Que pensez-vous de la situation tendue entre les différents royaumes de Westeros? Vous sentez-vous concerné? Westeros, un lieu instable plein de tensions, palpables, des états qui se cherchent, des alliances hésitantes, des guerres qui se préparent, voilà comment le Cadet Jordayne voit le monde, mais comment il le sent... En fait, il ne sent pas concerner, pas du tout, il ne sait pas ce qu'est une guerre et il appréhende juste l'organisation, il connaît ses capacités et sait qu'il ne mourra pas sur le champ de bataille (peut-être qu'il se surestime?). Mais, tout de même, Tywen aimerait se sentir plus concerné par la situation de Westeros d'aujourd'hui, d'ailleurs il n'est pas voué à devenir dirigeant ou quoi que ce soit s'il continue à rester les bras croisés et ne sera surement jamais concerné par les affaires de Westeros. Ainsi, Tywen est ambitieux et il aimerait avoir une place importante, il voudrait que lorsqu'il se rende quelque part, il soit reconnu par les gens à une plus grande échelle: Jordayne pour Tywen n'étant que de renommé régionale (il ne sait pas à quelle échelle les maisons secondaires sont connues).

Êtes-vous loyal à votre Royaume, à la famille régnante, ou seriez-vous plus... Électron libre?Le jeune homme de la maison Jordayne est loyal envers sa patrie et la famille régnante, les Martell, plus que quiconque peut être mais pourtant cela ne l'empêche pas de vouloir évoluer dans la hiérarchie. Il obéira à tous les ordres qu'il recevra, il ne dira rien même si l'ordre ne lui plaît pas. Il déteste la désobéissance et fera ce qu'on lui dit sans discuter, s'il répond, ce sera seulement pour plus d'indication. Il aimerait être brave et trahir, en quelque sorte, son engagement mais il redoute les représailles, il se méfie de tout le monde et a peur qu'on le surprenne.

Si jamais la guerre venait à toucher votre région, quelle serait votre réaction?Tywen est loyal, il sert sa patrie, si la maison Martell lui demande de se rendre il obéira, si ses supérieurs lui demandent de se rendre, il obéira, c'est un homme plein de ressources, un bon combattant et un bon connaisseur de stratégie (bien qu'il n'ai jamais vécu de champs de bataille). Lors d'une bataille, il se battrait vaillamment et accepterait la défaite, même prévisible.

Vous avez sûrement entendu parler de l'embuscade tendue par Harren le Noir à Aegon Targaryen, que pensez-vous d'un tel acte? Un acte odieux d'autant plus que d'avis, Tywen soutient les Targaryen dans l'histoire, le roi étant mort. Effectivement Aegon venait avec sa sœur et étaient tout deux sur des dragons (pas très rassurant...) mais il trouve qu'une telle embuscade est une grave trahison, cela montre simplement que Harren le Noir n'est pas à la hauteur de sa prétention, qu'il ne mérite pas son titre, ses terres: en commettant un tel acte, il a perdu son honneur.

Salut moi c'est Lucas J'ai découvert BC en allant sur un top site, j'ai eu beaucoup de mal à trouver un forum sur GOT d’ailleurs J'aime beaucoup lire, rp, la mode, dormir, trainer avec mes amis Sur Bc, j'aime bien j'ame bien l'ambiance et la trame mais j'aime pas trop par contre les couleurs du forum qui sont trop sombres (à mon goût) et le fais qu'il y ai trop de parties avec des sous-parties (peut être il faudrait les rassemblé dans des trucs où quand tu cliques dessus tu as juste une sections qui s'ouvre) J'ai bien pris connaissance du règlement intérieur. La devise du forum est

Je suis né dans la maison Jordayne de la principauté de Dorne, une des plus grandes maisons du territoire. Fils de Maxence et Lynah Jordayne, deux parents durs mais attentionnés, je suis cadet de la famille et de fait, j'avais très peut de chances, pour ne point dire aucunes, d'accéder aux titres de mes aïeux ce qui m'a toujours laissé dans la jalousie face à ma chanceuse sœur. Non, je ne veux pas la mort des héritiers pour avoir le pouvoir mais je me suis souvent demandé pourquoi je n'étais pas héritier de ma famille et si j'allai un jour avoir des terres moi aussi. C'est plus le fait que juste parce qu'elle soit née première, ma grande sœur mérite plus les titres que moi....


J'eus une enfance facile, je fus bien élevé, bagarreur par moments, bon élève j'appris ce que tout enfant devait savoir. Je n'ai jamais voulu rester à ce niveau de l'échelle, et pour qu'un jour je devienne quelqu'un d'important j'ai demandé à mon père qu'il m'enseigne le maniement de la lance et le tir à l'arc armes illustres de notre peuple. J'ai été envoyé à l'âge de neuf ans à la capitale Lancehélion chez un ancien général de l'armée, pour qu'il m'apprenne le maniement de la lance il y avaient une dizaine d'enfants de noble avec moi mais de tous, je pense que j'étais le meilleur! J'y suis resté jusqu'à mes quinze ans. Là-bas j'ai appris l'art de la guerre comme un bon militaire, j'ai aussi étudié nombre de campagnes militaires écrites dans des livres de la bibliothèque de l'armée. J'espérais éperdument qu'un jour ce talent me permette d'atteindre des sommets.


Jusqu'à mes quinze ans je n'étais jamais monté sur un cheval trouvant l'entreprise dangereuse, cette idée cachant une phobie de la bête. Mais lorsque je suis rentré chez moi, mon père a réfuté une telle idée et m'a forcé chacun après midi pendant deux semaines à monter sur un cheval pour savoir dresser l'animal, la première semaine je n'ai fait que tomber de la bête et de nouvelles ecchymoses apparaissaient chaque jour sur mon corps. La seconde semaine je me suis dit que si j'appréciais l'animal peut-être que j'arrêterais de tomber de son dos. Et les soirs suivants, je me forçai à dormir dans les écuries... Aujourd'hui, je monte à cheval normalement mais j'appréhende toujours lorsque je ne connais pas la bête, je préfère monter un cheval que je connais par avance ou que j'ai appris à connaître.


Les cinq années qui ont suivi j'ai appris moi-même l'art de la diplomatie en suivant mon père partout où il se rendait. Il ne rencontrait pas forcément de personnes de la royauté mais j'ai appris quand même. Le mestre de Tor disait que je ne réfléchissais pas comme tout le monde, que je pourrais devenir un grand mestre car je faisais attention à tous les détails insignifiants auxquels les gens normaux ne font pas attention, j'arrivais à analyser les comportements des gens, reconnaitre le mensonge, ce genre de chose, « un atout en politique » disait-il et c'est de là que j'ai eu l'idée de suivre mon père partout. J'ai toujours voulu m'améliorer en ça, car je suis tombé plusieurs fois sur des Hommes d'esprit impassible ou capable de manipuler des personnes plus douées que moi. En cela, j'ai le désir de devenir le meilleur d'entre tous, de pouvoir même comprendre l'impassibilité de ces grandes personnes. Un jour, en voyage chez un Lord de Dorne, celui-ci nous invita moi et mon père à rester diner chez lui. A table je n'ai rien dis, je passais mon temps, comme habituellement, à observer le comportement de ceux à notre table. Le Lord m'a vu, je n'arrivais pas à tirer grand chose de lui, il était fermé, mon père ne l'avais peut-être pas vue mais notre hôte feignait constamment son attitude. Alors que je regardais ses faits et gestes fausseur que je ne comprenais donc pas, il s’arrêta de raconter une histoire d'une de ses parties de chasse pour m'observer l'observer et  repris deux seconde plus tard. Après manger, il m'interpella dans un couloir et m'expliqua que j'étais peut être doué mais que d'autres l'étaient plus, qu'il fallait que moi aussi je me protège car sinon à vouloir connaitre les autres, je deviendrais vulnérable. Malheureusement, plus je développais ce talent, plus je comprenais aisément les gens, moins j'arrivais à communiquer avec eux, moins ils ne m'appréciaient, je me sentais de plus en plus rejeté par la société, chose que je ressens encore quand je suis avec des gens mais j'ai appris à m'y faire et aujourd'hui, j'arrive moi aussi à jouer un faux rôle pour que les gens se méfient moins inconsciemment.


Enfin, ces cinq dernières années, comprenant que je n'aurai jamais de vraie place importante au sein de ma famille, j'ai décidé de faire ma vie de mon coté, de faire de cour voyage au sein de la principauté de Dorne et des contrées voisines afin d'observer de plus près le comportement des gens puis de revenir de temps en temps au foyer familial. Pendant mes voyages je me plaisais à emmener mes petits frères, sœurs, nièces et neveux, j'adorais voir leurs joies lorsque je leur annonçais le lieu du voyage. Mais le plus souvent, je prenais Yolan mon petit frère, le fils bâtard de mon père, un garçon intelligent, philosophe avec une profondeur d'esprit troublant dont je soupçonnais l'origine de son malaise d'être le bâtard, bien que ma mère l'est accepté comme un fils.


Malgré mon vieil âge, 25 ans, je n'ai toujours pas goûté au plaisir charnel ! Refusant de succomber à la tentation, redoutant, repoussant ou refusant l'instant, le passage à l'acte. Je suis bisexuel c'est indéniable pour moi mais je me pose trop de questions et quand cela doit se produire : je me déroge. Je le sais car un jour, dans une auberge, j'ai vu un homme d'une beauté éblouissante, un jeune adulte d'une famille noble de Dorne, que je prie encore pour ne jamais le revoir, c'était l'an passé ou le précédant encore. Il avait mon âge, comme à mon habitude, je me suis amusé à le noter sur son physique et il atteignait la perfection sans problème. Je ne savais pas encore que mon attirance pour les hommes était en fait quelque chose de plus profond, jusqu'à ce moment. Je n'avais eu que des aventures avec des femmes, de simples baisés volés et il m'arrivait souvent de me bloquer sur un homme ou une femme lorsque j'en voyais un ou une, car j'aime tout ce qui est beau d'une force inimaginable et je pourrais passer des heures à simplement contempler quelque chose de beau, je pensais que c'était encore une de ces passes pour lui. C'est lui qui vint me parler, je n'arrivais pas à détacher mes yeux de son corps, fasciné par sa beauté, il se sentit sûrement intrigué. Il m'annonça après quelques verres qu'il était bisexuel et m'en expliqua la raison sous de nombreux exemples. Je ne fus pas complètement convaincu de ma situation, étais-je hétéro ou bi? Je n'assumais pas encore et n'acceptais pas la réalité. Plus il parlait et plus je buvais, autant l'alcool que ses paroles et en dix minutes j'étais ivre, je ne tenais presque pas debout, il me monta dans une chambre en m'aidant... en me portant presque... et assis sur le lit, nous nous sommes regarder plusieurs minutes, j'ai faim un rire finalement pour briser le silence et il m'a embrassé, simplement, langoureusement. C'est là que j'ai compris.








... La suite? Je me suis enfui par peur lorsqu'il a passé ses mains sous mes vêtements pour caresser mes pectoraux et qu'il a commencé à défaire la ficelle qui lui servait de ceinture.