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 Tour 4 – Embuscade au Moulin de Ronse - Année 0 - Mois 11 - Semaine 3

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MessageSujet: Tour 4 – Embuscade au Moulin de Ronse - Année 0 - Mois 11 - Semaine 3   Tour 4 – Embuscade au Moulin de Ronse - Année 0 - Mois 11 - Semaine 3 EmptyDim 24 Fév - 9:49

Embuscade au Moulin de Ronse
Conflans



Deuxième Bataille de la campagne du Conflans, impliquant des troupes de Peyredragon, des rebelles et déserteurs Riverains, et d’autre part des Fer-Nés et Riverains d’Harrenhal.

Paege avait modifié les équilibres militaires de la moitié nord de Westeros. Le Nord avait militarisé sa société entière pour vaincre son pire ennemi, Peyredragon s’était jeté en avant avec tout ce qu’il avait. Mais le risque avait payé, et en sus des pertes subies par Harren le Noir, il y avait scission du Conflans. Cette défaite renforça le moral des fer-nés, qui retrouvaient leur juste place comme élite d’Harren Hoare, mais les riverains quant à eux, était plus que jamais divisés. Depuis plusieurs mois déjà, une troupe de cavalerie légère de Peyredragon répandait la parole de la Reine dans le Conflans, répétant qu’Harren abandonnait son peuple, que son fils achetait ses conquêtes avec le sang de son peuple sans se soucier de sa sécurité. La troupe connut d’abord la méfiance, voire une franche hostilité. Plusieurs fois, les cavaliers furent accueillis par des projectiles, voire par des foules armées et des barricades. Mais pas toujours. Au fur et à mesure de l’absence de réaction d’Harrenhal vis-à-vis des envahisseurs, de l’éloignement des troupes et de l’absence de défenseurs, le petit peuple se mit à écouter ce qu’avaient à dire ces cavaliers. Petit à petit, ceux-ci arrêtèrent de dormir à la belle étoile et de se nourrir du fruit de leurs chasses et de leurs rapines. Ils furent accueillis, nourris, équipés, renforcés par de jeunes volontaires du Conflans. Après Paege, les déserteurs affluèrent. D’un groupe de cavaliers légers, une milice pro-Empire se formait. Chasseurs, paysans, déserteurs de l’armée Tully récemment vaincue… L’émergence de cette rebéllion fut aussi la révélation de Leslyn Raybrandt, la fille d’un écuyer de bien peu d’importance, qui avait subi les violences d’une armée partant pour assiéger Sombreval. La jeune femme commença comme guide, puis apprit à manier les armes auprès des autres rebelles, jusqu’à savoir chevaucher et tenir une épée. Dotée d’un tempérament de feu et d’un grand charisme, elle nourrissait comme beaucoup un fort ressentiment envers ceux qui dispensaient du sang et de la dignité de leur peuple sans retenue. La jeune femme prit peu à peu la place de chef tacite de la rebéllion.  La troupe grossit, et retint l’attention du Prince Joren Hoare, enfin revenu de sa campagne dans l’Orage.

Alors que les armées de la Néra battaient à nouveau en retraite, l’immense ost du Prince Noir fit route vers la région de collines et de forêts dans laquelle la rebéllion se nichait. Pressés de toutes parts entre cette horde et les colonnes qui revenaient au pays, les rebelles s’attendaient à devoir vendre chèrement leur peau… Jusqu’à ce que l’armée principale Hoare ne retourne de là où elle était venue. Sans explication ni information sur les causes de ce revirement, Leslyn comprit que l’Empire avait dû entrer en action.

Les colonnes revenant dans le Conflans étaient au nombre de trois. Une armée partant de Sombreval, une troupe de cavaliers venus de Cornetruie et un groupe de chevalier du Conflans, venant de Rosby. Ce fut ce petit groupe d’élite qui fut ciblé en premier par la rebéllion. Sur leur route, alors qu’il pleuvait dru dans le sous-bois de Mormale, un arbre s’écroula, visiblement scié… Et des archers sortirent de l’obscurité de la forêt. Des cors sonnèrent partout autour… Lord Vyprin fit signe à ses chevaliers, pour beaucoup natifs de l’ouest du pays, de baisser leurs armes. Quelques échanges de mots avec un émissaire et Leslyn Raybrandt suffirent ; les chevaliers, pour beaucoup anciens cavaliers de l’armée Tully, rejoignirent la rebéllion. Renforcés de deux cent hommes de qualité, le groupe de rebelles n’avait plus le choix. Il fallait trouver du ravitaillement de toute urgence, ou mourir en essayant. L’occasion se présenta deux jours plus tard ; les troupes de Sombreval s’approchaient du gué près du moulin de Ronse. Ils étaient nombreux. Beaucoup de fer-nés. Ils étaient en nette infériorité, mais l’ennemi ne semblait pas les avoir repéré…

Le piège fut vite préparé.



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Plan de Bataille de Peyredragon et du Conflans Libre

Le plan est simple, vu entre le capitaine Chester de Peyredragon, Dame Leslyn et Lord Vipryn. Il faut couper en deux la colonne adverse, en attendant qu’elle ait entamé le passage à gué de la rivière. Une fois que ce sera fait, un groupe de cavaliers, invisibles sous le couvert des bois, déboulera pour attaquer sérieusement l’arrière-garde ; ce sera le rôle des déserteurs riverains et des cavaliers de Peyredragon. L’avant de la colonne sera protégé par des archers ayant rallié Peyredragon, ainsi que par l’infanterie Tully qui a déserté de l’armée rejoignant Pierremoutiers, plus à l’ouest. Cette troupe disparate de miliciens, de troupes légères et de déserteurs, ne peut conserver son équilibre que par l’offensive à outrance.

L’objectif est de détruire la colonne de Sombreval.

Plan de Bataille des troupes d’Harrenhal

Les hommes de cette armée sont fourbus et Lord Whent est fatigué. Les ordres de marche et de contre-marche se suivent et se ressemblent ; ses hommes ne font que marcher depuis des mois sans jamais se battre. Des riverains ont déserté ces dernières semaines, et la masse de la troupe, composée de fer-nés, a le plus grand mal à tenir les rangs du fait de ces marches épuisantes et sans but. L’armée erre, et tout le monde espère que l’arrivée prochaine à Pierremoutiers permettra de voir de l’action. Lorsque les cors sonnent et que les flèches fusent, il n’y a plus qu’un seul objectif.

Percer les rangs des embusqués et réussir à leur échapper, ou provoquer leur fuite.

Premier Tour ; Pour le Conflans !


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Le soleil se lève. La colonne marche déjà depuis une heure. Les hommes maugréent, râlent dans leurs barbes. Fuir n’est pas une méthode de fer-nés. Ils rechignent, désobéissent, se bagarrent. Avancer dans l’humidité de ce matin d’automne, avec son brouillard à couper au couteau, n’aide pas. Des éclaireurs du Conflans ouvrent la marche et sondent le gué ; il est passable. On commence à s’enfoncer dans l’eau jusqu’à la taille, le matériel et les armes portées à dos d’homme. Mais d’un coup, alors que le bruit de deux milles chausses et le clapotis de centaines d’hommes traversant la rivière jure avec le calme du matin, des cors de guerre sonnent une funeste mélopée. Les fer-nés se tournent. Alerte ! Des flèches sifflent déjà au travers de la brume, depuis l’autre rive. Les premiers hommes, principalement des guides, sont fauchés. Les hommes décrochent de leur dos, les boucliers qu’ils y avaient sanglé pour la traversée au cri du mur de boucliers. Trop tard. Des cris de guerre « Pour le Roy ! Tully ! Vivesaigues ! L’Empire ! » retentissent de partout et des centaines d’hommes sortant de la brume se jettent sur la colonne. Des hommes sont passés par l’épée par dizaines alors que les fer-nés, pris de flanc, se tournent enfin vers la menace. Les coups pleuvent et le sang rougit l’eau sombre de l’affluent.

Lord Whent appelle ses aides de camp ; il veut savoir ce qu’il se passe à un demi-mille devant lui ; on n’y voit goutte mais il ne fait aucun doute qu’on se bat. Les cors sonnent à nouveau. Ca vient de la gauche, maintenant. Des craquements dans les bois. Des cavaliers ! Ils sortent lentement, gênés par la végétation. Les cris d’alarme retentissent le long de toute la colonne. Les fantassins fer-nés ne sont pas l’élite de leur nation, leur redoutable infanterie lourde. Plus légèrement équipés, ils forment les meilleurs équipages, pillards et combattants d’escarmouche du monde. Mais ce qui devait arriver avec des piétons mal armés et mal protégés rencontrant des cavaliers en armure arriva alors ; ils furent impitoyablement percés par les lourdes lances des cavaliers du Conflans, lardés de coups d’épée ou percés des javelots des éclaireurs de Peyredragon. Les chevaux fendent la mêlée et les hommes sont impitoyablement massacrés. Toutefois, Lord Whent dégaine son arme et hurlant « Harrenhal ! », se jette dans la mêlée. L’impétueux remonte le moral des gueux des Îles de Fer, qui rendent des coups. Leslyn Raybrandt est blessée d’un coup d’estoc à la clavicule, qui faut sauter son espalière. Cela ne l’empêchera pas d’abattre l’inconscient d’un coup rageur, peu technique mais diablement efficace, enfonçant le casque de son vis-à-vis.

Le carnage est grand, toutefois et l’absence de formation laisse les fantassins comme des quilles, malmenés par l’ouragan qui clairseme leurs rangs. Le brouillard se lève sur un bain de sang.

Pertes
- Les loyalistes perdent 1 040 hommes dont 20 chevaliers, 950 fantassins moyens et 70 archers,
Les loyalistes passent « déroute » pour ceux qui peuvent s’enfuir !
- Les rebelles perdent 200 hommes, dont 40 lanciers, 40 fantassins moyens, 20 hallebardiers, 10 archers, 20 cavaliers lourds, 40 cavaliers légers, 30 chevaliers.


Second Tour ; Le Noir se vengera !


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Le bain de sang continue. L’élan des rebelles toutefois, diminue. Leur supériorité initiale est toutefois payante, et les cavaliers lourds et légers continuent de faire tomber les piétons qui les entourent, à grands coups d’épée, de lance et de masse. Ser Mouton s’illustre en tuant cinq cavaliers rebelles coup sur coup, mais fini percé d’un javelot peyredragonien. Leslyn, malgré ses blessures, poursuit le combat et fait pousser son groupe en avant, qui disperse l’ennemi, l’isole et le fend à coups d’épée. Les fantassins riverains ont la partie plus dure, mais ils continuent de se battre dans l’eau. Beaucoup d’hommes perdent leur arme et l’on s’étripe à coups de pierre ou de casques s’il le faut, dans cette écume sanglante du gué. On progresse, toutefois. Des fer-nés demandent pitié ; aucune ne leur est accordée. Certains, de l’arrière-garde, parviennent à s’enfuir, talonnés par les éclaieurs de Peyredragon qui en acculent et en tuent autant qu’ils peuvent de leurs lances légères et de leurs javelots. L’ennemi brisé, s’enfuie en abandonnant son équipement. Des arbalétriers riverains tentent le tout pour le tout en fonçant au travers du dispositif pour s’enfuir. S’ils réussissent, beaucoup des leurs ont été abattus par les archers du dragon.

Les chevaliers loyalistes tombent un à un, et Lord Whent, blessé et bloqué par le cadavre de son cheval, maudit ses ennemis ; Harren se vengera des traîtres et des félons. Sa prière est entendue. Le bruit d’une grande cavalcade plus à l’ouest se fait entendre, et des bannières sombres sont aperçues. Des cavaliers fer-nés et riverains ! Les hommes de Cornetruie, tout juste revenus eux aussi de leur mission de reconnaissance. Ceux-là dégainent leurs armes et chargent à bride abattue. Les fer-nés ne brillent pas par leur cavalerie, mais ils arrivent pour percée la mêlée et punir ceux qui viennent d’écraser une de leurs colonnes.

Pertes
- Les loyalistes perdent 400 hommes, dont 50 arbalétriers, 300 fantassins moyens, 50 chevaliers.
- Les rebelles perdent 270 hommes, dont 50 lanciers, 50 fantassins moyens, 60 hallebardiers, 30 cavaliers lourds, 40 cavaliers légers, 40 chevaliers.
L’infanterie rebelle passe « déroute » du fait du niveau de pertes et de l’attaque de flanc des renforts ennemis.

Pertes totales :
- Les loyalistes perdent 1 440 hommes dont 70 chevaliers, 1 250 fantassins moyens, 50 arbalétriers et 70 archers.
- Les rebelles perdent 470 hommes, dont 90 lanciers, 90 fantassins moyens, 80 hallebardiers, 10 archers, 50 cavaliers lourds, 80 cavaliers légers, 70 chevaliers.


Troisième Tour ; Sauve qui peut !


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Les rebelles, paradoxalement, ont de bien meilleures troupes que leurs victimes, car ils ont été renforcés depuis quelques semaines de troupes en armes des armées du Conflans, de véritables soldats de métier dont une large proportion de montés en armures lourdes. En revanche, les fer-nés sont de véritables guerriers. Ces cavaliers n’ont peu ou pas de protections et chargent une cavalerie lourde qui vient de remporter un combat. Ils percutent avec une extrême violence les rebelles occupés à anéantir toute l’infanterie qui n’a pas su s’enfuir. Le choc est terrible. Les riverains cueillis à l’arrêt sont poussés dans la rivière ; beaucoup se noieront à cause du poids de leur armure. Leslyn Raybrandt elle-même voit son cheval abattu sous elle et dans sa chute, attérit dans le cours d’eau. Seule la légèreté de ses propres protections –n’étant ni homme ni chevalier-, lui permet d’éviter de se noyer ; elle sera repêchée une heure plus tard, beaucoup plus bas sur la rivière, par des hommes à elle qui suivaient le cours d’eau pour retrouver les troupes impériales qui, selon la rumeur, campaient à Fengué. Pendant ce temps, les rebelles fuyaient pour les rares survivants ; rares étaient ceux qui échappèrent aux haches des cavaliers fer-nés, qui retirèrent les armures aux vaincus et mutilèrent leurs cadavres en guide d’avertissement.

Peu importe le prix qui devra être payé, Harrenhal serait vainqueur.

Pertes
- Les loyalistes perdent 180 hommes, dont 150 fantassins moyens, 10 cavaliers lourds et 20 cavaliers légers
- Les rebelles perdent 250 hommes, 100 cavaliers légers, 50 cavaliers lourds, 80 chevaliers.
La totalité des survivants rebelles sont en déroute.

Pertes totales :
- Les loyalistes perdent 1 620 hommes dont 70 chevaliers, 10 cavaliers lourds, 20 cavaliers légers et 1 400 fantassins moyens, 50 arbalétriers et 70 archers.
- Les rebelles perdent 720 hommes, dont 90 lanciers, 90 fantassins moyens, 80 hallebardiers, 10 archers, 50 cavaliers lourds, 80 cavaliers légers, 150 chevaliers.

Epilogue

La bataille du gué de  mettait deux choses en évidence ; la volonté des fer-nés à se battre et leur aptitude à le faire. La seconde était la réussite de la petite guerre. S’il n’y avait eu les renforts, les troupes de choc des rebelles et des peyredragoniens auraient facilement eu raison d’une troupe de levée féodale pauvrement armée, équipée et sans soutien. A peine plus d’une centaine de tireurs et de lanciers pour deux milles hommes de troupes équipés d’une hache ou plus rarement d’une épée, sans armure et avec un simple casque nasal, voire pas de casque du tout. En face, des troupes plus lourdes, bénéficiant de l’attaque de flanc et de l’effet de surprise, ont été dévastatrices.

Les deux camps ont été presque anéantis. La colonne de Sombreval comme les rebelles accusent chacun près de 80% de pertes. Seule l’arrivée des renforts fer-nés renverse la vapeur et rééquilibre les pertes un tant soit peu. Malgré la valetaille décimée, les troupes d’Harren le Noir l’emportent doublement ; les rebelles n’ont pas su tenir le terrain et n’ont pas eu le temps de voler son ravitaillement. Les rebelles ont fait preuve de courage et d’audace, mais n’étaient simplement pas assez nombreux. Ils remportent toutefois un succès tactique ; beaucoup d’insulaires ne retrouveront jamais leur foyer.

Les rebelles survivants, menés par Lord Vipryn, se replièrent en direction de Fengué pour y rejoindre des troupes impériales et faire leur jonction avec elles pour panser leurs plaies ; leur bonne connaissance de la région leur permit de vite contourner des troupes d’Harrenhal bien peu désireuses d’engager le combat.

Joren Hoare avait finalement obtenu ce qu’il voulait, la fin, au moins provisoire, de la menace rebelle dans la région de l’Oeildieu. Malgré le fait qu’il ait ordonné le repli de son armée et qu’il ait demandé à ses troupes de retour de la Néra de ne pas chercher le combat, le fait de saisir une opportunité aura été fructueuse. Les pertes sont lourdes, mais une menace sur le flanc du Conflans a disparu en même temps que le Royaume a puni des traîtres et des déserteurs, le clamant partout.

Harren n’avait pas dit son dernier mot ; il se disait partout maintenant, que le Grand Roi en personne allait partir en guerre, que l’ennemi ne l’avait que trop défié.

Points d’Harrenhal
- Victoire mineure +5pts
- Objectif remporté (ennemi forcé à la fuite) +5pts
- Armée ennemie anéantie / retournement de situation +5pts

Points de Peyredragon et du Conflans Libre
- Défaite mineure -5pts
- Objectif rempli (destruction de la colonne de sombreval) +5pts
- Mouvement rebelle brisé -5pts


Le Cyvosse
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