Que pensez-vous de la situation tendue entre les différents royaumes de Westeros? Vous sentez-vous concerné? Concerné, autant qu'un général et conseiller peut l'être. Bien qu'il soit plus militaire que politicien, Yoen aime se tenir au courant de ce qu'il se passe. Il a d'ailleurs ses propres espions, un peu partout dans le royaume, qui lui font parvenir des nouvelles. Alors oui, on peut dire qu'il se sent concerné sans faire une fixation dessus. Il estime que pour être prêt à tout éventualité, et entendez par là guerre ou attaque, il vaut mieux garder ses ennemis encore plus proches de soi, que ses alliés.

Êtes-vous loyal à votre Royaume, à la famille régnante, ou seriez-vous plus... Electron libre? Fidèle à sa reine et plus largement à Peyredragon. Bien qu'il ne soit pas toujours d'accord avec ses collaborateurs du conseil restreint, il sait globalement où et à qui va son allégeance, quoi qu'il arrive. Son instinct protecteur pour sa reine est très developpé. Lorsqu'il prend des décisions, elles ne sont pas pour son intérêt personnel, mais bel et bien pour le bien et la pérennité de Peyredragon. Ses qualités de général, bien qu'il n'est pu s'illustrer dans de nombreuses batailles et plus largement de combattant sont reconnues par ses pairs depuis plusieurs souverains, car oui, Yoen est général depuis un petit moment, ayant réussi à prouver sa valeur en tant que lieutenant et finissant par obtenir une promotion. Evidemment son honneur et sa loyauté, en plus de ses capacités militaire, ne sont pas étrangères à une telle promotion.

Si jamais la guerre venait à toucher votre région, quelle serait votre réaction? Il combattrait. Il se défendrait. Oeil pour oeil, dent pour dent. Yoen n'est pas du genre à faire dans la dentelle, et il a été d'ailleurs affublé d'un surnom à cause de cela, l'avaleur d'âme. Oui car il ne fait pas de quartiers, ce qui lui a d'ailleurs valu de nombreuses victoires. Il a la réputation d'être un très bon stratège, réfléchi et mesuré, bien qu'il lui arrive de s'emporter lorsque tout ne se déroule pas selon son plan. Mais soyez sur d'une chose, jamais vous ne verrez Yoen baisser la tête, s'incliner devant vous, sans une guerre digne de ce nom.

Vous avez sûrement entendu parler de l'embuscade tendue par Harren le Noir à Aegon Targaryen, que pensez-vous d'un tel acte? Innommable, honteux, aucun mots ne sont assez forts pour décrire la réaction de Yoen, qui d'un revers de la main, balaya tout le contenu de son bureau en apprenant la nouvelle. Bien qu'il n'y était pour rien une part de lui s'en voulait terriblement. Son côté protecteur, dévoué à ses souverains, à cette famille royale dont l s'est juré de défendre le royaume et ses habitants. Il conseille la reine dans cette guerre depuis le début du règne de cette dernière. C'est lui qui a élaboré le plan de bataille de Sombreval, bien qu'il n'ai pu y participer. Il ne lui a jamais fait défaut et ne rêve d'une chose, c'est que Peyredragons et surtout les Targaryen, se vengent une bonne fois pour toute de cette affreux personnage.

Salut moi c'est Wiise J'ai découvert BC en Merci aux top-sites et à Maedalyn    J'aime beaucoup Le graphisme, l'art, les séries et les films, les comics, le fromage (important), l'histoire, le jeu de rôle sur table, la bonne bouffe, les glaces, le webdesign (suis codeuse autant IRL que de forums, donc au passage si vous avez besoin d'aide  :coeur: ) Sur Bc, j'aime bien L'accueil, l'ambiance a l'air d'être sympa ! L'organisation des maisons et le fait que les évènements peuvent changer très vite. mais j'aime pas trop par contre #harengfumé  J'ai bien pris connaissance du règlement intérieur. La devise du forum est

Tu as toujours été un militaire dans l’âme. Depuis ta naissance. Ton père, très accès guerre, combat et stratégie militaire, a été un formateur hors pair. Au-delà de ton talent et de ta réflexion aujourd’hui, tu es bien conscient que la plupart des choses que tu sais, au-delà de ta propre expérience de terrain, c’est lui qui te les a apprises. Lorsque tu observes le paysage, du haut de la forteresse de Peyredragon, lorsque tu observes le royaume, qui s’étend à perte de vue, l’immensité de ce dernier, tu réalises d’autant plus l’importance de ton rôle, mais aussi des responsabilités qui vont avec. Tu n’as pourtant pas toujours été l’homme mur et réfléchi que tu es aujourd’hui.

Tu as commencé par être ce jeune homme turbulent, bagarreur, qui cherchait sans cesse à se battre et à en ressortir triomphant, qui cherchait toujours à s’imposer d’une manière ou d’une autre. Rusé déjà, tu imaginais toutes sortes de stratagèmes pour arriver à tes fins. Que cela soit pour dérober du vin en cuisine, que pour séduire la fille du seigneur voisin pourtant réputé farouche. Ce n’était pas une réelle manipulation, disons que tu savais t’y prendre. Calculateur déjà, imaginant les conséquences et les résultats de tes actions. Tu arrivais à prédire, la plupart du temps, ce qu’allait donner une de tes décisions. C’est notamment cet esprit rusé, stratégique et brillant qui ont fait de toi un très bon chevalier. Ca et bien entendu ta maitrise de l’épée. Un maître d’armes à partir de l’âge de huit ans, tu étais déjà pressé d’apprendre à te servir d’une épée, pour la plus grande fierté de ton belliqueux de père. Il te racontait souvent ses récits de guerres, de combats, probablement embellis par ses soins, mais qu’importe, tu étais captivé. Ton père, était, au-delà de ses nombreux défauts, ton héros et la personne que tu admirais le plus. Tout comme lui, dès tes douze ans, tu voulais pouvoir un jour t’imposer par de grandes victoires, raconter de grands récits. Sans en avoir réellement conscience, tu te destinais à un avenir militaire. Devenir chevalier a été un réel honneur et au-delà de ça, un vrai sens de vie. Tu avais toujours respecté un certain code d’honneur, tu étais un homme loyal, bien que pas toujours juste. Certes, on ne pouvait pas non plus dire de toi que tu étais vertueux, ton aspect volage a toujours été ton plus grand défaut, mais ta, carrière, si l’on peut dire ainsi, n’était faite que de qualités et d’actes reconnus.

Certes, il t’a fallu te faire un nom, te forger une réputation et cela n’a pas été aisé. Mais tu avais toujours été un homme déterminé, tenace, avec une once d’ambition. À la mort de ton père, il t’a fait promettre de veiller sur la famille royale, d’être aussi loyal que lui envers eux. Mais surtout, de devenir un grand homme, d’accomplir de grandes choses. Lorsque aujourd’hui tu t’observes dans le large miroir de ta, tout aussi large chambre, tu ne peux nier que les années sont passées et que ton succès a eu un prix. Les cicatrices, les marques, qui parsèment ton corps, témoignages de la violence des combats, mais surtout de ta victoire, puisque tu es encore à vie à contempler la stature athlétique qui te définit. Tes yeux sont clairs, perçants. Perçants à jours, les intentions des uns et des autres, observant, jaugeant, jugeant, d’un simple regard. En tant que général, tu as bien été obligé de t’assagir. Tu ne pouvais rester l’homme impulsif que tu étais dans tes jeunes années. Tu ne pouvais te laisser guider par la violence. Beaucoup te qualifient de faux-calme, car tu es là, observant, souvent silencieux, ne parlant que pour dire quelque chose de censé. Mais lorsque tu en viens à t’énerver, il ne vaut mieux pas se trouver sur ton chemin. Tes colères sont aussi dévastatrices que rares. La plupart des gens de Peyredragon connaissent la réputation de tes colères et évitent donc ainsi de te pousser à bout. Sachant pertinemment que bien que tu ne sois plus en première ligne au front, tes capacités de combattant n’ont rien perdu de leur panache. Aujourd’hui, tu as assuré ta descendance, non sans complications. Mariage d’intérêt, mariage arrangé, mariage vache. Amour ? Bien loin de tout ça. Aujourd’hui, les choses se sont calmées, les choses ont évolué, mais tu te souviens encore des premières années avec ton épouse. Vous passiez votre temps à vous faire la guerre, à vous détester et a sourire en public comme si vous étiez un couple heureux. L’amour à vrai dire, tu n’y as jamais réellement cru. Tu t’es toujours contenté de futilité, d’histoires éphémères, sans conséquences ou presque. Est-ce que l’on peut dire que tu y crois malgré tout ? Peut-être si tu rencontrais la bonne personne. Par moment, ton instinct protecteur envers ta reine te pousse à t’interroger si tu agis simplement dans son intérêt ou si autre chose te pousse à agir de la sorte. Tu ne saurais dire. Qui plus est, jamais tu n’iras la confronter à tes doutes, à tes questions. Tu te contentes de rester à ta place. La place que tu t’es faite dans ce monde, dans ce royaume. La place que tu t’es forgée, la réputation que tu t’es construite. Tu es devenu un grand homme, mais cela n’est pas encore assez. Tu peux faire mieux, tu peux toujours faire mieux. Se dépasser, se surpasser, voilà ton mot d’ordre.