Sujet: William Potter - Nous Survivons Dim 2 Avr - 16:02
William Potter
An -23 ▪▪ Naissance à Godric’s Hall, William est le second d’une fratrie de trois fils. Son père, Lord Uther, le nomme comme son grand-père. Lord Uther repart aussitôt pour Castral Roc, assiégée par les bieffois lors de la terrible guerre entre Lannister Gardener. Uther n’en réchappera que de justesse et gardera une blessure qui lui laissera une jambe raidie. An -13 ▪▪ William commence son apprentissage de chevalier ; il deviendra page puis écuyer de son oncle, Ser Perdicas. L’homme est un peu indolent et néglige le garçon par moments, qui finit par surtout apprendre auprès de son frère aîné, Robert. An -6 ▪▪ William, sous couvert d’aller compter fleurette à Tani, fille du cuisinier du castel de Godric’s Hall, surprend un espèce de rite devant le vieux barral à flanc de la ligne de crête où se trouve le castel. Sa tante et ses grandes cousines semblent adresser un espèce de chant à l’arbre, au ciel, ou à quelque chose que Will ne veut pas voir. Il finit par tourner les talons, dérangé par ce qu’il a vu. An -3 ▪▪ William est fiancé à Lady Dana Serrett, la cadette du seigneur de Silverhill, un important partenaire commercial de Lord Potter. La même année, Tani, son amour de jeunesse, lui offre sa virginité pour en « profiter » avant qu’il ne se marie. An 0, mois 2 ▪▪ William participe au tournoi de Goeville. Il ne s’illustre pas vraiment mais sa ténacité et son obstination, son refus d’admettre la défaite, lui valent ses éperons. Il devient chevalier de sa maison, comme son frère aîné. An 0, mois 7 ▪▪ Les Potter recrutent de nouveaux hommes d’armes pour éviter la contagion des troubles de Falwell, William fera quelques patrouilles avec ses frères, oncles et cousins, pour décourager les réclamants de venir à Godric’s Hollow. An 0, mois 10 ▪▪ La famille Potter est décimée par des croisés de passage à Godric’s Hall. Excités par un prédicateur des Sept qui monte la populace et la troupe contre les châtelains, les Potter et leurs gens sont massacrés et le castel incendié. William en réchappe avec sa cousine Eléa, qu’il amène au Roc pour y plaider sa cause devant le Roi.
Lignée ▪▪ Uther et Meline Potter (parents, décédés), Arthus et Criton (frères, décédés), Perdicas et Morgana Potter (oncle et tante, décédés), Eléa, Rayna et Isabella Potter (cousines, décédées sauf Eléa)
▪▪ 23 ans ▪▪ ▪▪ Will ▪▪ ▪▪ Godric’s Hall▪▪ ▪▪ Autrefois Godric’s Hall, dépend aujourd’hui de la cour de Castral Roc ▪▪ ▪▪ Chevalier des Terres de l’Ouest ▪▪ ▪▪ Maison Potter ▪▪ ▪▪ Ser/Lord Potter ▪▪ ▪▪ Fiancé, mais est-ce toujours d’actualité ? ▪▪ ▪▪ Je suis fidèle à mon souverain ▪▪ ▪▪ Je suis contre la guerre ▪▪ ▪▪
N°1 ▪▪ Que pensez-vous de la situation tendue entre les différents royaumes de Westeros? Vous sentez-vous concerné?
Bien sûr que je suis concerné. Mais pas tant par ce qu’il se passe à Westeros que ce qui a lieu actuellement au sein de nos propres frontières. La croisade a mis le royaume sans dessus-dessous et même si je suis moi-même un adepte des Sept, la réputation de ma famille a contribué à enflammer le fanatisme de salopards qui voulaient faire tomber ma famille et faire main basse sur les richesses de Godric’s Hall. Même si je leur suis fidèle, je pense que mes souverains sont en partie responsables des horreurs qui se sont abattus sur ma famille. S’ils avaient adopté une véritable position sur la croisade, jamais ces fanatiques ne seraient passés par chez moi.
N°2 ▪▪ Êtes-vous loyal à votre Royaume, à la famille régnante, ou seriez-vous plus... Electron libre?
Je suis loyal, parce que je ne vois pas l’intérêt de ne pas l’être. Rejoindre une autre faction, pourquoi faire ? La guerre est encore loin, et les puissances étrangères ont déjà beaucoup à s’occuper sans s’intéresser à l’Ouest, en tous cas dans l’immédiat. Même le déferlement de violence qu’il y a eu à Godric’s Hall ne m’a pas vacciné du soutien à mes souverains. Mais maintenant que j’arrive à Port-Lannis, j’attends une décision de leur part. Nos rivaux ont fait main basse sur Godric’s Hall dans le sillage des fanatiques et je suis le dernier représentant mâle de ma lignée… Je n’ai donc pas le choix, je dois les décider à me soutenir même si les Potter sont aujourd’hui moribonds.
N°3 ▪▪ Si jamais la guerre venait à toucher votre région, quelle serait votre réaction?
Elle a déjà touché ma région. Je ne peux pas combattre mes ennemis tout seul, alors je suis en train d’aller chercher le soutien de mes suzerains, visant directement le Roi à Castral Roc. Lui seul peut m’aider, car les barons locaux se fichent bien de qui contrôlent les mines tant qu’elles produisent. De ce fait, je ne compte pas baisser les bras, je vais aller défendre les intérêts des Potter à Castral Roc et je verrais bien ce que ça donnera.
N°4 ▪▪ Vous avez sûrement entendu parler de l'embuscade tendue par Harren le Noir à Aegon Targaryen, que pensez-vous d'un tel acte?
Cet homme est vil. Il n’a aucun sens de l’honneur. Tuer son ennemi sur le champ de bataille est une chose. Tendre une embuscade en situation de guerre n’est pas forcément une mauvaise chose non plus. Mais là il n'y avait pas encore de situation de guerre entre les deux royaumes. C'est un meurtre, ni plus ni moins, et le meurtre est un péché envers les Sept. Ca jette forcément un froid sur les alliés potentiels de ce royaume...
Entre vous et nous.
▪▪ Torben ▪▪ 26 ans, bientôt 27 ▪▪ 16/20 ▪▪ Je l’ai fondé ▪▪ Je l’ai fondé pour plein de raisons différentes ▪▪ Rien ne me rebute sinon j’aurais pas continué ^^ ▪▪ Rien ! ▪▪ VERIF BY MOI MEME
Sujet: Re: William Potter - Nous Survivons Dim 2 Avr - 16:02
Savoir des mestres
Ils sont arrivés peu avant le coucher du soleil. Une bande d’hommes en armes. Nombreux, quelques centaines. Ils viennent de l’ouest, de la région de Castral Roc. Ils ont demandé à être hébergés à Godric’s Hall, et mon père, le vieux Lord Uther, a accepté.
Je n’ai pas confiance en eux. Leur chef est un bourgeois. Je n’ai jamais aimé ces épiciers, avides de richesse et sans honneur. Ils ont beaucoup discuté avec Ser Malfoy, du manoir en bas de la ligne de crête. Je n’ai pas confiance en eux, mais les fils Potter ont leur place à tenir à la table de mon père. Je suis là, assis et silencieux, picorant plus que je ne mange. Je les regarde. Ils sont là. Forts en gueule. Ils ripaillent. Mon père partage, au moins de façade, leur « noble quête ». Homme de compromis, il sait très bien que Godric’s Hall n’a plus le lustre d’antan. Les mines de fer doivent sans cesse être élargies, creusées plus profondément. L’extraction coûte cher, et la découverte d’argent chez Lord Serrett et d’or dans les collines de l’Ouest a poussé de nombreux serfs, jadis, à partir vers ces régions plus faciles, plus hospitalières. Ser Malfoy me dévisage, il dévisage mon aîné également.
Je ne me suis jamais battu dans une guerre, pas comme Loren le Brave ou comme Louen Cœur de Lion,les légendes de Castral Roc. Je n’ai jamais fait que des tournois. Pourtant, pour la première fois de ma vie, l’épée au côté me rassure. Elle n’est pas de mauvaise facture. A défaut d’être riches de leur fer, les Potter ont d’excellents artisans et notre acier est de qualité. Durandal. C’est son nom. Je l’ai nommée ainsi en vertu d’un héros des temps jadis, qui mourut avec sa troupe dans le col derrière le bourg, pour permettre la retraite de l’armée ouestrienne vers Castral Roc. Elle n’a jamais goûté le sang, même pas depuis que je suis chevalier. Je ne l’ai finalement étrénée qu’à Goeville, lors du Grand Tournoi. Elle n’a mordu que la plate d’un chevalier du Val, tout aussi obscur que moi. Même mon aîné n’a su briller.
La soirée passe. J’essaie de me détendre avec mes frères, qui rient. Plus loin, les gens d’armes de mon père, son capitaine en tête, plaisantent avec mes cousines. Ces diablesses là, mon père nous a toujours répété qu’il fallait nous en méfier, les protéger et les aimer, mais nous en méfier. Les chevaliers sans fief, eux, ne s’en méfient pas. Ils se font charmer par ces beautés, dont l’une d’elles, Eléa, pourtant veuve. La soirée bat son plein.
Je me remémore notre enfance. J’étais le second fils d’un second fils. Mais la maladie, la faiblesse et la goutte poussèrent mon oncle, Lord Potter de jadis, à déléguer de plus en plus à mon père, second fils comme moi. Les blessures reçues par tous deux lors de ma jeunesse au siège de Castral Roc eurent raison de la santé de mon oncle, qui laissa sa place à son frère, sans fils ni plus la force de tenir ce domaine. Et ce fut ma branche de la famille qui gouverna dès lors Godric’s Hall. En fait, un petit bourg dans les monts brumeux de l’est de notre royaume, vivant de l’extraction des mines de fer et de sel depuis l’aube des temps. Jadis florissant, le bourg avait périclité quand l’Ouest s’enorgueillit plus d’or et d’argent que d’acier. Moins riches et moins bien dotés, les Potter s’esquintaient les siècles suivants à combattre nos voisins belliqueux, les Malfoy. Nous nous appauvrîmes de concert.
Mon enfance se passa comme celle de tous les seconds fils. Mon aîné fut formé à la gestion, à la comptabilité, à la justice et au droit du Roy. Mon cadet, à la religion. Et moi et bien, à la guerre. Le seul moyen pour un second fils de s’illustrer.
Je n’étais pas très doué naturellement, à l’épée. Ni à la bagarre en général. Mon aîné était plus solide et mon cadet, aussi grand et plus lourd que moi malgré son jeune âge, me rendait coup pour coup. J’appris toutefois la seule chose que ma position sociale et familiale m’avait jamais donné : la ténacité. Je rendais coup pour coup, même si je gisais dans la boue, le visage ensanglanté. Ma mère désapprouvait, mon père m’encourageait. J’entrais au service de mon troisième oncle, sans enfant. Il n’était jamais qu’un fêtard, un buveur de première, qui négligea mon entraînement et mon apprentissage d’écuyer. J’appris par moi-même, avec les hommes d’armes de père. Ce n’était pas facile, mais je tenais le bon bout. Je préfère toutefois écouter les conseils, de mon frère aîné, Artus, qui m’aide à progresser.
Je note les regards insistants du chef de la compagnie d’arbalétriers de la croisade. Il dévisage Eléa. Je ne sais trop qu’en penser. Je me rappelle, six ans plus tôt, alors que je n’avais encore que quelques poils sur le torse et une moustache naissante, ce que j’avais vu… Je voulais rejoindre Tani, la fille du cuisinier en chef du château. Une beauté brune, que j’aimais plus que tout de mon cœur d’adolescent. Que j’aime toujours, même si jamais je ne pourrais l’épouser. Alors que j’avais donné rendez-vous à la jeune fille près du bois sacré en contrepente du castel de Godric’s hall, j’entendis des cris, des espèces de chants, près du vieux barral où jadis, notre ancêtre Godric avait selon la légende, repoussé un monstre vivant dans les cavernes du mont sur lequel était bâti le bourg. En m’approchant, intrigué et un peu apeuré, j’avais vu mes trois cousines psalmodier et prier, en robes blanches, autour du barral, avec des gens que je reconnaissais du bourg. Une chèvre fut avancée vers l’arbre et alors que je ne comprenais rien au rite auquel j’assistais, je déguerpissais sans demander mon reste. Je compris plus tard que ce que j’avais vu était devenu fort rare au sud du Neck. Vieilles pratiques héritées des Premiers Hommes adorant les Anciens Dieux. J’avais toujours aimé et révéré les Sept, comme mon père avant moi. Mais en grandissant, je prêtais de plus en plus oreille aux rumeurs sur mes cousines, des « sorcières » selon les bruits de couloir. Rien ne dépassait jamais la parole inconséquente, les potins de couloir.
Un certain vacarme me tire de mes pensées. On crie, au dehors. Le capitaine des gardes s’approche de mon père et lui murmure quelques mots, alors que des croisés, portant sur leur surcôt une étoile à sept branches vaguement brodée, vont souffler à l’oreille de leurs officiers, sur la gauche de mon père. Le vieux Lord Uther se retire et nous fait signe.
Il y a quelque chose dans son attitude qui nous angoisse, alors que les participants au banquet se dispersent. Mon père se tourne vers nous, une fois que nous nous retrouvons tous les quatre dans le couloir menant aux étages.
« Protégez vos cousines et votre mère, je vais au bourg. Il s’y passe quelque chose ».
Je ne savais pas, alors, que ce serait la dernière fois que je voyais mon père.
La garde fut renforcée. Des hommes couraient en tous sens. Les serviteurs se retirèrent au pas de course et mon père sorti à la tête d’une dizaine d’hommes en armes. On entendait des éclats de voix, en contrebas de la pente et des fortifications du castel.
Des bruits de combat, des cris. Nous ordonnons au capitaine de barrer les portes alors que de terribles lueurs se rapprochent, en même temps que les cris. Les portes sont enfoncées sous nos yeux. Nous nous replions au château mais trop tard, la porte est enfoncée. Des cliquetis d’acier retentissent en haut des marches. Sorcières ! crient les émeutiers. Pour les Sept ! crient les autres. La cacophonie se répand. Les gardes qui ne rejoignent ou ne se rendent sont massacrés par la vindicte populaire. J’entends des servantes hurler et appeler à l’aide, mais avec mes deux frères nous tirons l’épée pour défendre l’escalier de la Tour du Lord, protégeant les étages. Artus pourfend deux insurgés. Des carreaux sont tirés, mon jeune frère Criton est touché et crache du sang alors qu’il s’étouffe, le poitrail percé de deux traits mortels. Il pleure en mourant, et je pleure en essayant de le venger. Les salopards. Nous reculons, jusqu’à réussir à nous barricader dans la salle de réception du premier étage. Mon aîné, adossé à la porte qui tremble dans ses gonds, crache du sang en tentant de reprendre son souffle. Dans la fièvre de la bataille, du massacre, je n’ai pas fait attention à son sort, trop occupé à défendre ma peau en tranchant chair et guenilles. Artus meurt sans un bruit, la tunique lacérée de coups de lames. Je crie et mes yeux s’embuent de larmes amères. C’est un cauchemar. Je comprends alors, que je suis tout seul. Nos gardes sont morts ou en passe de l’être. Mon père n’a jamais reparu à la tête de la garde et vue la facilité avec laquelle les émeutiers sont entrés, ils ont été aidés de l’intérieur, peut être par ces capitaines de croisade. Je pense à mes cousines.
Sorcières, la foule a crié. Excités par la croisade. Et ce regard pénétrant de Malfoy. Tout s’enclenche dans mon esprit. Nos rivaux de toujours ont excité les fanatiques, alors qu’ici, tout le monde parlait tout bas depuis des années de la frivolité de certains membres de notre famille en matière de religion. J’embrasse le front de mon frère, déjà froid, et passe par une porte dérobée non loin de la tapisserie de mon ancêtre, dans le fond de la salle. Je ne peux que sauver Eléa ; ses sœurs, prisonnières de leur chambre, ont déjà été enlevées lorsque nous arrivons.
Nous fuyons dans la nuit par une poterne, à pieds, alors que le bois sacré brûle derrière nous.
Dans ma précipitation, je n’avais presque pas d’or sur moi. Eléa avait pensé à en prendre, mais à peine. Nous avons à peine les moyens de rejoindre le Roc, seul signe de salut que j’avais pu identifier. Il fallait plaider notre cause auprès du Roy et bouter hors de chez nous les Malfoy et leurs séides.
Mais pour la première fois de ma vie, j’étais seul. Oh, il y avait ma cousine, mais je ne savais pas trop comment la manœuvrer. En plus, elle était un peu à la cause de notre déchéance…
Et j’arrivais dans un Port-Lannis, au pied du Roc, en pleine ébullition. Le peuple réclamait des droits élargis, la noblesse voulait la défendre et les croisés se rassemblaient. Tout semblait prêt à éclater.
Les affiliations
Eléa Potter
Ma cousine Eléa, c’est la dernière personne qu’il me reste dans ce monde. Je l’aimais bien, quand j’étais gosse. Elle était pourtant beaucoup plus âgée que moi. Rapport à la situation complexe de ma famille au moment de ma naissance. Je l’ai toujours admirée. Une beauté pleine de convictions, de certitudes. Petits, mes frères et moi nous laissions beaucoup influencer par nos cousines. Mais c’est aujourd’hui révolu. C’est en partie à cause d’Eléa, tout ce qui est arrivé. Je ne l’ai pas abandonnée, je ne l’abandonnerais jamais. Mais aujourd’hui, c’est moi qui commande. Par la force des choses, pour le meilleur et pour le pire.
They say the time many time when I see you / Time after time hand in hand till the dawn / Shine like a star you can go through the water / Forever and ever / Cause I found my love into you Under the SKy(c)codage - Kanala - texte (c)Under the Sky, Jean-Pierre Taieb
William Potter
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Sujet: Re: William Potter - Nous Survivons Dim 2 Avr - 18:05
Ben je le connais quand même, mon propre mot de passe :p
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I never wanted this. I never wanted to unleash my legions. Westeros have only one chance to prosper and if you not seize it, then I will. So let it be war ! From the skies above the Wall to the dornish sands. Let the seas boil. Let the stars burn. Even if it takes the last drop of my blood, I will see the kingdoms freed once more. And if i cannot save it from the felony and the dishonor, then let Westeros burns.
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Sujet: Re: William Potter - Nous Survivons Dim 2 Avr - 18:12
Amuse toi bien avec ce perso !
Invité
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Sujet: Re: William Potter - Nous Survivons Dim 2 Avr - 19:13
Bon, elle vient cette histoire ?
Invité
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Sujet: Re: William Potter - Nous Survivons Dim 2 Avr - 19:13
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Sujet: Re: William Potter - Nous Survivons Dim 2 Avr - 22:38
Il l'a fait
LA SUITE LA SUITE!
Hum. Rerebienvenue, sinon
Invité
Invité
Sujet: Re: William Potter - Nous Survivons Lun 3 Avr - 9:25
Re-bienvenue *boude*
Invité
Invité
Sujet: Re: William Potter - Nous Survivons Lun 3 Avr - 15:47
Garou, tu perds rien pour attendre!
Bébert, ouais j'prends!
Merci Oks !
Deria; es-tu Hagrid?
Megara; oh oui princesse, plaignez-moi, j'arrive pour pleurer sur votre épaule de toute manière
Merci Robinet
Et Toir Arge, tu perds rien pour attendre!
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Sujet: Re: William Potter - Nous Survivons Lun 3 Avr - 17:34
Y a quand même toujours pas l'histoire
Invité
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Sujet: Re: William Potter - Nous Survivons Lun 3 Avr - 17:35
Fais pas genre que t'es pressée!
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Sujet: Re: William Potter - Nous Survivons Lun 3 Avr - 17:47
... Ca me va, la princesse toute mouillée contre moaaaa!
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Sujet: Re: William Potter - Nous Survivons Mar 4 Avr - 17:20
... on se calme
Invité
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Sujet: Re: William Potter - Nous Survivons Jeu 6 Avr - 15:08
OO *se calme devant la madame qui fait peur et qui pue*
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William Potter
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Sujet: Re: William Potter - Nous Survivons Jeu 6 Avr - 15:25
"Monsieur Potter… Notre nouvelle célébrité"
...
So welcome to the fire
I'm focused ; I've been watching for the omens ; I've been listening to everything you've said ; Its been running through my head ; Locked and loaded ; I've got the feeling that you've noticed ; Yeah I've only just begun ; I won't stop until it's done ; 'Til you're broken ; So welcome to the fire ; I'm the one with the lighter ; Feel the burning through your veins ; As we're walking through the flames ; Getting higher ; So welcome to the fire ; Welcome to the fire ; Feel the burning through your veins ; As we're walking through the flames ; Getting higher ; (c)codage - Kanala - texte (c)welcome to the fire - willyecho
Rhaenys Braenaryon
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Messages : 4230 Membre du mois : 18 Maison : Représentée par un dragon à trois têtes et un loup, aux couleurs rouge, noir et blanc... La maison impériale Braenaryon, dont la devise est "feu, sang et hiver" Caractère : Soif de sang ● Violente ● Ambitieuse ● Combattante ● Sans compromis ● Intègre ● Libertine ● Déterminée ● Non conventionnelle ● Charismatique ● Vengeresse ● Passionnée ● Impétueuse ● Revancharde ● Fidèle ● Aimante Célébrité : Emilia Clarke
Sujet: Re: William Potter - Nous Survivons Jeu 6 Avr - 15:33
Seulement au lit baby !
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William Potter
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Sujet: Re: William Potter - Nous Survivons Sam 8 Avr - 16:48
Si une modote veut bien s'occuper de moi (a)
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William Potter
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