Plus les choses changent, plus elles restent les mêmes. Le climat de tension et la guerre n'ont pas été inventé dans la dernière année. Les Hoare n'ont pas pris le contrôle du Conflans par magie et le Royaume de l'Ouest n'a pas été sous assaut du Bief jusqu'au siège de la demeure même de la maison Royale par simple malentendu. Non, non, non. Westeros a toujours été ainsi, c'était ainsi avant que nous arrivions et ce sera ainsi lorsque nous saurons parti.. C'est la nature humaine. Mon royaume a été victime de l'avidité d'un Roi voisin, le Roi de l'Orage. Nous avons saignés, mais nous avons tenus. Le prix de la victoire qui avait un goût de défaite fut notamment la vie de milliers d'hommes et de notre Roi. Paix à son âme. Alors, est-ce que je me sens concerné? Oui, mais seulement parce que je veux éviter que le Val prenne part à ces guerres sanglantes et insensées. Nous avons assez perdu, notre Roi est mort, nos forces ont été décimés et nous reprenons petit à petit notre vie normale et notre prospérité. Le temps est mûr pour la neutralité, la paix durable et le développement de notre économie. Rien n'est plus important. C'est pour cette raison que ma femme et moi-même avons usé de toute notre considérable influence et persuasion ainsi que notre poids politique pour que le Val ne supporte pas les prétentions de la Targaryen quitte à ce que l'alliance avec le Nord soit remise en question par la maison Stark. Comprenez-moi bien, je n'ai aucune opinion sur ce couple royal, je les respecte pour leurs qualités de dirigeants même si je ne partage pas leur vision pour l'avenir de Westeros. Cependant, je ne peux pas laisser le Val se faire inclure dans des conflits qui ne les concerne pas par leur faute. Ma Reine souhaite le support du Nord en cas d'attaque, c'est compréhensible, mais je pense que si nous sommes attaqués ce sera justement parce que nous sommes trop proches de la Targaryen. Le Roi du Sel et du Roc a les mains pleines tout comme ces ennemis et l'Orage survie de peine et misère. Le Val est tout ce qui importe, au diable la guerre et tous ceux concernés.

J'ai une bonne relation avec les Arryn et ils ont donc mon allégeance. Je suis un homme ambitieux, mais pas stupide. J'ai une position de choix auprès de la famille régnante et je ne vois aucune raison de mettre mon avenir en jeu pour avoir une couronne sur ma tête ou celle d'un ami. Ça n'apporte que des problèmes. Si l'occasion se présentait sans devoir brisé la paix au Val ou remettre en question mon allégeance alors je la prendrais évidemment. Autrement, je préfère garder les Arryn en place et les servir au mieux de mes capacités. La prospérité des Arryn amène la prospérité du Val et donc la mienne. Parfois il faut connaître sa place et l'utiliser au mieux pour atteindre des sommets qu'une position plus élevée ne nous garantie pas. Je suis certes moins puissant que les Arryn, mais mon influence est visible au sein du Val et au-delà. Tout ça sans me mettre à risque ou avoir la moitié des ennemis potentiels des Arryn.

Le Val a déjà connu la guerre, nos défenses naturelles sont exceptionnelles. Je participerais à l'effort de guerre en fonction de la nécessité, puis je patienterais. Regarderais ce que notre ennemi fait, déduirait ses objectifs et agirait en conséquence. Cela peut vouloir dire une infinité de choses. Je ne saurai pas ma réaction avant d'être confronté à un scénario précis. Mais je ne suis pas le genre à être le dernier arriver quand les choses se bousculent. Maintenant que c'est dit, je tiens à préciser que je ne laisserai jamais une telle guerre atteindre le Val. C'est prétentieux de dire ça, mais je pense que si je peux demeurer dans la faveur des Arryn et faire les bonnes manoeuvres diplomatiques la guerre ne nous touchera pas. Enfin, pas aussi durement que les autres royaumes.

Harren n'était pas bête, il a évaluer la situation de manière pragmatique en prenant compte des forces et faiblesses des Targaryen ainsi que ses propres forces et faiblesses. Pas difficile de conclure que les dragons posaient problème, l'arrogance des Targaryen étaient tout aussi évidente. Il a simplement usé leur propre nature contre eux, promet leur l'objet de leurs désirs et frappe les alors qu'ils se frottent les mains et qu'ils ont encore la bave sur le coin de la bouche à l'idée d'obtenir ce qu'ils veulent tant. C'était intelligent, mais ce même plan aurait échouer contre la plupart des autres puissants personnages de Westeros. Peu ont autant d'illusions de grandeurs que les Targaryen, ils se croyaient intouchables et tout puissants. Seul les Hoare rivalisent à ce niveau et ils ne sont pas à l'abris d'erreurs fatales eux qui ont déjà connus plusieurs faux pas à mon avis.
     

▪▪ Pseudo ▪▪ 21 ans ▪▪ 14/20 ▪▪ Je suis déjà sur le forum. ▪▪ Je m'amuse bien avec Cleyton. ▪▪ L'odeur des dorniens ▪▪ Aylan fricote en secret avec les dorniens de son coeur. ▪▪

     

Le vieux Lord Gregor Lynderly était assis confortablement à son bureau, la plume entre les doigts, il rédigeait une lettre de gestes brusques et imprécis. Il était fier et orgueilleux, les autres se débrouilleraient pour déchiffrer le contenu de sa lettre se disait-il. Alors qu’il écrivait, un garde du château entrait avec son fils cadet Asher. Le garçon de 10 ans avait été amené sous les ordres de son père et le garde était reparti aussitôt. Le vieux Lord Lynderly ne posa même pas les yeux sur son fils, se concentrant sur la lettre alors que ce dernier restait debout devant lui les yeux fixés au sol. Il se faisait discret, sans doute espérait-il que son père oublie la raison de sa présence. Mais ce n’était pas le cas, le regard mauvais de son père l’avait finalement trouvé et il ne tardait pas à se faire réprimander. « Tu ne cesseras jamais donc d’être une déception. » Lâchait sèchement son père d’entrée de jeu. Le Lord ne daignait pas regarder son fils une seule seconde de plus. Asher ravalait péniblement sa salive, il ne savait pas quoi dire ou si même il y avait quelque chose à dire pour arranger les choses. Mais son père ne lui laissa pas la chance de répondre. « . Demain, tu pars à Roche-Aux-Runes avec une escorte et les Royce continueront ton éducation. Maintenant, sors d’ici et surtout ne discute pas où je te mets mon poing à la figure et tu te réveilleras déjà sur place. » Son fils restait de marbre, il n’était pas surpris ou même triste. Il ne ressentait rien du tout. Son père ne l’aimait pas, ce n’était rien de nouveau, et sa mère le laissait le battre depuis qu’il était assez vieux pour que son père essaie d’en faire un petit chevalier en devenir. Ça n’avait jamais abouti. Contrairement à son frère jumeau, Asher avait une santé fragile et un corps frêle, résultat d’une triste maladie d’enfance dont il ne s’était tout simplement jamais complètement remis. Son frère avait un physique avantageux pour leur âge et montrait déjà certaines habiletés alors que Asher pas du tout. Cette différence avait ruiné sa relation avec le paternel qui ne respectait que la force chez un homme. Il pensait qu’à force de donner des coups à son fils ce dernier se déciderait à un devenir un homme et se battre, mais il n’en était rien. Asher n’était pas fait du même type de bois que les deux autres et aucune raclée ne saurait changer ça. Ce jour-là, lorsque son père lui a dit qu’il était pour être le pupille d’Elbert Royce, il savait très bien la réelle raison de sa punition. Ce n’était pas le désordre qu’il avait causé avec son frère jumeau chez le Mestre. Certes, leurs bêtises avaient presque tué un homme, mais si c’était vraiment ça alors pourquoi Arthur s’en sortait-il sans aucune réprimande? Non, Asher était puni pour sa différence tout simplement. Son père avait perdu tout espoir en son fils et ne pouvait même plus le regarder en face tellement il en avait honte. C’était aussi simple que ça. Il n’était pas l’héritier ou le fils favori. Peut-être que s’il était né 5 minutes plus tôt et qu’il était le premier né sa vie aurait été différente. Mais pour l’heure, il était condamné à l’exil par son père bien que celui-ci prétendait que son départ n’était que pour continuer son éducation en des mains plus appropriées. Sa mère et son frère le pleuraient à son départ, mais son père lui ne s’était même pas déplacé pour lui dire au revoir.


Asher a trouvé sa place dans la maisonnée des Royce. Invité privilégier, traité comme un membre de la famille, Elbert avait porté une attention particulière au jeune garçon dont on lui avait confié l’éducation. La première fois qu’il avait vu le jeune Asher, le Lord Elbert avait été surpris de voir un garçon de 10 qui n’avait rien de l’étoffe d’un chevalier. Il connaissait le Lord Lynderly et avait assumé que son fils aurait un physique comparable. Mais il n’en était rien et il avait su s’ajuster. Le Lord troquait donc des heures au terrain d’entraînement pour plus de temps auprès de son tuteur et au champ de cibles pour qu’Asher apprenne à tirer à l’arc. Ce ne serait peut-être pas le fier chevalier du Val que son son père voulait qu’il soit, mais il pourrait être chose d’encore mieux. Il avait l’esprit aiguisé ainsi que l’ambition et la détermination nécessairement pour accomplir quelque chose de bien pour le Val. Beaucoup peuvent prendre une épée et mourir pour leur patrie avec bravoure, mais combien ont l’intelligence et la clairvoyance pour prendre les grandes décisions qui façonnent l’avenir d’une nation? Asher avait ce potentiel s’il était bien encadré c’est du moins ce que pensais le Lord Elbert.



Les années s’étaient écoulées beaucoup plus rapidement que ne se l’était imaginé Asher lors de son arrivée à Roche-Aux-Runes. Il était temps pour lui de rentrer à la maison et de confronter son père probablement. Il ne serait sans doute pas content de la manière dont son éducation s'était poursuivie. Le chevalier en armure qu’il espérait n’était pas là, seulement un jeune noble à la tête bien remplie et beaucoup d’ambition. Ah et bien entendu, la nouvelle de la possibilité d’un mariage à la famille Royce. Asher avait su gagné son cœur et le Lord Elbert lui avait donné sa bénédiction, il ne restait qu’à entamer les négociations sur les détails si son père ne s’opposait pas à l’idée. Mais avec lui, Asher n’était sûr de rien. Heureusement, son père avait ravalé sa fierté et s’était montré aussi enthousiaste que possible pour ce mariage. Cela ne l’a pas empêché de proposer son aîné Arthur plutôt que Asher quand son fils a eu le dos tourné, mais le Lord Elbert avait poliment refusé. Il aurait fait beaucoup de sens de prendre l’héritier de la maison Lynderly plutôt que le 2e fils, mais le Lord Elbert était sans héritier actuellement et pensait fermement que Asher était l’avenir de sa maison. Arthur était un bel homme, il avait l’allure d’un chevalier du Val comme on en parle dans les contes et légendes, mais il n’avait pas les qualités qu’il recherchait dans un Lord et sa fille ne l’aimait pas. Il se plaisait à croire être un bon père en permettant à sa fille de connaître un mariage d’amour. Mais il pensait sincèrement qu’Asher assurerait la prospérité des Royce lorsqu’il serait parti. Il était trop vieux pour espérer un fils. Tout le monde s’est entendu, le mariage aurait lieu. Asher s’en frottait les mains, s’il détestait devoir aider son père indirectement avec ce mariage c’est avant tout à lui qu’il avait pensé. Certes, il avait des sentiments sincères pour la jeune Lyra, mais il devait admettre qu’il s’était d’abord rapproché d’elle en espérant gagner ses faveurs et celles de son père. Le mariage était un bonus et l’amour inespéré. Il avait été chanceux, il avait tout gagné avec ce coup qui était de prime abord très calculé. Le Lord Elbert s’en doutait peut-être, Asher s’était toujours demandé s’il était conscient qu’Asher n’était pas complètement désintéressé dans cette histoire de mariage. Mais la fin de l’histoire en était une heureuse.



Les funérailles du Lord Gregor Lynderdy ont vu venir de nombreux nobles du Val dans le fief de Guivrebois vers la fin de l’année -10. Son  fils aîné, Arthur, avait organisé le tout et invité toute la famille proche comme éloignée. Il avait versé quelques larmes, mais ne s’était pas permis d’être trop émotif parce qu’il devait sans délai prendre les rênes de la maison et cela impliquait beaucoup plus que l’organisation de funérailles et le deuil de son père. Sa mère, la femme du défunt, était ravagée par la nouvelle. Asher avait l’impression qu’elle avait pris 10 ans de plus en âge après avoir appris la nouvelle. Elle ne dormait plus et les cernes étaient visibles. Mais Asher lui, il avait dormi comme un bébé et n’avait versé aucune larme. Si sa mère et son frère avaient espéré que la mort de Gregor scelle à jamais ses différends avec lui, ils avaient été terriblement déçus de constater le contraire. Ils avaient eu toute la peine et misère du monde à le convaincre de rester pour dire un dernier adieu à son père. Ce sont ces mots qui ont fait en sorte qu’Asher est resté, il ne voulait pas être son père, il ne voulait pas laisser sa rancœur l’empêcher de souhaiter au revoir à son père malgré toute la haine qu’ils avaient un pour l’autre. Cela eut également l’effet de soulager sa famille. Mais ils auraient sans doute été moins soulagés s’ils savaient vraiment tout ce qui c’était passé dans la dernière année de la vie d’Asher. Cela faisait un peu moins d’un an que Gregor Lynderly s’éteignait à petit feu. Ça avait commencé par sa lucidité, on avait blâmé son âge et personne ne se posait de questions. Mais ensuite, sa santé a vraiment détérioré, et ce à une vitesse phénoménale. Le mestre était sans réponse, c’était un nouveau et il manquait d’expérience en ce qui attrayait la médecine. Asher lui se frottait les mains. Le mal qui affligeait son père c’était Asher qui l’avait relâché sur son père. Dès qu’il a remarqué que son père n’était plus vraiment conscient de ce qui se passait autour de lui il s’est mis à lui donner un peu de poison chaque fois qu'il passait à Guivrebois.. Un poison rare venu d’Essos. Un mestre plus expérimenté venu de Ville-Vieille l’aurait sans doute remarqué, mais celui de Guivrebois était médiocre et la quantité était trop infime il n’avait pas su remarquer les symptômes. Mais avec le temps, même en petite quantité le poison avait fait son effet et emporté son père vers le sommeil éternel. Une fois son frère à la tête de la maison et la poussière retombée, Asher a repris la route lui qui était depuis longtemps occupé à représenter Lynderly dans leurs affaires commerciales à travers le Val. Sa femme et lui restaient à Roche-Aux-Runes lorsqu’il n’était pas demandé ailleurs.



La guerre ravageait le Val alors que le Roi de l’Orage lançait une campagne pour la conquête du Val. Le nouveau Roi Jehan avait su rassembler le Val sous sa bannière et les batailles faisaient rage dans le sud du royaume. Asher faisait partie de ceux impliqués, son frère s’était blessé et lui avait confié la gestion des troupes alors qu’il était condamné au repos. Il savait son frère n’était pas un guerrier, mais comme il put le prouvé au cours de la guerre il était un peu plus apte à élaborer des stratégies et planifier l’approvisionnement de provisions et autre en parallèle. Il s’était montré plein de ressources et le Roi en avait fait un de ses conseillers. Éventuellement, le Val a perdu une bonne partie de son armée et son Roi, mais le royaume est retombé dans la paix alors que les conquérants sont rentrés chez eux bredouilles. Les Valois ont pleuré les hommes perdus et leur Roi puis ils se sont mis à panser leurs blessures. C’était l’an -2, des dizaines de milliers d’hommes avaient perdu la vie et de nombreux nobles aussi. Le Lord Elbert Royce lui-même était mort en s’entêtant à prendre personnellement part à la guerre malgré son âge avancé. Asher a pris sa place en tant que Lord de la maison Royce et a continué d’agir à titre de Conseiller du Roi. Il était content que ce soit son heure, mais il regrettait que le Lord Elbert qu’il considérait comme un père n’ait pas connu une fin paisible. Il ne saurait jamais si son sacrifice avait été vain ou non, mais Asher se plaisait à répéter à sa femme que son père avait été important pour la victoire du Val. Ça rassurait sa femme et ça le rassurait un peu lui-même, c’était sa façon de mettre de côté la triste mort de son beau-père et prendre son nouveau rôle à cœur.


Le jeune Lord Royce était assis confortablement au Conseil du Roi. Le reste des conseillers étaient partis les uns après les autres alors qu’il était resté seul appuyer contre la table avec le silence comme ami. Il était simplement armé d’une plume d’oie, d’un peu d’encre et de la cire pour marquer la lettre qu’il écrivait de son sceau. Ses gestes étaient minutieux, gracieux et excessivement précis. Chaque lettre était une forme parfaite et exécutée sans bavure. Il était d’avis qu’une personne de son rang et de sa réputation ne puisse  se contenter que de la perfection ou presque dans tout ce qu’elle faisait. S’il avait fait une fausse manœuvre et laissé une tache d’encre, il aurait recommencé à zéro et répété la tâche autant de fois que nécessaire pour qu’il ait une lettre propre, parfaitement lisible et bien rédigée avant de l’envoyer à son destinataire. Le jeune Lord Royce déposait finalement sa plume, satisfait de sa lettre. Cela faisait assez de fois qu’il rédigeait ses propres documents pour que la répétition ne soit plus nécessaire. Ses lettres étaient maintenant parfaites à tous les coups pourvu qu’il s’applique à sa tâche et cela était l’une de ses plus grandes qualités. Il n’était pas un homme qu’on pouvait distraire, il était ambitieux et toujours concentré sur ce qu’il avait à accomplir que ce soit pour lui-même, le Royaume ou le Roi. Cela ne voulait pas toujours dire de supporter toutes les décisions royales sans les questionner, bien au contraire Asher avait souvent des désaccords avec d’autres conseillers ou le Roi et la Reine eux-mêmes. Mais il était articulé et très influent, il pouvait toujours compter sur le fait que son opinion pesait dans la balance. Sa femme était également partie prenante du conseil, étant une proche conseillère de la Reine, et tous les deux faisaient un redoutable duo venu le temps de récolter de l’appui des autres membres du conseil. Le jour même, lors de la réunion publique du conseil, sa femme avait demandé de manière formelle à Rhaenys Targaryen qu’elle abandonne ses titres de Reine des Sept Couronnes, Reine unificatrice et Reine Libératrice. Chose qui n’avait pas manqué d’envenimer les relations entre les différents partis. Surtout que cette demande n’avait pas été faite en privée par la royauté elle-même !
       

   Savais-tu qu'un jour, il a perdu son alliance et que depuis, c'est le bordel dans la terre du milieu?   Arhem excuses-moi, mais c'est que... C'est mon idole !
BREF !
 

  Car oui, te voilà validé ! La classe hein ! Mais ne te repose pas sur tes lauriers trop vite, aussi confortables soient-ils, car il y reste encore quelques lieux à visiter, et dans lesquels tu dois poster. Nous t'avons fait une petite liste ci-dessous qui n'est pas exhaustive, mais qui t'indique les sujets les plus importants que tu dois aller voir absolument.  

  Les démarches post-Validation  ▪▪
 


  Favoriser son intégration  ▪▪
 


  Connaître en profondeur Torrhen, Sharra et Deria le background du forum  ▪▪