer des bravades face aux piétons qu’ils étaient, comme un frère se moquant du petit dernier, une famille, voilà ce qu’ils étaient et Loras allait amèrement les regretter.
Pluie & mort La pluie tombait lourdement, laissant un rideau aqueux envahir le champ de vision de Loras mais il voyait parfaitement ceux qui l’entourait. Ils étaient quatre, celui en face de lui le tenait en joue de son arc alors que le Lord lui avait sa main posée sur la garde de son épée, cela faisait maintenant plusieurs secondes qu’ils se tenaient tous là, sans rien dire, la pluie tambourinant sur l’armure du Connington, laissant comme une mélodie de fer et d’eau envelopper ses sens. “Je ne veux pas de problème, partez…” L’homme en face de lui ria doucement, visiblement il semblait être le chef de la petite bande. “Partir ? Je crois que tu n’as pas compris l’ami, tu vas nous donner le canasson et tout ce qu’il transporte… Nous sommes gentils, nous te laissons avec ton armure… Il serait discourtois de te laisser à poil dans le froid Ser !” Les autres hommes se mirent à rire alors que Loras remarqua quelque chose. “Soit…” Le reste fut très rapide, Lord Connington fit un pas en avant et se baissa alors subitement alors que son adversaire décocha sa flèche qui siffla à l’oreille de l’oragien avant de se ficher dans l’épaule de l’homme qui était derrière lui mais cela ne comptait plus pour le chevalier qui dégaina son épée et dans le même mouvement trancha de bas en haut l’archer en face de lui, pas assez pour le tuer, la lame ne s’enfonçant pas totalement dans les chairs, cela aurait été une erreur de débutant, ce genre de coup pouvant bloquer la lame dans le corps de son ennemi. Non au lieu de ça la lame laissa une large traînée écarlate dans l’homme qui hurla de douleur avant de s’effondrer. Les deux autres adversaires sur ses côtés se mirent à le charger et Loras tourna sur lui même, décrivant un large cercle autour de lui, attaque vulgaire mais face à des bleus, cela suffisait largement, emporté dans son élan, l’un se fit éventrer le ventre et l’autre tenta une parade maladroite qui fit voler son arme laissant à Loras le temps de se reprendre, lui faisant face et il abattit sa lame de bas sur le crâne de sa victime et la coupa en deux dans un bruit horrible ne lui laissant pas le temps de crier. Il fit alors le point et remarqua alors l’homme avec la flèche plantée dans l’épaule partir en courant, dérapant sur le sol détrempé. Avec calme, l’oragien planta son épée dans le sol et alla prendre l’arc sur le sol et prit une flèche, il banda alors l’arc et visa l’homme et il fit mouche mais jura en voyant son ennemi tomber à terre en hurlant de douleur. Il se tourna alors vers le chef et se baissa pour récupérer une autre flèche, la pluie lavait la plaie ouverte que la lame du chevalier avait laissée et elle n’était pas belle, l’homme avait apposé ses mains dessus, espérant peut être arrêter le sang qui s’échappait encore et encore. Le Connington se rapprocha un peu plus et banda et tira, le bruit de la flèche claqua et s’enfonça dans la tête de l’homme sans rien de plus… C’était ainsi, parfois il n’y avait pas de mots, juste une mort rapide. Loras jeta l’arc et retourna prendre son épée et se dirigea alors lentement vers l’homme qui se traînait dans la boue, une flèche dans l’épaule et l’autre en travers de sa cuisse. Lorsqu’il vit le chevalier approcher, il s’arrêta et le regarda, le souffle court. “J’avais bien vu alors… merde… T’étais pas un simple gars qui s’échappe des combats ?” Loras hocha la tête. “Bordel j’avais bien remarqué ton foutu blason Connington mais j’ai cru que j’avais mal vu… En tout cas… bien visé...Hnn..” Le Griffon secoua la tête. “Je voulais viser la tête, j’ai toujours été un piètre archer.” L’homme à terre le regarda un instant avant d’éclater de rire et il se traîna un peut plus avant d’abandonner. “... Foutue guerre… J’aurais préféré retourner à mes champs, putain d’Harren, il préfère nous envoyer à la mort, et ton roi Ser ? Enfin… Allez y.. Tuez moi…”
Loras le regarda, repensant à cette guerre. Oui elle était horrible, la Néra embrasée par le chaos de la guerre, des morts par centaine, voir pire, il avait l’impression d’être de retour en Essos. Combien de fois il avait espéré que cette campagne lui fasse oublier cette mort qui marchait dans son ombre, qu’une mort fulgurante pourrait lui faire quitter cette terre vide de sens ? Une maladie même ! Mais non, il avait vécu et aujourd’hui le mort flirtait encore avec lui et il redevenait la bête, le pion qui guerroyait à ses côtés. Aujourd’hui, il était de retour dans l’armée de Durrandon, et il savait que ses pas le menait vers d’autres batailles. Il baissa son regard sur l’homme blessé et rengaina son épée. “Non… Il y a un village à l’est d’ici, si tu survis jusque là bas, tu vivras j’imagine mais j’ai tué trop d’hommes aujourd’hui.” Et il le laissa ainsi, mourir ou vivre ? Peut lui importait finalement. Il retourna à sa monture, il était fatigué et rêvait d’un bon bain chaud. Argilac avait été clair, il devait, lui et ses hommes patrouiller et traquer les survivants de son éclatante victoire qu’il disait. Loras savait qu’une fois de retour au campement, le Durrandon allait très certainement lui confier une nouvelle mission mais peut être que celle-ci le rapprocherait de l’Orage ? Il fallait bien lever de nouvelles armées pour engorger encore un peu plus de sang la Néra.
Pluie et charnier La pluie tombait, tel un voile léger essayant de cacher un spectacle macabre. Loras, juché sur son destrier regardait les morts, marionnettes putrides plantés de façon obscène sur ce qui avait été quelques jours avant un champ de bataille. Il n’en revenait pas, comment pouvait-on massacrer des soldats ainsi ? Le Sautoir n’avait-il aucun honneur ? Non, c’était une question idiote. Il ôta son heaume, laissant la pluie rafraîchir son visage. Une estafette arriva à son niveau, le visage dur. “Monseigneur, nous n’avons trouvé aucun survivant, pas même l’ombre d’un de ses fils de chienne.” Loras hocha la tête, comme absent, mais l’homme à ses côtés ne semblait pas lui en tenir rigueur. Le Griffon se redressa sur sa monture et d’un mouvement de tête, fit signe à son écuyer de venir le rejoindre puis se tourna vers l'estafette. “Dites à Ser Olric de faire s’arrêter la colonne avant les collines, d’établir un camp de fortune. Ensuite qu’il vienne avec les hommes pour rendre les honneurs à nos hommes. ”L’homme ne dit rien et retourna vers le reste de l’armée. Loras démonta et laissa son écuyer récupérer son destrier à qui il flatta l’encolure et il se dirigea d’un pas lourd vers le charnier où ses hommes détachaient les oragiens des poteaux. Boucher, voilà ce qui lui venait à l’esprit, il n’y avait qu’un boucher pour faire ainsi. Il savait qu’il devrait foncer vers Accalmie, mais il ne pouvait laisser pourrir les cadavres de ses compatriotes, c’était impossible et ses hommes ne comprendraient pas. Il se dirigea vers un groupe d’hommes, sans un mot, ils commencèrent leur office mortuaire, il n’y avait pas besoin de mots. Tout en faisant son office, il espérait de façon mesquine que ses terres ne soient pas accablées par leur ennemi. Il aurait dû être honteux de ce genre de sentiments, mais il s’en fichait en réalité, il ne devait pas être le seul à vouloir retourner chez lui. Mais il savait aussi qu’un autre sentiment était présent, celui de la vengeance et c’était la raison pour laquelle il allait faire venir tout le monde ici, afin que cette colère soit si puissante qu’elle se transforme à un raz-de-marée pour qu’elle submerge les ennemis de l’Orage. Oh oui, ils allaient traquer ce boucher et ils allaient lui faire perdre sa hargne...
Sous le signe du Griffon Il regardait la Baie des Naufrageurs avec une certaine mélancolie, les vagues s’écrasant contre les récifs qui donnaient à la baie sa sinistre réputation. Buvant le reste du liquide carmin de son verre, Loras se détourna du spectacle pour retourner dans son cabinet particulier, anciennement celui de son père, tombé il y a maintenant deux années de ça. Des souvenirs de son père, il ne restait presque rien, sauf le lourd bureau, encombré de cartes et autres missives. La pièce ressemblait plus à une salle des trophées que Loras avait acquis durant sa vie. Ici, un arakh Dothraki, rappel de ses années passées en Essos. Il passa un doigt sur le tranchant de l’arme et frissonna lorsqu’il sentit le mordant de l’arme. Lorsqu’il fut en âge d’être écuyer, son père l’avait envoyé dans une compagnie de mercenaires de l’autre côté du Détroit. Cela permettait de forger le caractère, de comprendre l’art de la guerre, de devenir un homme. Loras eut un léger sourire en y repensant, son père n’avait jamais été un père aimant, il avait été plutôt dur avec lui, un véritable Oragien en somme, mais de cette aventure en Essos, il n’avait vu que le sang, la sueur et la peur. Là-bas, pas de tactique, affronter des Dothraki c’était un combat brutal, même face aux autres mercenaires, il n’y avait pas de réelle tactique. Mais il ne pouvait en vouloir à son père, en réalité en revenant de là-bas, il n’était plus le petit garçon, juste un homme prêt à la guerre. Se déplaçant dans la pièce, il regarda la large carte de Westeros et resta à la contempler. Il avait parfois l’impression d’être un étranger ici, comme s’il avait laissé une partie de lui en Essos. Son retour avait été triomphant, fringuant jeune homme. Sa mère avait été si heureuse de le revoir, son père lui était resté de marbre, lui demandant juste s’il avait trouvé ce qu’il cherchait. Il n’avait pas trouvé les mots, juste un hochement de tête ce qui avait suffi à son Lord de père.
Malgré tout, malgré ce père distant, il avait eu une enfance heureuse, après tout pourquoi se plaindre alors que vous étiez né dans une puissante maison de l’Orage ? Oh il avait eu de nombreux coups de trique de la part du Mestre, il avait aussi mordu souvent la poussière de la cour du château face au maître d’armes et également des coups de ceinturons de son père lorsqu’il semblait s’endormir durant les conseils et les doléances. Mais cela avait fait de lui un futur Lord et il n’avait pas de rancœur vis-à-vis de cette éducation. Il s’installa sur le rebord du bureau et soupira légèrement tout en posant son verre. Aujourd’hui, il était Lord. Son père avait été tué durant la guerre entre l’Orage et le Val par ce fourbe de Harren le Noir, cette fouine qui avait profité de ce conflit pour agrandir son territoire. Ce fut ivre de vengeance qu’il prit la place de son père, il avait été préparé toute sa vie pour ça, mais il tomba très vite dans la désillusion, toutes les contraintes vis-à-vis de la Couronne, la politique plus acerbe qu’il n’y avait crû. Heureusement, il y avait sa femme qui était à ses côtés pour l’épauler. Mais aujourd’hui, elle n’était pas là, Accalmie était sa seconde demeure et il ne pouvait lui en vouloir, il avait été absent tellement de temps, suivant son Roi…. Enfin, c’était avant.
La guerre, voilà qui était sa maîtresse en ce moment. Il avait été dans l’Ost Orageuse qui était allée affronter Harren et ceux pour le plus grand plaisir de Loras qui brûlait d’en découdre et de venger son père, pour l’honneur des Connington. Il avait répondu dans les premiers à l’appel de son Roi. La première bataille, celle des Trois Collines avait été une victoire superbe malgré les pertes et déjà, Loras avait commencé à douter, se maudissant. Il aimait son Roi, mais il avait cette désagréable impression que Durrandon allait les mener dans une guerre d’usure qui serait néfaste à l’Orage. Il se souvenait parfaitement de la Néra, la pluie qui coulait dans les armures, donnant cette désagréable impression de nager plutôt que de marcher, les escarmouches, l’attente. Mais le pire avait été la nouvelle de cette armée riveraine audacieuse qui marchait sur l’Orage sans résistance. Il avait brûlé d’aller défendre son pays, mais Argilac l’avait laissé là, avec l’honneur de commander l’Ost de l’Orage mais c’était un autre sentiment qui l’avait gagné… L’amertume. Il avait trépigné de voir l’armée se remettre en ordre de marche, mais il y avait des impératifs et alors que son Roi allait combattre, lui devait tout réorganiser. Il avait alors soutenu une correspondance importante avec Alerie, lui promettant de revenir le plus vite possible. Lorsqu’il put enfin redescendre, il était trop tard, il savait ce qui s’était passé, il avait reçu des messages de ses éclaireurs, des estafettes rompues de fatigue. Le Roi, Argilac Durrandon était mort, l’Orage était dévasté et tout semblait sombrer dans le chaos. Mais le pire fut la découverte du charnier que le Boucher avait laissé derrière lui, ce monstre avait bafoué son propre honneur. Mais même dans la pire des situations, il y avait l’espoir, et ce dernier pour les Oragiens avait un nom, Argella Durrandon, la nouvelle Reine de l’Orage, le tonnerre incarné, la foudre implacable.
Un sourire s’afficha sur le visage de Loras Connington, oui, le royaume était encore en sang et ravagé et pourtant, il y avait cette Reine. Oh, il avait du mal à accepter l’aide des Dorniens, mais il avait l’impression d’être le seul à s’en soucier, mais après tout n’était-ce pas normal ? L’Orage était affaibli, son armée n’était plus qu’un écho des gloires passées. Harren avait cristallisé la haine dans les cœurs et les anciens ennemis étaient désormais alliés. Mais ce qui rongeait le plus Loras c’était cette disgrâce qu’il avait subie, de commandant de l’Ost Royal sous Argilac, le voilà juste suiveur de Beric Swann. Non pas qu’il ne doutait de l’homme, c’était un guerrier et un meneur de grand talent et le voir commandant de l’Ost Royale n’était pas dénué de sens, mais, Loras avait l’impression d’avoir été dépouillé. Il secoua la tête et se sermonna, il devait chasser ce genre de pensée.
“Tellement de choses à faire dans ce chaos permanent.”
Sa voix résonna dans la pièce, seul, il chercha de nouveau la carafe de vin et se versa un verre. Que faire maintenant ? La Griffonnière n’avait pas souffert de la déprédation des pillards, mais lorsqu’il lisait les effectifs qu’il lui restait, il se disait que ce n‘était pas non plus l’idéal. Il devait tout revoir, mettre à plat, mais aussi, profiter de la situation. Oh il n’était pas une foudre de la politique, loin de là, mais il avait tout de même appris de son père. Les intérêts de la maison devaient prévaloir sur le reste et ceux même sur la Couronne. Il avait toujours été choqué des mots de son père, mais aujourd’hui, il comprenait. Un roi est un roi, un homme qui pouvait faire des erreurs et placer toute son espérance sur un roi était une folie. Non, la famille, sa Maison, voilà ce qui était important. Il but une gorgée et continua de regarder la carte, s’étendre, prospérer, devenir quelqu’un. Oui, il avait l’ambition, mais il devait faire attention et bien placer ses pions pour éviter les désillusions.
Mais il était bien décidé à réaliser ses objectifs, mais pour ce faire, il allait devoir retourner à Accalmie et faire des Connington une famille sur laquelle on devait compter. Cela prendrait peut-être du temps ou pas, car après tout la guerre est mère d’opportunités.
Sujet: Re: Loras Connington, le Griffon écarlate Dim 26 Mar - 14:48
Re-bienvenue officiellement sur le forum ^^
Fire, Blood & Winter | House Braenaryon Let it be War
I never wanted this. I never wanted to unleash my legions. Westeros have only one chance to prosper and if you not seize it, then I will. So let it be war ! From the skies above the Wall to the dornish sands. Let the seas boil. Let the stars burn. Even if it takes the last drop of my blood, I will see the kingdoms freed once more. And if i cannot save it from the felony and the dishonor, then let Westeros burns.
Spoiler:
Torrhen Braenaryon
Fire, Blood and Winter.
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Sujet: Re: Loras Connington, le Griffon écarlate Dim 26 Mar - 18:30
Bienvenue Officiellement Lord Connington, si vous avez plus Shampoing, les Fer-nés serons ravie de vous donner quelques astuce capillaire ^^
Invité
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Sujet: Re: Loras Connington, le Griffon écarlate Dim 26 Mar - 18:48
Ah!!! Bienvenue à toi l'ami et bonne chance pour ta fiche!! N'écoute pas les fer-nés, ce sont de gros jaloux ! XD
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Sujet: Re: Loras Connington, le Griffon écarlate Dim 26 Mar - 19:35
ou pas ! *sort*
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Sujet: Re: Loras Connington, le Griffon écarlate Dim 26 Mar - 19:48
Merci merci et puis oui, j'ai des beaux cheveux et j'en suis fier ! /pan
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Sujet: Re: Loras Connington, le Griffon écarlate Dim 26 Mar - 22:31
Re-Bienvenue Lolo !
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Sujet: Re: Loras Connington, le Griffon écarlate Ven 31 Mar - 9:48
- Je mange pas les enfants ! - Ok pour la compagnie de mercos, de base c'est difficile avec l'univers car on ne faisait jamais ça pour "apprendre" la guerre mais plutôt pour la "continuer", au moyen-âge. Toutefois les liens de l'Orage avec Essos me semblent le justifier. Par contre, aucune chance qu'un noble ouestrien n'accepte de se battre à pied à la lance et avec une armure de bronze; il reste noble avant tout et ne peut pas se conduire de façon déshonorante, comme la piétaille. Il irait avec ses propres effets et à tout le moins, se battrait plutôt à cheval. Aucune chance autrement que son renom ne lui vaille ses éperons à Westeros. Au moyen-âge, les nobles mercenaires se battaient comme des chevaliers classiques. Vu le climat à Essos on peut tabler sur plus léger, mais le principe reste forcément le même, surtout si le but c'est d'être accepté au pays lors du retour.
Autrement, ça me semble tout bon !
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I never wanted this. I never wanted to unleash my legions. Westeros have only one chance to prosper and if you not seize it, then I will. So let it be war ! From the skies above the Wall to the dornish sands. Let the seas boil. Let the stars burn. Even if it takes the last drop of my blood, I will see the kingdoms freed once more. And if i cannot save it from the felony and the dishonor, then let Westeros burns.
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Torrhen Braenaryon
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Sujet: Re: Loras Connington, le Griffon écarlate Ven 31 Mar - 9:57
Ok, hmm je m'en doutais mais bon xD je vais réécrire tout ça ce soir.
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Sujet: Re: Loras Connington, le Griffon écarlate Ven 31 Mar - 10:03
Pas besoin de tout réécrire hein je précise, y'a juste le paragraphe sur le mercenariat que tu dois adapter, et tout n'est pas à refaire dedans ^^
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Sujet: Re: Loras Connington, le Griffon écarlate Ven 31 Mar - 10:13
Oui t'inquiète... hmm si je dis qu'ils ont perdus leurs canassons durant la campagne, c'est bon ou tu préfères quand même qu'il chevauche tel un beau diable ?
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Sujet: Re: Loras Connington, le Griffon écarlate Ven 31 Mar - 10:21
Ah ce que je disais c'était plutôt pour l'esprit; bien sûr qu'il a pu s'essayer à la guerre à pied ou à la "petite guerre", simplement il ne pouvait combattre en "hoplite"; tant au niveau de l'équipement que de la doctrine ça tranche avec la chevalerie ^^
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Sujet: Re: Loras Connington, le Griffon écarlate Ven 31 Mar - 10:26
Ok bon je modifie ça en rentrant.
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Sujet: Re: Loras Connington, le Griffon écarlate Ven 31 Mar - 10:29
Dac tu me diras :p
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Sujet: Re: Loras Connington, le Griffon écarlate Ven 31 Mar - 14:26
Rebienvenue parmi nous !
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Sujet: Re: Loras Connington, le Griffon écarlate Sam 1 Avr - 14:04
Pour ta tendre je reviens vers toi au plus vite :p
Félicitation tu es validé(e) !
Savais-tu qu'un jour, il a perdu son alliance et que depuis, c'est le bordel dans la terre du milieu? Arhem excuses-moi, mais c'est que... C'est mon idole ! BREF !
Toutes nos félicitations !
Car oui, te voilà validé ! La classe hein ! Mais ne te repose pas sur tes lauriers trop vite, aussi confortables soient-ils, car il y reste encore quelques lieux à visiter, et dans lesquels tu dois poster. Nous t'avons fait une petite liste ci-dessous qui n'est pas exhaustive, mais qui t'indique les sujets les plus importants que tu dois aller voir absolument.