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 Tour 11 – Trahison, chaos et désolation - Année 2 - Mois 9 - Semaine 1

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MessageSujet: Tour 11 – Trahison, chaos et désolation - Année 2 - Mois 9 - Semaine 1   Tour 11 – Trahison, chaos et désolation - Année 2 - Mois 9 - Semaine 1 EmptyDim 7 Juil - 21:07

Trahison, chaos et désolation
Terres de l'Ouest



Le Continent était en guerre totale depuis plus de deux ans maintenant. La guerre apportait son lot de chaos et de désolation. Et également de destins brisés. Afin de préserver au maximum leurs intérêts, les royaumes s’unissaient dans différents jeux d’alliance, parfois temporairement dans l’espoir faire barrage au camp d’en face. A ce jeu-là, le champion était très probablement le royaume de l’Ouest sous la coupe de la maison Lannister. D’abord semblant s’allier au Nord de par le mariage entre la princesse Jeyne Stark et le prince Lyman Lannister, en le soutenant militairement contre les forces sauvageonnes envahissant les terres les plus septentrionales du continent avant le Mur. Ils se parurent du drap de la neutralité dans le conflit qui émergeait entre les forces de l’alliance des Hoare et du Bief contre celles des futurs royaumes coalisés devant l’Empire. Bien entendu, ce statut de neutralité leur profitait pleinement, pouvant continuer à commercer et à s’enrichir auprès de tous leurs voisins, leurs affaires étaient des plus prospères et leur peuple vaquait à son quotidien en toute quiétude. En second plan, ils tiraient des ficelles bien plus sombres en finançant chacun des deux camps, pour être assuré d’avoir des pions partout, une manœuvre habile qui s’avérerait prolifique, peu importe le vainqueur. On note également son important soutien aux forces croisés qui avaient causés leur lot de destructions chez son voisin de l’Est.

Mais la situation du Continent était telle que leur position n’était plus tenable dans la durée et ils étaient obligés de s’aligner. Craignant la puissance hégémonique de l’Empire et par peur de perdre une bonne partie de leur liberté de décision, ils se positionnèrent dans le camp des Puissances Centrales, faisant un pied-de nez au mariage par alliance avec le Nord. En plus de financer largement ses alliés bieffois et fer-nés, leur attaque fut aussi bien brutale que massive. Un fort frontalier en face de la Dent d’Or, sous bannière riveraine, ne résista pas à la marée humaine et rien ne put stopper leur avancée inexorable aux portes de Vivesaigues. Montant le siège, ce dernier fut de courte durée quand les forces conjuguées du Nord et du Conflans Libre pointèrent le bout de leur nez. Une terrible bataille eut lieu qui fit couler le sang de milliers d’hommes de l’Ouest et des royaumes fédérés. Une bataille dont personne ne se déclara en être le vainqueur, mais qui força les envahisseurs à lever le camp très peu de temps après par crainte qu’une armée impériale vienne en renfort.

L’Ouest se fortifia dans son territoire afin de panser ses plaies, continuant à soutenir ses alliés, notamment par sa force navale plus que modeste. Cette dernière avait montré son efficacité sur les côtes de Dorne, mais en prêtant assistance à son allié bieffois contre l’Empire. Le royaume subit sa première défaite navale et perdit nombre de navires dans l’engagement. La puissance hégémonique navale du Bief était contestée à l’Est du Continent, les valois avaient rejoint les royaumes fédérés, les fer-nés n’étaient plus l’ombre d’eux-mêmes et les forces de l’Empire étaient en mouvement sur bien des fronts. Les forces de l’Ouest étaient solides, mais enclavées dans leurs montagnes, elles pouvaient y être aisément muselées en attendant que l’adversaire s’occupe du reste de leurs alliés.

Pour toutes ces raisons et afin de ne pas rester dans le camp des vaincus à la toute fin, l’Ouest engagea des négociations avec l’Empire qui eurent lieues à Pierremoutier. Plusieurs choses furent décrétées et le couple royal de lions regagna ses montagnes, alors qu’ils ordonnèrent à leurs forces de cesser temporairement les hostilités avec l’Empire. Ils manœuvrèrent en secret pour préparer la manière la plus pérenne leur revirement de cap. Bien entendu, leurs alliés étaient plus que suspicieux de leurs aptitudes et prirent également quelques… dispositions de leurs côtés dirons-nous…

La vérité éclata de manière officielle au petit matin, nombre de missives s’envolèrent de Castral Roc et des différents avant-postes sous bannière royale. Leur destinataire, les officiers de l’armée, maisons nobles et différents gestionnaires de cités du territoire. La nouvelle se répandit très vite, ce n’était guère un secret et le nouvel alignement de leurs souverains fut très rapidement connu de tous. Alors qu’une impressionnante armée, bannière du Lion dorée en tête, s’élançait déjà vers le Sud. La majorité des maisons nobles assura leur plein soutien à cette prise de décision, satisfait que la maison Lannister s’aligna définitivement dans un camp et cesse de souffler le chauf et le froid sur leurs intentions. Quant aux autres, ils ne s’exprimèrent guère, mais semblaient ne pas être contre l’idée, suivant la majorité par l’effet de masse et par fidélité. L'essentiel avait compris que l'acte était opportuniste, et cela allait jusque l'incompréhension de beaucoup, l'Ouest n'ayant pas été, comme d'autres royaumes, soumis par la force ou en tout cas vaincu sur le champ de bataille.

Mais la décision ne fut guère soutenue par d’autres importants soutiens… La Foi en tête. Comment les Lannister osaient prendre le parti d’une reine en guenilles chevaucheuse de dragons et de son mari païen adorateur de faux Dieux ?! Comment osaient-ils faire à bas l’alliance avec leurs voisins bieffois, fidèles serviteurs de la Sainte Foi des Sept ?! C’était un scandale… Pire… C’était une hérésie ! Dans un royaume qui était connu pour ses importantes mobilisations lors des appels à la Croisade, la Foi y avait une place des plus importantes. Les Septons ne tardèrent pas à limoger verbalement les souverains de l’Ouest dans leurs sermons. Pour les plus virulents, ils scandèrent en plein espace public de prendre les armes pour purger ces terres des soutiens des puissances occultes ! La bourgeoisie, entendait par-là les commerçants principalement, était plus qu’inquiète par cette annonce, surtout pour leurs affaires plus que rentables avec le Bief et que ce nouvel alignement vient à faire disparaître une partie significative de leurs revenus. Ils ajoutent alors leurs voies à celles de la Foi, et dans de très nombreuses localités, cette hargne menaçante est soutenue par le Peuple. Le petit peuple qui avait perdu dans de ses fils lors de Siège de Vivesaigues, morts sur les rives de la Cubulte ou dans le chavirement d’un navire sur les côtes de l’Orage. Un sacrifice dont ils avaient dont ils avaient pu être fiers, mais qui semblait bien vains aujourd’hui…  Il est à noter d’innombrables arrestations pour trouble à l’ordre public et des séries d’émeutes et d’incendies un peu partout dans les terres de l’Ouest.

La situation était plus que tendue et cette dernière s’exacerba lorsque plusieurs officiers de l’armée, convaincus par les propos des septons les plus virulents et ne souhaitant voir leur royaume se parait du voile du déshonneur en rompant à nouveau officiellement une alliance, se soulevèrent contre l’Ordre en place. De nombreuses mutineries furent reportées aux quatre coins du royaume. Dans la plupart des localités, ces dernières furent tuées dans l’œuf. Mais dans d’autres cas, les mutins se firent bien plus vindicatifs et organisés ! Plusieurs centaines de mutins furent identifiés. Une force qui peut sembler négligeable par rapport aux forces loyalistes, mais leur mouvement est si soudain que les commandants loyalistes peinaient à réagir avec rapidité pour endiguer le vent de révolte avant qu’il ne se propage. Très vite, des tentes furent incendiées, différentes fortifications sont complètement détruites, ils règnent un chaos sans nom aussi bien dans les camps, que dans les villes. Une partie du petit Peuple prit parti pour les mutins et s’équipa de torches, de fourches et parfois d’outils plus rudimentaires comme un marteau ou une faucille. On s’étripe sur les corps de garde, dans les rues et les casernes. Plusieurs loyalistes tuent leurs propres frères, ne sachant plus qui croire. Dans la plupart des cas, les forces loyalistes arrivent à prendre le dessus à l’aide des différentes garnisons pour mettre en débandade les mutins hors de la ville, s’éloignant en rase campagne de manière totalement désorganisée.

C'est probablement dans les villes de Fléaufort, la Dent d'Or et Crackhall que le pire est survenu… Du moins dans un premier temps ! Les émeutes menées par la Foi et le peuple sont plus organisées et violentes. On compte également plusieurs centaines de mutins dans ces villes. Le guet et les garnisons sont totalement dépassés et reçoivent des ordres contraires des officiers loyalistes et mutins ! Les rangs du guet sont complètement passés au fil de l'épée et ils sont obligés de se réfugier dans leurs casernes ou dans des fortifications pour que la tempête passe. En agissant ainsi, ils laissent la plupart du temps la population aux mains des émeutiers... Des hectolitres de sang sont versés dans les rues, les émeutiers brûlent toutes les bannières loyalistes et les bâtiments militaires, les hommes sont poussés dans leurs plus bas instincts quand ils mettent la main sur une donzelle apeurée, les morts sont innombrables... A Fléaufort, les portes d'une caserne sont verrouillées de l'extérieur, le feu est mis au bâtiment, on a entendu pendant près de deux heures les pauvres hommes du Guet crier comme des damnés...

La Dent d’Or a connu nombre de passages de forces militaires depuis plus d’un an, elle compte dans son armée en place nombre de soldats dévots à la Foi et prêts à tout pour elle. En plus des atrocités commises par le Peuple et contre lui, un officier mutin arrive à rallier sous son commandement plus d’un millier d’hommes. Se faisant, il sème un chaos sans commune mesure dans le camp militaire, et les plus faiblards loyalistes fuient en campagne pour retrouver leur chaumière ou ce qu’il en reste ! Les mutins arrivent à prendre temporairement le contrôle de la cité, en passant au fil de l’épée le reste des effectifs du Guet, déjà bien amoindri par les différentes émeutes. Ils capturent les représentants de la maison noble en place. La situation dure quelques temps, les loyalistes pansent leurs blessures et sous le ralliement du jeune capitaine Ser Podrick Clegane qui arrivent à galvaniser les forces loyalistes par un éloquent discours, ses forces mènent l’assaut sur les fortifications sous les cris de ferveur « Pour l’Ouest ! », « Pour les Lannister ! ». Ils boutent les forces rebelles de la Dent d’Or, et ces derniers renforcés par des émeutiers issus des rangs du Peuple, prennent la direction de l’Est, vers le Conflans.

A Castral Roc, on connait plusieurs mouvements de révoltes, mais le fief ancestral des Lannister est solidement gardé et on arrive à ramener l'ordre rapidement. La maison royale a ordonnée l’arrestations des différents représentants fer-nés et bieffois séjournant dans le royaume. La capitale est leur principal repaire. Des hommes d’armes sous bannière du Lion pénètrèrent dans les quartiers des représentants étrangers. Ces derniers s’étaient préparés déjà au pire, les scènes de révolte ne leur ayant pas échappées à l’extérieur ! Les fer-nés montent une résistance plus qu’acharnée et fautent de pouvoir offrir comme il se doit la vie de leurs adversaires à leur Dieu, ils lui font honneur en combattant comme des acharnés. Le nombre vient à bout de leurs forces. Dans un ultime effort, Myria Harloi tente de prendre la fuite en profitant du baroud d’honneur de son escorte, elle accourt dans un escalier et trébuche. Elle vint s’empaler sur une épée d’un jeune écuyer de 15 ans qui montait les marches deux par deux, fer vers l’avant. La première vie fauchée par le jeune homme, qui met fin à celle qui aura tant complotée à son niveau et qui, à son niveau, aura amené le Continent dans son ère de guerre qu’il connait aujourd’hui.

En marge de ces événements, deux cents mercenaires de la Fraternité sans Fortune se rendent auprès d’un officier loyaliste, un chevalier de basse extraction. Ce dernier reçoit la reddition dans les pures traditions, bien qu’il ne comprenne pas les agissements de ces mercenaires qui n’avaient pas soutenus le mouvement de révolte. Le capitaine des mercenaires vint à tendre une missive marquée par un sceau reconnaissable entre tous.  Cela attire forcément l’attention de l’officier, qui prit la lettre et la lut succinctement. Ses mains tremblèrent légèrement, son sang ne fit qu’un tour. Il tourna à toute vitesse les talons et se précipita à toutes jambes vers le château royal. Il fallait faire vite ou le pire allait survenir !
Mais en réalité, il était déjà trop tard… Silverhill était la plus importante cité au Sud du royaume des Lannister avant de rejoindre le Bief. Eloigné des conflits récents, elle avait déjà vu passer d’innombrables troupes de croisés qui se dirigeaient vers le Sud. Le fief de la maison Serrett n’avait point trop souffert des revirements des Lannister, il s’agissait d’une localité épargnée si on la comparait au sort de bien d’autres… On dénombrait une petite garnison composée de miliciens armés à la hâte après qu’une frêle émeute eut lieu dans la localité, 100 chevaliers était venu renforcée la garnison il y a bien des lunes de cela. Depuis quelques temps, une autre force, tolérée, car ayant rendu bien des services à la maison royale, était en attente au niveau de la cité. Une force de plus de deux milles mercenaires. Un corbeau, porteur d’un message, au plumage particulièrement noir vint se démarquer dans le ciel au soleil couchant. Quand la nuit tomba, les patrouilles se mirent en place sur les chemins de ronde et dans les rues, elles n’étaient pas bien nombreuses, dues au manque d’effectifs des loyalistes. Cela était presque comme une routine pour la plupart, une sale besogne pour d’autres.
Une troupe de six miliciens mené par un sergent en armes s’arrêta près d’une troupe de mercenaires qui semblait plus qu’avinée. Le sergent en bouscula un pour lui gueuler de déguerpir, de retrouver son camp de rats des champs ou sinon il finirait au trou. Pour seul réponse, le sergent reçut un coup de coutelas qui lui transperça le poitrail. Les six autres marauds furent très rapidement maîtrisés et passés au fil de l’épée ! On connut des scènes similaires sur certains chemins de ronde, les mercenaires, expérimentés, prirent le soin de dissimuler les corps pour que la surprise soit gardée le plus longtemps possible. Elle était telle que des mercenaires réussirent à s’infiltrer que les appartements de certains chevaliers pour les égorger dans leur sommeil. Alors que les traitres poursuivaient leurs œuvres, un tocsin retentit, alarme pour les défenseurs de la cité que quelque chose n’allait guère et que le ralliement était donné ! Les mercenaires savaient qu’ils ne pouvaient plus prendre leur temps et ne firent plus preuve de discrétion. Ils se jetèrent sur les effectifs de la milice en place qui ne put opposer une quelconque résistance face à la supériorité numérique et aux compétences martiales de leurs assaillants. Nombre des chevaliers était pris au pied du lit, en train de défourailler pour aller voir ce qui se passe. Dans les couloirs et à différents endroits de la cité, on eut le droit à quelques combats qui pouvaient entrer dans les annales, les chevaliers vendant chèrement leur peau. Les mercenaires dédaignant les propositions de duels de leurs adversaires, les foulant du pied, eux et leurs principes d’honneur.

Il est à noter la résistance vaillante et surréaliste de Ser Eddryk Fléaufort, à la tête de huit autres chevaliers, qui garda en sa possession le dernier étage d’une tour de gardes en leur possession pendant plus de trois longues heures. Ils avaient été extraits de leur sommeil par le brouhaha ambiant de la ville, armés de leur simple épée, masse d’arme et boucliers, ils n’avaient guère eu le temps de s’armurer et se retrouver la plupart du temps en simple tenue de nuit. Malgré le manque d’équipement, leur talent réussit à repousser les assauts incessants des mercenaires, l’escalier se retrouvait très rapidement bloquée par des monticules de cadavres et devant être dégagé pour tenter un nouvel assaut. Le commandant des mercenaires devint rapidement las et ne souhaitant pas s’adonner au petit jeu des chevaliers plus longtemps, il ordonna à ce que le feu brûle la fortification. Ser Eddryk et ses compagnons firent preuve d’une résistance héroïque et d’un courage sans commune mesure, mais ils ne purent faire face au feu destructeur. Il est dit qu’on n’entendit guère de cris émanant de la tour. Comme si les chevaliers ne voulaient pas donnés de plaisir à leurs adversaires et avaient préférés se donner la mort.

La Bannière sans Fortune prit ainsi pleinement possession de la cité. Les bannières Lannister furent mises à bas et brûlées. Les mercenaires firent sortir par la force les marauds du Peuple retranchés dans leurs habitations. Ces derniers étaient transis par la peur. Les mercenaires leur ordonnèrent d’embrasser à nouveau l’étoile à sept branches de la Foi, en nouveau témoignage de leur foi, et de fouler du pied une des bannières Lannister, juste par principe et parce que les mercenaires s’étaient pris de cette lubie. Ceux, qui acceptaient, étaient épargnés et on leur proposait même de rejoindre les rangs des mercenaires. La Fraternité sans Fortune comptait un nombre important de bieffois et la grande majorité était dévot à la religion des Sept, il n’était donc pas étonnant qu’ils aient agis ainsi, ça et la promesse d’une coquette somme de pièces d’or pour leurs services…  Un éclaireur mercenaire vint apporter une nouvelle au commandant, une armée Lanniste était en descente vers le Sud et ils ne tarderaient pas à arriver vers eux. Au vu des effectifs renseignés, les mercenaires ne pourraient guère montrer de résistance. Le Commandant ordonna donc d’accélérer le processus. Tous ceux qui refusaient de suivre les consignes étaient mis de côté. Ceux qui avaient embrasés l’étoile, sans pour autant rejoindre les rangs de la Fraternité, furent épargnés et invitaient fermement à rentrer chez eux.

Quant aux autres… Ils furent enfermés dans des bâtiments qu’on barricada de l’extérieur et furent purgés comme tous les hérétiques. Par le feu. Les cris des marauds se firent entendre toute la nuit ! Pendant ce temps, les mercenaires pillèrent ce qu’ils purent, emportèrent ce qu’ils pouvaient et rendit hors d’usage le reste des vivres entreposés dans les greniers. Au petit mutin, sous fond d’une cité encore ravagée par les flammes, la bande de mercenaires s’en alla vers le Nord-Est…

Leurs anciens alliés se retrouvaient pleinement menacés par ce nouvel alignement. Le Bief se voyait en danger à sa frontière avec Dorne, l'Orage par l'armée de l'Empereur Torrhen Branaeryon qui venait d'envahir son territoire et sa frontière avec le Conflans Libre par Pierremoutier. Elle se retrouvait avec un nouveau front à gérer et des armées déjà dispersées aux quatre coins du royaume pour faire face aux menaces externes et internes... Quant aux îles de Fer, voisines directes des Terres de l'Ouest, la tentation était grande d'y mener un assaut en sachant qu'une bonne partie de la Flotte de Fer semblait en campagne...

Les Lannister avaient choisi un nouveau camp, se parant du voile du déshonneur en trahissant leur ancienne alliance et les traités qui vont avec. Un nombre innombrable de rapports fut reçu par la maison royale et ils devraient comprendre, que leur trahison avait un coût… Et qu’ils devraient s’acquitter de cette dette.

Le déshonneur au prix, peut être, de rejoindre le "camp des vainqueurs", et de la pérennité de leur maison.




Le Cyvosse
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